Collapsus

se terminent par des alvéoles. Les alvéoles sont constituées de 2 types de cellules les pneumatocytes I et II. Ces derniers secrètent le surfactant qui recouvre la surface interne des alvéoles et maintient les alvéoles ouvertes pour éviter le collapsus. Les alvéoles sont directement au contact des capillaires sanguins et la paroi des alvéoles et des capillaires fusionnent pour former la barrière alvéolo- capillaire .C’est au travers de cette 3 paroi que le O2 présent dans les alvéoles passe

symptômes sont : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma, collapsus cardiovasculaire, insuffisance respiratoire. Les manifestations suivantes peuvent également apparaître : hyperthermie et hypersudation aboutissant à une déshydratation, agitation, convulsions, hallucinations et hypoglycémie. Une dépression du système nerveux central peut aboutir à un coma, un collapsus cardiovasculaire et un arrêt respiratoire. Conduite d'urgence : Date de mise à jour : 11/02/2015

abdominales, léthargie, vertiges et acouphène. Un surdosage important, donne des effets de perturbations électrolytiques, (par exemple : perte en potassium), éruption cutanée, hypoglycémie, trouble de la vue et de l'ouïe, confusion, somnolence, collapsus, convulsions, dépression respiratoire, anurie et hémorragie eventuelle. La cause la plus commune de la mort après un surdosage d'aspirine est un arrêt cardiaque habituellement due à un œdème pulmonaire Le surdosage entraînent des conséquences

soumises à une trop faible intensité lumineuse, il y a multiplication des pseudo-vacuoles gazeuse : ce qui permet une remontée vers la surface. ( Donc : plus l’intensité lumineuse augmente, plus la pression osmotique augmente. On assiste donc a un collapsus ou dégonflement de ces vacuoles qui entraîne la descente des ces bactéries. Le génome : Il est constitué de fibrilles d’ADN localisées dans le nucléoplasma. 3\ Cyanobactéries coloniales et multiplication asexuée. Certaines

dépendant), cardiopathie (valve mécanique aortique).Il est hospitalisé depuis le début octobre pour des soins d’ulcère veineux de la jambe gauche à l’hôpital du Saint Esprit. Pendant son hospitalisation il fait une détresse respiratoire aigue avec collapsus et un trouble de la conscience. Il est pris en charge par les pompiers et est transféré au CHUM au déchoquage puis transfert en réanimation pour décompensation cardiaque dans un contexte septique sans point d’appel clinique avec défaillance hémodynamique

? L’infirmière décide toutefois de réintroduire cette même sonde pour la cinquième fois, en vain. Madame C. est épuisée, elle ferme les yeux. Je sens sa tête qui pèse dans mes mains, elle ne respire plus. L’infirmière m’explique qu’elle fait un collapsus, le monitorage montre un arrêt des contractions cardiaques. Cette dernière réagit aussitôt, retire la sonde, lui tapote sur la joue, lui parle pour la faire réagir mais rien ne se produit. Elle appelle les ambulanciers du SMUR qui se trouvent dans

régressive, CMV, EBV, PNP à mycoplasme…), DICV, iatrogènes…  Clinique : sd anémique, hémolyse C (ictère, urines porto, splénomégalie, fébricule) ou aigue (malaise, fièvre, frissons, céphalées, vomissements, dlrs lombaires et abdominales, signes de collapsus). Si Ac froids = hémolyse + Raynaud + nécrose digitale au froid…  Paraclinique : anémie normocytaire régénérative, sphérocytes au frottis, bili L et LDH augmentés, Haptoglobine effondrée. Test de Coombs direct + recherche agglutinine froide en cas

rachis (dérivation épineuse), reliefs osseux (épaule, humérus), thorax (mobilité), abdomen, bassin (stabilité), fémur, plateau tibiaux. Examen clinique avant et après relevage ou extraction du patient. Détresse circulatoire : signes de choc, collapsus, hémorragie. Choc hypovolémique dû à : Une hémorragie extériorisée. Des fractures multiples. Un hémothorax ou hémopéritoine. Un hématome rétropéritonéal. Défaillance de la pompe cardiaque due à : Un pneumothorax compressif. Une tamponnade

INCIDENTS ACCIDENTS Des risques d’accidents banaux : - Réaction inflammatoire locale, rougeur, induration, douleur. - Fébricule quelques fois - Apparition d’adénopathies - Céphalées - Nausées quelques fois Des risques d’accidents toxiques (rares) : - Collapsus - Réaction anaphylactique : éruption urticarienne, œdème de quincke• VACCINS INACTIVE, INERTE : Ce sont des vaccins contenant la toxine du germe inactivée par des procédés physico-chimiques. Il a perdu son pouvoir de multiplication et de virulence

en évidence des râles crépitant aux bases pulmonaires remontant vers les sommets réalisant la classique ’’marée montante’’ de râle crépitants l’évolution est souvent favorable sous traitement, sinon c’est la mort dans un tableau d’asphyxie et de collapsus Œdème subaigu : Il se manifeste par une toux nocturne ou d’effort = Asthme cardiaque 2. a.3. La dyspnée permanente : (orthopnée) b. La toux : Elle traduit un œdème subaigu Elle survient la nuit ou à l’effort c. Les autres manifestations :