Codon-stop

lorsqu’une paire de nucléotides a été remplacé par une autre paire. -délétion : lorsqu’il y a perte d’un nucléotide. -addition : lorsqu’il y a ajout d’une paire de nucléotide dans la séquence d’ADN. Les mutations peuvent également générer un codon « stop » qui va raccourcir la protéine. Elles peuvent être spontanées ou causées par des mutagènes, comme par exemple pour la maladie du Xeroderma pigmentosum qui est une maladie d’origine génétique, elle est causée par des mutations d’enzymes de réparation

Initiation qui correspond a l'assemblage des sous unites d'un ribosome sur l'ARNm. . L'elongation qui consiste a l'assemblage des acides animes lors du deplacement, le long de l'ARNm. . Et enfin la terminaison qui est la rencontre du ribosome avec un codon-stop. Il se detache de l'ARNm. Le nouveau polypeptide est ainsi forme et libere dans le cytoplasme. II- Les mecanismes moleculaires. La transcription repose sur l'ARN polymerase. Elle necessite l'ouverture des 2 brins de l'ADN du gene. La sequence

polypeptidiques. La séquence des acides aminés est gouvernée par celle des nucléotides de l'ARN messager suivant un système de correspondance, le code génétique. Ce code génétique est universel et dégénéré. La traduction débute au codon d'initiation et s'arrête au codon stop. IV- Complexité des relations entre gènes, phénotypes et environnement Un phénotype macroscopique donné résulte de processus biologiques gouvernés par l'expression de plusieurs gènes. La mutation de l'un seulement de ces gènes peut

Les (ET) peuvent apporter de nouveaux gènes à la bactérie impliqués dans : - la résistance aux antibiotiques ou la virulence ou le métabolisme, dans le cas des Tn, - la transcription (promoteurs, terminateurs) ou la traduction (codon d’initiation, codon stop…) Ils affectent, donc, l’expression génétique  - Négativement lorsqu’ils s’insèrent dans le gène codant (mutation polaire) ou dans une séquence régulatrice positive en inactivant la protéine régulatrice et en modifiant la topologie

acides nucléiques (codons formés de trois nucléotides dans l'ADN et l'ARNm) en celui des protéines (acides aminés). Codominance : expression phénotypique simultanée de deux allèles différents d’un gène. Codon : unité de codage de l'information génétique correspondant à la succession de trois nucléotides dans l'ADN et l'ARNm permettant de spécifier un acide aminé. Codon stop : codon ne correspondant à aucun des 20 acides aminés protéinogènes. Il existe trois codons stop différents qui conduisent

mis dans un milieu de culture propice à son développement. Pour introduire ce gène, il a été utilisé un promoteur qui est une séquence d’ADN placé avant le gène et qui est nécessaire à sa transcription. Il a aussi été introduit un terminateur ou codons stop. • La biolistique : C’est la méthode la plus utilisé. Cette technique consiste à envoyé le gène d’intérêt dans les cellules végétales. En envoyant à très fortes vitesse des microbilles (bille de tungstène ou d’or de 1 micron

souvent regroupés et forment des domaines génétiques spécialisés Il s'agit, par exemple, des gènes ribosomiques, des gènes des histones, des gènes des globines ou encore des homéogènes contrôlant le développement Chez les Eucaryotes 4-« Auto-stop d’expression » Chez le Nématode, la Mouche et l'Homme, des gènes adjacents présentent un profil commun d'expression Ces régions de co-expression contiennent jusqu'à 20 gènes distincts soumis à une région globale de contrôle de l'expression (GRC pour

cellules. Le nombre des chromosomes est cons¬tant pour chaque espèce. Dans une cellule diploïde, chaque chromosome existe en deux exemplaires (chromosomes homologues). Code génétique (n.m.): Correspondance entre les codons de l'ARNm et les acides aminés. 20 acides aminés codent pour 64 codons d'ARNm (code redondant). Crossing-over (n.m.) : Échange de portions de chromatides entre chromosomes homologues, au niveau du chiasma, lors de la prophase de la première division de méiose. Cycle cellulaire (n

dominant. Remarque 3. Deux souches mutées dans un même gène, comme A et C dans l’exemple ci-dessus, ne sont pas forcément mutées, ni au même site dans le gène, ni de la même manière (il y a plusieurs types différents de mutation d’un gène, mutation stop ou non-sens, mutation faux-sens, mutation de décalage du cadre de lecture, mutation d’épissage, délétion ou insertion de triplets ou de séquences plus longues, mutation dans le promoteur, etc.). Deux allèles d’un gène sont dits homoallèles quand ils

de traduire son code : on l'appelle le code génétique. Sur chaque ARN messager se dispose des codons : c'est à dire 3 nucléotides qui ont été copié du gène. Ces codons possèdent le code génétique. Le ribosome se dispose sur le codon initiateur. C'est la fin de la phase 1 : phase d'initiation. La traduction va alors pouvoir se faire : c'est la phase d'élongation. Le ribosome va traduire le message du codon et va créer un acide aminé à partir de ce message grâce au code génétique. Il va avancer sur