Coing

dans la maison de Capulet. le jour se lève. Entrent lady Capulet et la nourrice. LADY CAPULET, donnant un trousseau de clefs à la nourrice. Tenez, nourrice, prenez ces clefs et allez chercher d’autres épices. LA NOURRICE On demande des dattes et des coings pour la pâtisserie. (Entre Capulet.) CAPULET Allons ! debout ! debout ! debout ! le coq a chanté deux fois ; le couvre-feu a sonné ; il est trois heures. (À Lady Capulet.) Ayez l’œil aux fours, bonne Angélique, et qu’on n’épargne rien. LA NOURRICE

la maison de Capulet. le jour se lève. Entrent lady Capulet et la nourrice. LADY CAPULET, donnant Un trousseau de clefs à la nourrice. Tenez, nourrice, prenez ces clefs et allez chercher d'autres épices. LA NOURRICE. - On demande des dattes et des coings pour la pâtisserie. ( Entre Capulet. ) CAPULET. - Allons! debout! debout! debout! le coq a chanté deux fois ; le couvre-feu a sonné ; il est trois heures. (À lady Capulet. ) Ayez l'oeil aux fours, bonne Angélique, et qu'on n'épargne rien. LA NOURRICE

Maritime, 1995, BERGOUGNOUX (J) : « Services publics en réseau », la documentation française, 2000, CHANSON-JABEUR (Ch), PRENANT (A), RIBEAU (P) et SEMMOUD (B) : « Les services publics et leurs dynamiques au Maghreb et au Machrek », L’Harmattan, 2001, COING (H) : la notion de service public, in: Ces réseaux qui nous gouvernent ? Sous la direction de M. Gariépy et M. Marié, L’Harmattan, 1997, COLLECTIF : « Services publics et usagers dans les quartiers en difficulté », Documentation française, 2001, COUTARD

|384 | |Circuit ville impérial |290 | |Circuit out coing |430 | |Croisier |369

fait pas suivant la partie consommée mais de leur constitution : 1. les fruits à noyaux : cerise, mirabelle, prune de Sainte-Catherine, prunes diverses, pêche, nectarine, brugnon... 2. les fruits à pépins : raisin, pommes, poire, pastèque, melon, coing, figue... 3. les fruits rouges ou baies : fraise, fraise des bois, framboise, cassis, myrtille, groseille à maquereau, groseille, airelle 4. les agrumes : orange, citron, pamplemousse, mandarine, clémentine, cédrat... 5. les fruits secs : datte, figue

qu'il n'y avoit Françoys en Italie plus digne d'estre aymé que cestuy-là, car il estoit accomply de toutes les beaultez et graces que gentil homme pourroit avoir. Et, combien qu'il veist ceste dame, avecq son crespe noir, separée de la jeunesse en ung coing, avecq plusieurs vielles, comme celluy à qui jamais homme ne femme ne feyt paour, se meist à l'entretenir, ostant son masque et habandonnant les dances pour demorer en sa compaignye. Et, tout le soir, ne bougea de parler à elle et aux vielles toutes

et s'écria gaiement: --Elle a vingt-trois ans aujourd'hui, l'enfant, il faudra bientôt s'occuper d'elle. Eugénie et sa mère se jetèrent silencieusement un coup d'oeil d'intelligence. Madame Grandet était une femme sèche et maigre, jaune comme un coing, gauche, lente; une de ces femmes qui semblent faites pour être tyrannisées. Elle avait de gros os, un gros nez, un gros front, de gros yeux, et offrait, au premier aspect, une vague ressemblance avec ces fruits cotonneux qui n'ont plus ni saveur ni

s’écria gaiement : – Elle a vingt-trois ans aujourd’hui, l’enfant, il faudra bientôt s’occuper d’elle. - 22 - Eugénie et sa mère se jetèrent silencieusement un coup d’œil d’intelligence. Madame Grandet était une femme sèche et maigre, jaune comme un coing, gauche, lente ; une de ces femmes qui semblent faites pour être tyrannisées. Elle avait de gros os, un gros nez, un gros front, de gros yeux, et offrait, au premier aspect, une vague ressemblance avec ces fruits cotonneux qui n’ont plus ni saveur

et s’écria gaiement : — Elle a vingt-trois ans aujourd’hui, l’enfant, il faudra bientôt s’occuper d’elle. Eugénie et sa mère se jetèrent silencieusement un coup d’œil d’intelligence. Madame Grandet était une femme sèche et maigre, jaune comme un coing, gauche, lente ; une de ces femmes qui semblent faites pour être tyrannisées. Elle avait de gros os, un gros nez, un gros front, de gros yeux, et offrait, au premier aspect, une vague ressemblance avec ces fruits cotonneux qui n’ont plus ni saveur

s'écria gaiement : - Elle a vingt-trois ans aujourd'hui, l'enfant, il faudra bientôt s'occuper d'elle. Eugénie et sa mère se jetèrent silencieusement un coup d'oeil d'intelligence. Madame Grandet était une femme sèche et maigre, jaune comme un coing, gauche, lente ; une de ces femmes qui semblent faites pour être tyrannisées. Elle avait de gros os, un gros nez, un gros front, de gros yeux, et offrait, au premier aspect, une vague ressemblance avec ces fruits cotonneux qui n'ont plus ni saveur