Col de la Faucille

cet uniforme qui était, à la lettre, ma véritable garnison ! Quand je m’ennuyais par trop dans cette ville sans mouvement, sans intérêt et sans vie, je me mettais en grande tenue, – toutes aiguillettes dehors, – et l’ennui fuyait devant mon hausse-col ! J’étais comme ces femmes qui n’en font pas moins leur toilette quand elles sont seules et qu’elles n’attendent personne. Je m’habillais... pour moi. Je jouissais solitairement de mes épaulettes et de la dragonne de mon sabre, brillant au soleil, dans

poitrine forte, les seins gonflés ; elle tient de la main droite un faisceau d'épis, et de la gauche une torche ardente. Sa robe tombe jusque sur les pieds, et souvent elle porte un voile rejeté en arrière. Parfois on lui donne un sceptre ou une faucille : deux petits enfants, attachés à son sein et tenant chacun une corne d'abondance, indiquent assez la nourrice du genre humain. Elle porte une draperie de teinte jaune, couleur des blés mûrs. Cérès “ Elle est entièrement vêtue, symbole de la Terre

............................................... « cervelle », « spondyles du cou », « reins », « mandibules », ............................................................................. « dents », « omoplates », « greves », « ischies », « faucilles ». On ............................................................................. retrouve la formation médicale de l’humaniste Rabelais. ............................................................................. 2. Cette scène paraît-elle

être - venait à moi comme un secours d'en haut pour me tirer du néant d'où je n'aurais pu sortir tout seul; je passais en une seconde par-dessus des siècles de civilisation, et l'image confusément entrevue de lampes à pétrole, puis de chemises à col rabattu, recomposaient peu à peu les traits originaux de mon moi. Peut-être l'immobilité des choses autour de nous leur est-elle imposée par notre certitude que ce sont elles et non pas d'autres, par l'immobilité de notre pensée en face d'elles.

poitrine forte, les seins gonflés ; elle tient de la main droite un faisceau d'épis, et de la gauche une torche ardente. Sa robe tombe jusque sur les pieds, et souvent elle porte un voile rejeté en arrière. Parfois on lui donne un sceptre ou une faucille : deux petits enfants, attachés à son sein et tenant chacun une corne d'abondance, indiquent assez la nourrice du genre humain. Elle porte une draperie de teinte jaune, couleur des blés mûrs. |Cérès

sous un angle nouveau. En effet, si chaque œuvre est particulière, chaque nouvelle peut se regarder à travers la lentille du baroque, tout en trompe-l'œil, en faux semblant où se mêlent réalisme et imaginaire, où le masque des personnages semble leur coller au visage et où toute vérité doit s'interpréter, où toute image peut être symbole. La notion même de réalisme et d'emprunts au réel est fondamentale lorsqu'il s'agit d'analyser toute substance fantastique[25], les nouvelles se révélant être une mise

refermer malle, la Jacques au criant en ! à moi secours : les Le sur voleur! ! » étaient leurs se porte-balle ses épaules, et hâte suit à l'assassin! voleur! au C'était dans des la saison couverts travailleurs. de de autour faucilles,s'attroupent lui demandent et où le voleur, où est cet sassin. l'as- est voilà, le voilà là-bas. ! celui Quoi — remet ! à moi champs laissent homme, « «Au Le » à recouvrée, ... récoltes Tous : la montre bourse... présent

Malte, et plusieurs autres princes et grands seigneurs, qui baisèrent tous les pieds du pape, hormis les Ducs de Bouillon et de Wittemberg, Protestants. [Ce] qui n'était pas pour avoir absolution (comme fit ce Duc de Venise, lequel prit la corde au col, marchant à quatre pieds devant le Pape Clément V) ou pour acheter paix, comme fit Frédéric Barberousse, lequel pour avoir son fils prisonnier endura que le pape Alexandre III marchât sur sa tête, si les histoires sont véritables. Qui sont tous arguments

Women’s Texts and a Critique of Imperialism », Critical Inquiry(XII, i), Autumn 1985, p.243). Jacqueline Bardolph : op.cit., p.12. J.M.Moura : L’Image du tiers monde dans le roman français contemporain, Paris : P.U.F., 1992 ; Maurizio Segura : La Faucille et le condor. Le discours français sur l’Amérique latine (1950-1985), Presses de l’Université de Montréal, 2005. Sur les études d’imagologie, cf. J.M.Moura : L’Europe littéraire et l’ailleurs, Paris : P.U.F., 1998. Sur l’interprétation de la thèse

décida que le drapeau de la flotte marchande deviendrait le drapeau de toute la Russie. Mais ce drapeau tricolore ne resta pas longtemps drapeau d’État. En 1918 les bolcheviks le remplacèrent par le drapeau rouge. Et ce drapeau rouge, frappé de la faucille et du marteau resta le drapeau d’État jusqu’à la fin de l’URSS. Mais le 22 août 1991 le vieux drapeau russe revint à la vie : il fut hissé au-dessus du parlement de la Russie au Kremlin. Les couleurs de la Russie et de la France sont les mêmes, mais