Collectivisme économique

haute bourgeoisie et des élites sociales. La thèse dégagée dans cet extrait est que la « classe titulée » (« classe supérieur ») dites fortunées (aristocratie, bourgeoisie…) disposent d'un capital social très important en plus de leur capital économique et de nombreux outils pour les entretenir et les développer (réseaux, clubs, loisirs) on pourrait donc parler de richesse sociale. Le couple Pinçon met l’accent sur la

Systèmes économiques |Comparaison |Capitalisme |Socialisme  |Communisme | |Globalement  |Démocratie élective  |Social-démocratie  |Démocratie populaire  | |Propriété  |Individuelle  |Collective  |Étatique | |Contrôle  |Personnel, via la propriété |Collective, via des groupes |Gouvernemental et

Une économie de marché est un système économique où les biens et services sont échangés sur la base des prix relatifs grâce au mécanisme de l'offre et de la demande. Pour Robert Gilpin la dynamique de l'économie de marché tient non seulement aux prix relatifs mais également à l'importance accordée à la concurrence et à l'efficience dans l'activité économique[N 1]. Cette dynamique[1] favorise la croissance économique et l'extension géographique de l'économie de marché au-delà des frontières politiques

l’Etat doit être riche et les citoyens pauvres », Machiavel posait également le principe d'une opposition d'intérêt entre l’Etat et les individus. 1.2. Les physiocrates • La pensée physiocrate est contemporaine de la naissance du libéralisme économique en France au début du XVII siècle. • Pierre le Pesant, sieur de Boisguilbert (1646-1714) (Le Factum de la France, 1707) : critique de l’Etat qui perturbe le fonctionnement de l’économie par ses emprunts, ses dépenses et ses impôts. • Vincent de

particulièrement en matière économique, penche assez nettement vers l’interventionnisme étatique. Les nombreuses mesures prises par l’Etat français en réaction à la crise des subprimes de 2008 l’ont suffisamment montré : renflouement des banques, prime à la casse et autres subventions pour relancer l’économie. Ce faisant, la politique actuelle de la droite semble renouer avec une certaine attitude gaulliste. Il est certes bien difficile de définir la doctrine économique du gaullisme. Son inspirateur

Fondements, objectifs et instruments de la politique économique Au cours de l'histoire, l'État est souvent intervenu pour réguler l'économie. Son degré d'intervention en la matière a toujours fait l'objet de discussion doctrinale. Faut-il plus d'État ou moins d'État ? Le débat reste d'actualité. Les politiques menées par la puissance publique sont nombreuses mais doivent respecter les règles liées à l'intégration européenne. En effet, si l'appartenance à la zone euro constitue un avantage certain

stabilité, inversement d’autre estiment que la justice est la finalité naturelle du droit. Ces différentes positions doctrinales (Ordre / Justice) peuvent être synthétisées à partir de 3 angles d’analyse : l’idée de la justice, l’individualisme, et le collectivisme. Schéma récapitulatif LE DROIT A POUR FINALITE ? L’ORDRE LA JUSTICE Maintient de la sécurité et de la stabilité Finalité naturelle du droit, Recherche de la sanction Collectivité Individu Justice 4 - A) le droit a-t-il

libéralisme économique n’a cessé de s’étendre. Peu à peu, ses idées se sont imposées. Aujourd’hui, à la lecture des évènements économiques et financiers, on constate que ce libéralisme n’en est pas moins porteur de risques. Dans une première partie, nous examinerons les bases du libéralisme économique : quel est son principe et quelles sont ses affirmations ? Puis, en seconde partie, nous établirons le bilan du libéralisme mis en œuvre. I – LES BASES DU LIBERALISME ECONOMIQUE 1/ Son principe :

technologique, et financière. Quels sont les critères pour sélectionner un pays ? * Les critères correspondant à l’analyse macro-économique : Les contraintes physiques et géographique du pays, le pays est-il éloigner, comment est le climat ? Quels sont les infrastructures de transport et de stockage dans le pays ? Quel est l’indice de développement. Croissance économique moyenne ? Le pays est-il ouvert au commerce extérieur ? Situation monétaire et financière du pays ? Quels sont les risques

 COURS D’ECONOMIE POLITIQUE (Mardi 25 février 2014) L’économie politique n’est rien d’autre qu’une interdisciplinarité entre les sciences politiques et les sciences économiques. On distingue deux dynamiques : de prima-facie, les idéologies politiques influencent le système économique dans un pays en ceci qu’il est la résultante des actions politiques. Ensuite, les décisions politiques agissent sur la politique. Alter-mondialisme : autre mondialisation. BIBLIOGRAPHIE Campagnolo, Gilles : Critique