Cocuage

LE COCUAGE PLAN INTRODUCTION I. DEFINITION DU THEME II. EXPLICATION DETAILLEE DU THEME DANS LECOLE DES FEMMES III. EXPLICATION DETAILLEE DU THEME DANS LE GENERAL A] LES CAUSES DU COCUAGE 1°) LE COCUAGE PAR AMOUR 2°) LE COCUAGE PA ATTIRANCE B] LES PARADOXES DU COCUAG

l’inconduite de sa femme que de l’impuissance du mari 1. Le cocuage chez Molière : un comique farcesque par le choix des personnages masculins (de Sganarelle à Arnolphe en passant par George Dandin) 2. L’impuissance du mari, l’obsession d’Arnolphe 3. Le comique dans le dialogue : le mari et l’épouse (et non la femme) II. Cependant le comique ne loge pas que chez le mari : entre la femme et le tiers 1. Le cocuage vu par le tiers (Horace, Chrysalde) 2. La femme et la

Le 26 décembre 1662 avait lieu à Paris la première représentation de L’Ecole des femmes, ordonnance classique parfaite mais thème assez surprenant pour l’époque du cocuage. Molière y fixe les mécanismes de la comédie morale déjà élaborés avec L’Ecole des maris, élaborant la satire du ridicule causé par les délires de l’imagination. Arnolphe, vieux garçon autoritaire et confortablement installé dans sa vie précautionneuse a arrêté quatorze ans auparavant sa décision d’épouser Agnès qu’il a modelée

qui pense à prendre le ruban. La peur du cocuage d’Arnolphe En effet il y a un comique de caractère car Arnolphe fait beaucoup d’aparté, ce qui créé une complicité avec le spectateur car il se confie a lui : ‘’Je souffre en damné.’’, ‘’O fâcheux examen d’un mystère fatal, où l’examinateur souffre seul tout le mal.’’ On rit de la souffrance tragique d’Arnolphe, et la situation farcesque accentue l’effet comique. Arnolphe est obsédé par le cocuage. S’il se fait cocu, il ne pourra plus vivre,

Tirade de Chryslade dans L'École des Femmes, acte IV, scène 8 de Molière, 1662 L'infidélité des femmes Intro: Nous sommes à la fin de la pièce alors qu'Arnolphe vient d'être cocu. Chrysalde expose alors son pdv sur le cocuage dans une tirade argumentative I) Une réplique argumentative digne des sophistes A. L'interpellation du destinataire B. La rigueur du raisonnement II) Un thème récurent dans la comédie: le mari trompé A. Un ton nouveau? B. Condamnation des extrémités III)

despote aux antipodes des avancées féministes de son époque? Dans un premier temps, l’on s’attachera à mettre en évidence le caractère d’Arnolphe teinté de prétention et de vanité. Ensuite, il s’agira de dégager les enjeux soulevés par le motif du cocuage. Enfin, la dernière étape s’efforcera de préciser les ressorts du comique. Dans le théâtre classique, la scène première présente des informations sur l’intrigue qui se noue et sur les caractères des personnages présents ou décrits. Le passage

développement moral que l’homme. En somme, l’auteur dénonce l’enferment physique et moral de la femme au sein d’une société machiste Ensuite, la pièce de théâtre traite sur un phénomène très courant dans les unions de cette époque. C’est-à-dire, le cocuage qui est très présent dans les couples dû à l’absence d’amour lors de mariages forcés : «Chose étrange d’aimer, et que pour ces traîtresses/Les hommes soient sujets à de telles faiblesses !/Tout le monde connaît leur imperfection:/Ce n’est qu’extravagance

d' Arnolphe. 5_ les Principaux thèmes abordés Dans cette pièce les principaux thèmes abordés sont la précaution inutile qui ne garanti pas du cocuage, l'étourdissement trop bavard par vantardise qui conte ses succès au mari trompé et la possession d'une femme amoureuse d'un autre. Il évoque les thèmes de l'argent, de la bourgeoisie, du cocuage, du destin, de l'honneur, de l'ingénuité, la jalousie, le mariage, la péché, la plaisir, la préciosité et la religion. 6_ Bilan de lecture La pièce

extremis, survient le père d’Horace qui a promis d’unir son fils à la fille de son ami Enrique, et cette fille s’avère en fait être la jeune Agnès. La pièce reprend beaucoup d’éléments traditionnels. À la farce, elle emprunte ce motif universel du cocuage et de la jalousie, et ces valets grossiers et maladroits que sont Alain et Georgette. De la comédie italienne, elle retient les intrigues galantes, les rencontres au balcon de jeunes gens amoureux, les armoires, les échelles et autres ruses, les surprises

superposent : 1 / Le barbon jaloux, figure du ridicule. 2 / L’homme qui tombe éperdument amoureux et souffre profondément. 3 / Le monomaniaque, obsédé par le cocuage, monomaniaque utopiste qui veut, contre tout et tous affirmer que son système est le bon 1 / Arnolphe est hanté par la crainte d’être cocu. Pour échapper aux misères du cocuage, le barbon Arnolphe a décidé d’épouser sa pupille, recueillie dès l’âge de 4 ans et qu’il a pris soin d’élever dans une complète ignorance des réalités de l’amour