Coercition

lui-même monopolisateur de la coercition légitime. Dans cette perspective, il ne fait pas de doute, pour Philippe Braud, que « la question centrale est la régulation de la coercition. Elle opère par marginalisation tendancielle de la violence physique et par mise en place d’un ordre juridique effectif. Il existe un système d’injonctions qui fait l’objet d’un travail permanent de légitimation, en même temps que son effectivité s’appuie sur la monopolisation de la coercition au profit des gouvernants »

objet de la coercition internationale Paragraphe 1 : La coercition comme punition ou sanction Paragraphe 2 : Le respect de la légalité internationale I. La cessation de l’illicite II. Le retour à la légalité Paragraphe 3 : La réparation et l’exécution I. La réparation et la question de l’articulation des contre-mesures et de la responsabilité internationale II. La coercition comme mode d’exécution A. L’exécution d’office B. L’exécution forcée C. La coercition comme mesure

mémorielle » peut-elle être utile ? Quelles sont les critiques que peuvent recevoir les lois mémorielles (en comparaison des lois « plus classiques ») ? n’oubliez pas les vidéos sur le cours moodle à ce sujet. Distinguez la force obligatoire de la coercition. Qui sont les rédacteurs du Code civil ? Quelle est la date d’entrée en vigueur du Code civil (dans le calendrier révolutionnaire) ? SAVOIR SE SERVIR DU CODE CIVIL Identifiez l’article 6 dans votre Code civil (outil indispensable) et

s’exerçait par la force. Que signifie la contrainte ? A l’origine la force brutale, physique, d’après Engels «  l’état c’est une bande d’hommes armés. » La contrainte n’est pas uniquement basée sur la force. b) Aspects du pouvoir politique. 1. La coercition La coercition est obligée à faire ce qu’on n’aura pas voulu faire, c’est la contrainte physique ou matérielle. La contrainte reste la base de fonctionnement du système, la police, l’armée, les milices, la justice. Deuxième élément de contrainte, la violence

présentée dans le sujet, l’Etat ou le marché, renvoie à deux modes de régulation des problèmes liés à l’énergie. Soit on considère qu’il est nécessaire qu’une autorité « supérieure », disposant d’un pourvoir de régulation (imposition de normes) et de coercition (recours possible à la contrainte pour faire respecter ces normes). Cela peut être l’Etat, mais aussi des autorités supranationales (l’Union Européenne ou une future agence mondiale pour le climat). Soit on pense que cette action est inutile, qu’il

contrainte extérieure(l’influence qu’exerce la société sur l’individu). On retiendra que pour Durkheim , un fait social obéit à 3 caractéristiques : - un fait social est extérieur à l’individu ; - un fait social est doté d’un pouvoir de coercition (de contrainte) ; - un fait social s’explique par d’autres faits sociaux. Pour comprendre un fait social, le sociologue devra adopter une démarche scientifique (analyser les faits sociaux comme des choses) : - écarter les prénotions (les

limites de l’autorité parentale. La troisième spécificité réside dans ce qui rend possible son exercice, c’est-à-dire dans cette capacité à réguler les conflits. Les capacités ici veulent dire que le pouvoir dispose nécessairement du pouvoir de la coercition qu’ils s’agissent de la force physique ou de la capacité à faire appliquer le droit. Le pouvoir politique s’appuie nécessairement sur une légitimité minimale. Il faut qu’il bénéfice d’un consentement même réduit de la par de ceux sur lesquels il

typologie de Parsons4 Voie d’action portant sur la situation Mode Positif Type de sanction Négatif Médium Pouvoir Médium Mode Incitation Monnaie Coercition les intentions Persuasion Influence Activation des engagements Engagements généralisés On relèvera qu’un seul des quatre modes est associé au pouvoir, à savoir la coercition. Pour Parsons, si la coercition n’épuise pas la totalité de la réalité du pouvoir, elle établit avec ce dernier un lien privilégié. En insistant sur cette liaison étroite, F

morale, etc. Si pas obéissance, sa situation personnelle s’en verra affaiblie. Pouvoir injonction suppose force, possibilité faire appliquer sanction contre volonté de la personne désobéissante. La crédibilité de la sanction dépend du pouvoir de coercition mais également de leur usage. Si la sanction ne st pas crédible ou pas mise en œuvre, le pouvoir d’injonction perd de sa force. Le pouvoir d’influence ne repose sur aucune contrainte. Elle l’exclue. Elle remplace la sanction négative par la

agissant ainsi, il se fait l'organe de l'intolérance générale du public. Supposons donc que le gouvernement ne fasse qu'un avec le peuple et ne songe jamais à exercer aucun pouvoir de coercition, à moins d'être en accord avec ce qu'il estime être la voix du peuple. Mais je refuse au peuple le droit d'exercer une telle coercition, que ce soit de lui-même ou par l'intermédiaire de son gouvernement, car ce pouvoir est illégitime. Le meilleur gouvernement n'y a pas davantage de droit que le pire : un tel pouvoir