Cocteau La Machine Infernale Acte 3

vingt ans plus tard sur le « silence des intellectuels » 3 après l’avènement de la gauche, Vercors défend leur refus de s’engager en acceptant des responsabilités gouverne- mentales qui menaceraient leur liberté de choix. « De la Résistance à la philosophie » 4, l’itinéraire de Vercors ressemble fort à celui que Sartre prête à son « existentialiste » : « Une fois jeté dans le monde, il est responsable de tout ce qu’il fait. » 5 Présentation6 3. Titre d’une enquête du journal Le Monde, présentée par

Corneille… • Du côté du metteur en scène et de l’acteur… implication du spectateur dans les choix de mise en scène Le metteur en scène doit aussi tenir compte de son public. Au XVIIe siècle, Molière répond au goût du public pour les pièces à machines avec l’intervention de la statue (animée) du Commandeur dans Dom Juan ; de nos jours, où les effets spéciaux du cinéma rendent ce type de fantaisies scéniques élémentaires un peu désuètes (certains élèves rient quand apparaît la statue de la mise

français. En espérant que ce document vous sera utile ! Auteurs (nombre de résumés) : Jean Anouilh (1), Beaumarchais (2), Beckett (3), Calderon (1), Jean Cocteau (1), Pierre Corneille (3), Feydeau (1), Jean Genet (1), Jean Giraudoux (1), Victor Hugo (2), Ionesco (3), Alfred Jarry (1), Eugène Labiche (3), Lesage (2), Marivaux (3), Molière (5), Alfred de Musset (3), Pirandello (1), Racine (4), Jules Romain (1), Edmond Rostand (1), Sartre (2), Shakespeare (4). Jean Anouilh  Antigone. Œdipe

absolue, le même état de néant amoureux auquel arrivent les grands contemplatifs. LI Phèdre meurt, non sans doute dans l'amour divin, dans la caritas, mais elle meurt désappropriée, dans la résignation totale à la volonté divine. Son acte suprême, unique, est un acte de parfait abandon : elle meurt esclave volontaire ", et non pas esclave de la mort -. Georges Poulet, 1949 La vertu du langage veut que Phèdre en exprimant son amour se dicte à elle-même sa destinée : le fatum est ici fidèle à son étymologie

siècle : le classicisme Sommaire Objectifs & parcours d’étude Présentation 1. Aspects de la comédie au XVIIe siècle Fiche méthode : Analyser le texte théâtral Corrigés des exercices 2. Visages de la comédie : de Molière à nos jours Corrigés des exercices 3. La tragédie au XVIIe siècle Corrigés des exercices 4. Autour de la tragédie classique Corrigés des exercices Lexique de la séquence Séquence 4 – FR20 1 © Cned – Académie en ligne O bjectifs & parcours d’étude Textes et œuvres Objectifs

classicisme Sommaire Objectifs & parcours d’étude Présentation 1. Aspects de la comédie au XVIIe siècle Fiche méthode : Analyser le texte théâtral Corrigés des exercices 2. Visages de la comédie : de Molière à nos jours Corrigés des exercices 3. La tragédie au XVIIe siècle Corrigés des exercices 4. Autour de la tragédie classique Corrigés des exercices Lexique de la séquence Séquence 4 – FR20 1 © Cned – Académie en ligne O bjectifs & parcours d’étude Textes et œuvres

qui, dans sa Poétique, la définit comme « l’imitation d’une action de caractère élevé et complète », la tragédie doit présenter un sujet de caractère élevé et des personnages nobles (rois, princes…) ou même mythologies (tel Œdipe dans La Machine Infernale de Cocteau) à haute élévation morale représentant des valeurs. Cette exemplarité de l’action et des personnages est illustrée dans la préface de Bérénice, de Racine, pièce dans laquelle Titus est empereur romain et Bérénice est reine de Palestine

les Érinyes, déesses vengeresses qui poursuivront Oreste après son crime dans la pièce d’Eschyle. o Le mendiant : on ne sait jamais qui il est mais il est annoncé comme un dieu et, à cet égard, on lui installe un escabeau dans la salle du trône (I, 3). Il a le pouvoir de dire ce qui a été, ce qui est et ce qui sera. o La femme Narsès : il est question d’elle par le biais du mendiant qui raconte comment elle a élevé une louve qui, adulte, s’est transformée en bête sanguinaire et l’a attaquée. Elle

imaginaires ? 2) Le portrait de la jeune fille (« Je vis quelque chose… ce serait elle. », partie II) : comment est-il construit ? Quel effet l’auteur cherche-t-il à produire sur son lecteur ? Comment ce portrait est-il relié au corps du récit ? 3) Étude de la partie III : À quoi est consacrée cette partie ? Sur quel contraste est-elle construite ? Quel effet ce contraste produit-il sur le lecteur ? S10 : L’univers du fantastique, suite (1 heure) Activités : - distribution du tableau « La

la charge de l’accusation en faisant de la victime un criminel ? (PFVS 45) De même Macbeth n’ignore rien de l’immoralité de son projet homicide lorsqu’il se demande: « pourquoi dois-je céder à l’idée dont l’image d’horreur hérisse mes cheveux ? » (I,3 49). Mais là où Rousseau insiste sur la faiblesse de la volonté comme source du mal, il faut en revanche reconnaître la détermination et la force de la volonté dans la méchanceté : choisir le mal c’est le vouloir délibérément. Or, dans la tragédie de