Coexistence Pacifique T Décolonisation

responsable des engagements internationaux. Il va être sujet à une appréciation divergente selon les cas par les autres Etats. Généralement un gouvernement doit être reconnu par les autres Etats. (Ex : Dans la guerre Cambodge/Vietnam il a y a eu la coexistence de 2 gouvernements au Cambodge. Il y a un premier gouvernement qui était déjà établit au Cambodge reconnu par l’URSS et un autre (Khmer Rouge) qui était reconnu et soutenu par la Chine et les USA il était dirigé par polpot. Jusqu’en 1991, le gouvernement

obligations et principes : Obligation de règlement pacifique des différents Non-ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat (mais émergence d’un droit d’ingérence humanitaire). Par l’appartenance à une organisation internationale. D – La prolifération du nombre d’Etat et leur diversificationEn 1914 = 53 Etats reconnus et indépendants, aujourd’hui il y en a environs 200 dont 192 membres de l’ONU. Suite à la décolonisation il y a eu prolifération. Entre 45 et 49, 58 pays adhèrent

Roosevelt abandonne la convertibilité du $ ie effondrement du GES 1941 Charte de l’Atlantique : exigence américaine du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. L’avant 1914 mondialisation ou « inter-nationalisation » ? I. La paradoxale coexistence de la mondialisation et du nationalisme. -On assiste à une mondialisation des échanges grâce à la révolution des transports (maritime & ferroviaire) ainsi qu’à l’arrivée du télégraphe. Ces révolutions mettent en compétition les territoires

se développe en plusieurs étapes ; au dix-neuvième siècle en Amérique latine, au début du vingtième siècle en Europe avec l’éclatement des empires austro-hongrois et ottoman, au milieu du vingtième siècle en raison des vagues successives de la décolonisation et surtout entre la période de 1960 à 1973, qui a connu une accélération importante de ce processus, en fin au début des années 1990, avec l’effondrement de l’URSS et la disparition du communisme. Cette augmentation du nombre d’Etats

le droit international demeure un droit de la coexistence entre égale souveraineté dont il contribue à ajuster les compétences respectives comme les prétentions concurrentes. En effet, ce droit s'affirme comme un droit de la coopération. Il apparaît comme un droit de la communauté internationale et de l'humanité dont il aura à charge dans le siècle naissant de protéger les intérêts sinon de garantir la survie. Ces trois dimensions à savoir coexistence, coopération, et communauté constituent les principaux

possibilité, en matière de génocide et de crime contre l’humanité, les Etats agissent et se heurtent au droit de la Charte. Aucun tribunal n’a tranché la question. C- L’obligation de règlement pacifique des différends - Art 33 du chapitre VI et article 2§3 de la Charte : obligation de règlement pacifique des différends internationaux - C’est la prolongation du différend qui déclenche l’obligation. - Le texte énonce un certain nombre de moyens diplomatiques (médiation, négociations…), judiciaires

la Chine a affirmé son support pour les essais d’émancipation africains. En échange pour l’aide fournie, la Chine espérait la reconnaissance diplomatique. Or, le moment décisif dans la politique chinoise envers l’Afrique venait en 1960, avec la décolonisation de l’Afrique Noire. Depuis ce moment-là, Beijing se proclamait soi-même leader du Tiers Monde. C’est en relation de ces événements que Mao Tsé-toung formulait en 1963 sa théorie des trois mondes : à côté du Premier et du Deuxième Monde, il parle

DE VIENNE loppement entre les Nations de relations amicales que favorisera, quelle que soit la diversité de leurs régimes constitutionnels et sociaux, une convention sur les relations et immunités diplomatiques; il s'agit d'une coexistence non seulement pacifique mais amicale (15). Bien qu'il ait été élaboré après coup, en quelque sorte, et ne soit apparu qu'à Vienne, le préambule éclaire assez heureusement l'essai de codification qui a été tenté. Il souligne une continuité historique traditionnelle

son autonomie politique, mais est occupée militairement. Pour la Pologne, il y a un changement de frontière. Enfin les Etats Baltes sont inclus dans l’Union Soviétique. Enfin la conférence de Postdam a pour objectif de régler le problème dans le pacifique.   La rupture a lieu lors du discourt de Truman qui parle dans monde divisé en deux : une partie libre et l’autre oppressée par la terreur. Le discourt JDanov est une réponse, il parle qu’il y a un coté avec des impérialiste et des anti-impérialistes

discours traditionnel dans la pratique des Etats doit être dépassé, tout Etat a des arrières pensées, un programme caché. Toute action vise à satisfaire ses intérêts. Ce discours réaliste est d’un pessimiste fort mais permet d’éviter des relations trop pacifiques. Cette pensée réaliste va être très largement remise en cause par la 2nde WW. Les réalistes se transforment en néoréalistes. Domination de cette pensée réaliste. Les courants trans-nationalistes Ces courants apparaissent en réaction au