Collège de Guyenne

figures des Lumières que la Révolution française a installé l’un à côté de l’autre au Panthéon, Voltaire en 1791, Rousseau en 1794. Voltaire est un fils de bourgeois parisien, sujet d’une monarchie absolue. Il reçoit une éducation dans le meilleur collège de la capitale. Tout au long de sa vie, il fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple. Il aime le confort, le luxe et les plaisirs de la table et de la conversation  qu’il considère, avec le théâtre,

duchesse Anne de Bretagne à partir de 1488. Il meurt en 1491, avant le mariage d'Anne. Elle prendra son fils Gilles comme page. Pierre de brach Né dans la paroisse Saint-Pierre à Bordeaux, il entre au Collège de Guyenne à l'âge de dix ans. Il fait ses études de droit à Toulouse. Vers 1567, il reçoit le prix de l'Églantine de l'Académie des Jeux floraux. Ses études finies, il rentre à Bordeaux où il devient avocat. Il compte parmi ses amis Guillaume du Bartas

et fait construire Observatoire de Paris. Public de plus en plus nombreux qui s’intéressent aux progrès scientifiques. Succès des 1ères expériences d’électricité, multiplication des cabinets de physique, progrès de l’enseignement scientifique ds collèges engouement pour les sciences. Quelle fut la contribution de Newton, Buffon, Condorcet, d'Holbach et d'Alembert ? Isaac Newton (4 janvier 1643 G – 31 mars 1727 G, ou 25 décembre 1642 J – 20 mars 1727 J)N 1 est un philosophe, mathématicien, physicien

naît au château de la Brède, près de Bordeaux, Charles-Louis de Secondat, futur baron de Montesquieu. La famille, aux solides assises financières et sociales, appartient à la noblesse de robe ; le père est président au Parlement de Guyenne. Montesquieu est envoyé au collège de Juilly, tenu par les Pères de l’Oratoire (rivaux des Jésuites dans le domaine de l’enseignement), aux environs de Paris. Il y apprend aussi bien les langues vivantes que les langues mortes (latin, grec), de l’histoire, des sciences

douceur et liberté. Ce père tenait à la bonne éducation de son fils et il lui administra un précepteur qui lui enseigna le latin ès son plus jeune âge. À six ans donc, après avoir reçu les enseignements de son précepteur, Montaigne entre au collège de Guyenne à Bordeaux. À treize ans, il apprend le droit à Toulouse et, en 1554, il est conseiller à la Cour des aides de Périgueux. Ses fonctions ne lui procurent aucun plaisir et sa rencontre avec La Boétie en 1557 lui ouvre de nouvelles voies. Trois

le 4 février 1576. Cette amitié entre le roi et le poète dura plusieurs années ; Henri IV le nomma ainsi maréchal de camp en 1586, puis gouverneur d’Oléron et de Maillezais, que d'Aubigné avait conquis par les armes en 1589 ; puis vice-amiral de Guyenne et de Bretagne. Mais les divergences politiques et religieuses finissent par séparer les deux hommes, qui ne se doutaient pas que leurs petits-enfants respectifs, Louis XIV et Françoise d’Aubigné, se marieraient en 1683. En 1577, d'Aubigné est grièvement

incontestablement le Collège des lecteurs royaux qui aboutit en 1530. Sur une idée de Budé, cet établissement spécifique d’enseignement et de recherche donne la priorité aux hommes et aux savoirs humanistes. Le projet suscite l’enthousiasme de Rabelais qui en dira « (…) maintenant, toutes les disciplines sont restituées, les langues instaurées… Tout le monde est plein de gens savants, de précepteurs très doctes, de librairies très amples. » Rabelais évoque le concours important du Collège des lecteurs royaux

Montaigne aurait préféré un poste d'ambassadeur en Italie : ainsi s'expliquerait le voyage entrepris en 1581, qui lui permit d'entrer en contact avec les élites dirigeantes de la Péninsule. Mais le roi décida que Montaigne lui était plus utile en Guyenne, et Montaigne dut faire demitour, une fois élu — en son absence — maire de Bordeaux. Il est probable que la publication des premiers Essais, en 1580, a joué un rôle dans la stratégie politique de Montaigne. Il n'est pas indifférent que celui-ci ait

vers ce que bon lui semble. Il est alors totalement responsable de ses actes, et il agit en connaissance de cause. Cette notion est abordée dans différentes œuvres de cette époque comme par exemple dans Pantagruel de Rabelais. D’où la création du collège de France par François 1er, et une réflexion importante sur l’éducation des enfants. De nombreux philosophes humanistes réfléchirent non plus sur l’homme mais sur sa condition et son statut. Thomas MORE par exemple, dans son essai l’Utopie décrit

l'autorité royale) mm R de St Jean d'Angely qui cède 23/06 + idem en Guyenne sf que Montauban R pdt 3 mois jusqu'en nov 1621 => honneur des prot est sauf. Mais luttes des prot engendrent représailles sur prot de Paris : † de Mayenne, incendie du temple de Charenton -LXIII rentre à Paris avec acclamations (mm si échec de Montauban) └>Sully, DM en appellent tjs au calme MAIS guerre reprend en /03/1622 →roi va en Poitou, Saintonge, Guyenne : soit on se rend en négociant, soit on R et on est massacré