Coeur Couronne Miroir Apollinaire

Repérez les paroles rapportées dans l’extrait suivant et dites chaque fois qui les prononce. J’avais le défaut d’être excessivement timide et facile à déconcerter ; mais loin d’être arrêté par cette faiblesse, je m’avançai vers la maîtresse de mon cœur. (…) Je lui demandai ce qui l’amenait à Amiens, et si elle y avait quelques personnes de connaissance. Elle me répondit ingénument qu’elle y était envoyée par ses parents pour être religieuse. Quand on rapporte les paroles ou les pensées de

quelques grands auteurs, comme John Ford (1895-1973). Pendant un demi-siècle, il a défendu et incarné les valeurs de la civilisation américaine. Avec ses personnages spécifiques : le shérif ou marshal (ou les rangers), le cow-boy bagarreur ou au grand cœur, le délinquant repenti, et les diverses figures d’officiers et soldats, ou encore médecins ou journalistes. Et ses valeurs universelles : le courage, la liberté, la démocratie au service de tous, et la prise en charge par chacun de son destin personnel

dire. Cela m'est égal. Tout m'est égal. Je veux que ton bras retrouve le chemin de ma taille, ta tête le chemin de mon épaule sans aucune arrière-pensée.» Et, au rideau du premier acte, elle obtient cette union des corps qu'elle désire de tout son cœur. Mais Monime est enceinte et devrait se faire avorter. La vieille duchesse de Granat, ridicule dans son fauteuil à oreilles, tyrannique, qui est immensément riche, qui est la tante et la tutrice de Monime, qui est mineure, lui refuse la permission

Bel 1295. Retour d’Asie du marchand vénitien Marco Polo 1302 1328 1337 Première réunion des états généraux Fin de la branche des capétiens directs lors de la mort du 3e fils de Philippe le Bel Prétention du roi d’Angleterre Édouard III à la couronne de France : début de la guerre de Cent Ans Défaite de Crécy contre les Anglais Défaite de Poitiers contre les Anglais. Jean le Bon prisonnier des Anglais Révolte de Paris avec Étienne Marcel : volonté de réduire les pouvoirs du roi de France 1346

dire. Cela m'est égal. Tout m'est égal. Je veux que ton bras retrouve le chemin de ma taille, ta tête le chemin de mon épaule sans aucune arrière-pensée.» Et, au rideau du premier acte, elle obtient cette union des corps qu'elle désire de tout son cœur. Mais Monime est enceinte et devrait se faire avorter. La vieille duchesse de Granat, ridicule dans son fauteuil à oreilles, tyrannique, qui est immensément riche, qui est la tante et la tutrice de Monime, qui est mineure, lui refuse la permission

d’information, d’explication, de comparaison. Il s’intéresse à cette civilisation et souhaite partager son expérience sans porter de jugement sur une culture différente. Ainsi, comme Nerval, il s’intègre et salue comme dans le pays en mettant la main sur le cœur, il note le respect des musulmans vis à vis des Européennes et la dépendance dans laquelle ils tiennent leurs propres femmes. Il évoque le Gouverneur de Jaffa et dit à son propos qu’il est doux, franc, pieux, simple, rêveur, fier, noble. Ce dernier

bocal, de fruits. De ces rapprochements opérés par le poète naissent des images qui jettent un éclairage nouveau sur le monde qui nous entoure. • On distingue deux procédés pour créer une image : la comparaison et la métaphore. « Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville » (Paul Verlaine) : pour exprimer la ressemblance entre son chagrin et la pluie qui tombe, le poète a recours à un outil grammatical, le mot comme, qui établit une sorte de pont entre les deux éléments. Il fait une comparaison

des tiers ou qu’elle pouvait lire dans la presse ne la rassurait tout à fait. Certes, elle se réjouissait de mes succès, en parlait avec ses amis, convenait que mon père, mort avant de les connaître, en aurait été heureux mais, dans le secret de son cœur demeurait l’anxiété qu’avait fait naître à jamais le mauvais élève du commencement. Ainsi s’exprimait son amour de mère ; quand je la taquinais sur les délices de l’inquiétude maternelle, elle répondait joliment par une blague à la Woody Allen : —

collective qui frappait tous les membres d’un clan pour la faute de l’un des leurs. On recherche l’intention coupable individuelle, dont la gravité permet de graduer la peine. C’est ainsi que le meurtre est distingué de l’assassinat. Par un effet miroir, l’action devient aussi individuelle et devient populaire, i.e. ouverte à tout citoyen. On distingue ici quelques éléments qui sont toujours des éléments du droit pénal moderne. Pourtant, certains, comme le rappelle Plutarque ont écrit que les lois

BOUCHERET re Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville