Collapsus

par baisse du retour veineux et augmentation des résistances vasculaires -stimulation sympathique -activation du système neurohormonal -baisse de la contractilité myocardique (liée à l’hypercapnie) -arythmie ou bradycardie d’origine vagale Collapsus hémodynamique : -par plaie d’un gros vaisseau 4-Postopératoires : Dysfonction diaphragmatique : -peut persister 24heures NVPO : -incidence : jusqu’à 48% -traitement : diminution des opiacés, stérons MVTE : -risque théorique- si cholécystectomie

conducteur qui ne verrait pas s'allumer un à un les voyants de son tableau de bord. Il continue à se donner, ne reçoit pas les signaux de la fatigue, d'un coup de chaleur… Il peut ainsi continuer jusqu'à la défaillance, jusqu'à la mort par épuisement (collapsus, désamorçage cardiaque, déshydratation…). Morts pour ne pas être parvenu à prendre en compte ses propres douleurs. En dépit de ces dangers, les amphétamines continuent à être utilisées soit comme stimulants, soit comme produits masquant. Parallèlement

hypoxie. Apparition de troubles de la mécanique ventilatoire Douleur, dyspnée. Troubles cardiaques → les syndromes des traumatismes thoraco-abdominaux : anoxie = cyanose anémie = pâleur, lipothymie (malaise passager, d'origine vasomotrice), collapsus (malaise avec chute de tension) hypercapnie = sueurs atelectasie = correspond à un affaissement localisé, plus ou moins étendu, d'alvéoles pulmonaires, par privation de ce flux aérien (obstruction bronchique) alors que leur circulation sanguine

conducteur qui ne verrait pas s'allumer un à un les voyants de son tableau de bord. Il continue à donner, ne reçoit pas les signaux de la fatigue, d'un coup de chaleur...Il peut ainsi continuer jusqu'à la défaillance, jusqu'à la mort par épuisement (collapsus, désamorçage cardiaque, déshydratation...). Morts pour ne pas être parvenu à prendre en compte ses propres douleurs. En dépit de ces dangers, les amphétamines continuent à être utilisées soit comme stimulants, soit comme produits masquant. Parallèlement

pertes de connaissance, des convulsions, de la transpiration, etc. L’insuffisance rénale C’est le résultat d’une nécrose tubulaire aiguë. Elle est réversible et se traduit par une oligurie inférieure à 0,3 ml/kg/heure. Elle est favorisée par le collapsus et l’hypotension. Des œdèmes et/ou un hoquet caractérisent un stade avancé d’insuffisance rénale. L’ictère C’est un ictère hémolytique avec prédominance de bilirubine non conjuguée issue de la transformation de l’hémoglobine dégradée en bilirubine

traités de médecine égyptiens découverts lors de l'invasion de l'Égypte au VIIe siècle, dont le traité de Galien sur la circulation (traduit par Averroès). À partir du Xe siècle, ils décrivent de nombreuses maladies cardiovasculaires (thrombose et collapsus pour Avicenne, péricardite pour Avenzoar). Ibn Al-Nafis décrit le premier la circulation pulmonaire (petite circulation) et l'enrichissement du sang en air par les poumons en 1242. Au XVIe siècle, Michel Servet (espagnol) décrit la circulation pulmonaire ;

particulière de la peau et du tissu sous-cutané et l’insuffisance d’apports protido-caloriques augmentent le risque d’escarre en cas de maladies cardio-vasculaires, d’hypotension artérielle ou d’hyperthermie ; - en soins intensifs, la fréquence des collapsus, la gravité de l’état initial, l’incontinence fécale, l’anémie et la longueur du séjour sont des facteurs prédictifs du risque d’escarre. L’utilisation d’échelles de risque reproductibles et validées associée à une évaluation clinique initiale permet

généralisés (érythème, urticaire, angio-œdème) Au moins stade 1 ou 2, associé à des symptômes digestifs ou à une rhinoconjonctivite ¨dème laryngé modéré (changement de voix, raclement de la gorge), asthme modéré Dyspnée marquée, signes d’hypotension (collapsus, perte de conscience) 2. 3. 4. 5. Ainsi, l’allergie est plus sévère quand la réaction survient après l’ingestion d’une petite quantité d’aliment par comparaison à une réaction déclenchée par une grande quantité. Une réaction par inhalation

postopératoire poussée et prolongée. * Système cardio-vasculaire :14 * Arrêt cardio-circulatoire (ACC ou ACR) * Chocs (hémorragique, hypovolémique, septique, anaphylactique, cardiogénique) ou collapsus * Insuffisance cardiaque aiguë * Pré-éclampsie * Collapsus de reventilation * Système nerveux central :15 * Coma (post-traumatique ou non traumatique) * État de mal épileptique * Accident vasculaire cérébral (AVC) * Hypertension intra-crânienne (HTIC)

(hypotension orthostatique, troubles de la conduction, arythmie). ¤Neurologiques (tremblements, dsyarthries, vertiges). -Interactions : ¤Inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO : antidépresseurs) : crises hypertensives, collapsus. ¤Neuroleptiques : augmentation des effets anti-cholinergiques. ¤Barbituriques : diminuent le seuil convulsifiant des barbituriques. ¤Anticholinergiques : effet potentialisé.