Collapsus

contact : Phase déclenchante 4) Il faut une identité stricte entre le 1er et le 2ème Ag déclenchant  La réaction est spécifique d’un Ag donné 5) Libération des médiateurs de l’inflammation après le 2ème contact Action pharmacologique : BD VD Collapsus Péristaltisme accru 6) Clinique : Cutané : Dermatite, urticaire, œdème de Quincke avec dyspnée laryngée puis asphyxie Oculaire : Conjonctivite, kératite Respiratoire : Rhinite, pharyngite, asthme Digestif : VD, douleurs abdominales III/

indirects 3Troubles de l’obstruction : ventilation fonction de Sémiologie d ’un COLLAPSUS LOBAIRE Normal 1- SIGNES DIRECTS : • Opacités triangulaires – à sommet hilaire – à base périphérique • Rétractile : – perte de volume fonction de la rétraction • Déplacement – des scissures (concave vers le poumon sain) – du hile Atélectasie • sans bronchogramme aérique (+/-) Sémiologie d ’un COLLAPSUS LOBAIRE 2- SIGNES INDIRECTS : • Déplacement du médiastin vers le côté malade •

invasive (VNI) est le stade qui se trouve juste avant l'intubation. Elle est faite sur un patient conscient. 2) incidents et accidents : -Collapsus de reventilation : le patient en détresse respiratoire doit être ventilé tout doucement car il s'est mis en vasoconstriction et qu'un apport massif le fait passer brusquement en vasodilatation entrainant un collapsus cardiaque. -Lésions pulmonaire : atélectasie : encombrement des bases des alvéoles. SI la température de l'air insufflé est trop chaud

reproduit à différents volumes pulmonaires. La respiration courante fonctionnelle est décrite en plusieurs points : La respiration courante fonctionnelle D’abord, le patient réalise une inspiration diaphragmatique et de manière lente afin d’éviter un collapsus ou un asynchronisme ventilatoire et pour un remplissage uniforme du poumon l’inspiration est prise par le nez afin de réchauffer et d’humidifier l’air cette inspiration est plus profonde que la normale, Chevaillier décrit une inspiration environ

Radiographie thoracique - ECG - Echocardiographie montrant un épanchement péricardique Traitement : • Repos strict au lit • ASPIRINE • AINS • COLCHICINE Evolution : + Tamponnade + Chronicité Tamponnade : Définition : C’est un collapsus provoqué par une compression aiguë des cavités cardiaques droites par un épanchement péricardique. Signes cliniques : * Dyspnée majeure (décubitus) * Tachycardie * Diminution de la tension artérielle * Disparition du pouls radial à l’inspiration

concentration en hémoglobine dans le sang, visualisée sur la Numération Formule Sanguine. Cette anémie va, selon son degré, entraîner une diminution de l’oxygénation des tissus. * une baisse de la pression artérielle pouvant aller jusqu’au collapsus avec diminution de la perfusion d’organes vitaux. * Si le saignement n’est pas extériorisé (non visible), celui-ci peut constituer une poche sous pression et comprimer les tissus ou organes adjacents, parfois vitaux (hémorragie intra cérébrale

troubles digestifs majeurs provoquent une fatigue importante, une soif intense et des crampes musculaires traduisant la déshydratation massive. L'hypothermie (baisse de la température) est de règle. Une perte de poids rapide, un état stuporeux, le collapsus cardiovasculaire ne tardent pas à survenir et la mort est fréquente en l'absence de traitement. Le vibrion peut être vu au microscope sur l'examen des selles. La coproculture retrouve le vibrion cholérique dont la culture est aisée. Il existe un

compensateurs) - - entraînant la souffrance des organes dont la circulation est altérée (hypoxie tissulaire, acidose lactique à cause de l’anaérobie, nécrose tissulaire) Diagnostic Différentiel : - arrêt circulatoire (par arrêt cardiaque) - collapsus : diminution de tension artérielle isolée - insuffisance cardiaque      CLINIQUE • Signes généraux (aspects non spécifiques) anxiété, agitation, malaise général tachypnée soif • Signes cutanés pâleur cyanose, marbrures froideur

12 heures à 6 jours digestifs avec du ptyalisme, de la dysphagie, des coliques, une diarrhée blanchâtre à odeur d’ail accompagnée de ténesme, une inrumination et une déshydratation sévère. Puis, une paralysie sensitive et motrice survient, un collapsus cardio-respiratoire et enfin, la mort La dose toxique est de : 8 à 10 g de feuilles fraîches par kg de poids vif, pour les bovins g.Laurier rose (Nerium oleander La mort subite est le symptôme le plus fréquent Autrement, les symptômes

bronchopulmonaire, insuffisance respiratoire (cyanose due à l’hypoxie, tirage sus-sternal, sueurs et HTA liées à l’hypercapnie) ; - de troubles végétatifs : bradycardie par hypertension intracrânienne, poussées hypertensives par HTIC ou hypercapnie, collapsus d’origine centrale ou respiratoire, hypothermie ; - de signes d’hypertension intracrânienne pouvant témoigner d’un blocage à l’écoulement du LCR avec hydrocéphalie lié au feutrage arachnoïdien ; - d’un choc septique ou d’une pathologie sous-jacente