Cocteau Machine Infernale La Voix Choeur

Campagnes hallucinées - Leclerc, « La ville ? c’est… », Pieds nus dans l’aube - Nougaro, Bidonville HATIER Annabac STG 2008 HATIER Annabac STG 2007 « La musique des vers » (ES/S – avril 2006) - Hugo, « Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures - Michaux, « Le Grand Combat », Qui je fus - Aragon, « Le Conscrit des cent villages », La Diane française - Leiris, Langage, tangage ou Ce que les mots me disent HACHETTE Annales Bac 2007 NATHAN Annales 2007 « Douze magiciens dansaient

service de son engagement ? Question : Pour chacun des poèmes du corpus, repérez le jeu sonore dominant et dites en quoi il participe au sens. Commentaire : Hugo, « Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures Dissertation : La poésie est-elle faite pour être lue à voix haute ? Invention : Michel Leiris défend le caractère poétique de son œuvre Langage, tangage ou Ce que les mots me disent, auprès de son éditeur qui refuse de publier le manuscrit dans sa collection des « Poètes

dictionnaires, encyclopédies ou sites internet) ou portez des remarques personnelles pour vous approprier le cours. ▶ Lisez et relisez les textes à étudier en lecture analytique, allez sur cned.fr consulter les questions posées et écouter la lecture à voix haute de ces textes pour vous entraîner et retrouver le plaisir de lire ! ▶ Réalisez par écrit les activités de lecture analytique de chaque texte. Faites de même pour les activités portant sur des documents iconographiques, des recherches documentaires

de la littérature au mythe 1/ A petite échelle : l’intertextualité mythique 1.1. L’irradiation mythique [Nerval, El Desdichado] 1.2. Référent explicite, ambigu ou implicite [Goethe, Ganymed ; Goethe, prologue de Faust] 1.3. Exercice [F. Leroux, La Machine à assassiner] 2/ A grande échelle : la réécriture mythique 2.1. Des invariants à la réécriture 2.2. Les variations de l’organisation et du contenu du récit mythique [Don Juan] 2.3. Les variations de registre [P. Dac, Phèdre] 2.4. Bilan : arborescence

..................................................  41   JEAN  GIRAUDOUX,  ELECTRE  (1937)  ............................................................................................................  43   JEAN  COCTEAU,  LA  MACHINE  INFERNALE,  (1934)  ...................................................................................  44   ALBERT  CAMUS,  CALIGULA  (1944)  ................................................................................

premières œuvres cinématographiques. Mettre en évidence la spécificité du montage au cinéma. En 1863, E. Littré (Académie française) donne dans son dictionnaire la définition suivante du montage : « Action d’ajuster dans l’ordre voulu les pièces d’une machine ». Ainsi, avant l’invention de Lumière, le montage existait déjà sous sa forme mécanique. Le cinéma lui ajoutera une dimension artistique. Dans cette double orientation, technique et artistique, réside une part de la spécificité du montage cinématographique

récit. Il n’est pas encadré par des guillemets dont l’usage sera plus tardif ; – dialogue entre Catherine et le narrateur (l. 7-9, l. 23-49) ; – propos que le narrateur se tient à lui-même (l. 18 à 22). La multiplication des dialogues tisse les voix et les fait s’enchevêtrer. La narration dont le mouvement est celui de la parole acquiert une dimension « dialogique ». On observera que le registre est celui de la conversation courante et familière, ce qui ancre le roman dans une représentation

récit. Il n’est pas encadré par des guillemets dont l’usage sera plus tardif ; – dialogue entre Catherine et le narrateur (l. 7-9, l. 23-49) ; – propos que le narrateur se tient à lui-même (l. 18 à 22). La multiplication des dialogues tisse les voix et les fait s’enchevêtrer. La narration dont le mouvement est celui de la parole acquiert une dimension « dialogique ». On observera que le registre est celui de la conversation courante et familière, ce qui ancre le roman dans une représentation

1967. 3. Euripide, Électre, in Tragédies complètes, Paris, Gallimard, 1962, « Bibliothèque de la Pléiade », trad. Marie Delcourt-Curvers, p.914-918. 4. Voir la Pièce (dé)montée consacrée à L’Orestie mis en scène par Olivier Py. 5. Cocteau : Orphée en 1927, La Machine infernale en 1934 ; Gide : Œdipe en 1931 ; Anouilh : Eurydice en 1942 ; Giraudoux : Amphitryon 38 en 1929, La guerre de Troie n’aura pas lieu en 1935, etc. ira-t-il  ? Reprendra-t-il le chemin de l’exil ? Voici qu’il découvre en lui une

langue poétique et artificielle qui demeure plus vraie que la conversation sténographique.» Mais, sa timidité étant maladive, il n’osa pas aborder l’auteur qui allait rester l'un de ses maîtres. Il eut une autre révélation à la lecture de la pièce de Cocteau, ‘’Les mariés de la tour Eiffel’’, qui fut un autre texte fondateur pour son œuvre. Pourtant, il fallait vivre. Il passa un an et demi à la faculté de droit de la Sorbonne, mais abandonna ses études, sans avoir obtenu de diplôme, pour des raisons