Collège de Navarre

Mouvements littéraires L'humanisme (XVI): L'humanisme est un mouvement littéraire consistant à reconsidérer les valeurs des humains. Le début de l'humanisme français fut marqué par le philosophe Jean de Gerson et ses amis du collège de Navarre. Dans le reste de l'Europe, l'humanisme marqua les débuts de la réforme, il se répandit notamment grâce au Hollandais Erasme. Exemples d'artistes: -Erasme -Montaigne La Pléiade (XVI): La Pléiade est un courant poétique formé par un groupe de sept

Biographie[modifier | modifier le code] Gaston-Alfred-Louis Leroux grandit en Normandie et suit sa scolarité au collège d'Eu. Après avoir obtenu le baccalauréat de lettres au lycée de Caen, il s'installe à Paris en octobre 1886 et s'inscrit à la faculté de droit. Il devient avocat en 1890 et exerce cette profession jusqu'en 1893. Pour arrondir ses fins de mois, il écrit des comptes rendus de procès pour le journal L'Écho de Paris. Sa relation du procès d'Auguste Vaillant, auteur de l'attentat

Ier car bcp sont proches de leur position : Soeur de Fr Ier Marguerite de Navarre a des sympathies pour les réformes mais ne rompra jamais avec Rome à la différence de sa fille Jeanne d'Albret (fera de Nérac le centre du Calvinisme). Fr Ier lui-même très proche de l'humanisme. 1530 : sous proposition de Guillaume Budet, Fr Ier crée le collège des lecteurs royaux = le collège des trois langues (latin, grec, hébreu) = le collège de France. Humanistes se réunissent et échangent. Profs jeunes, fr ou italiens

profite pleinement de la nouvelle invention. De plus les humanistes accordent une place essentielle à l'enseignement: il faut donner les moyens à l'homme de développer ses capacités. Tournant le dos à l'enseignement traditionnel, les écoles et les collèges humaniste proposent un enseignement centré l'étude des langues et de l'éxpérimentation, associe les exercices physiques et inetllectuels. 3) Une république de lettres Dans l'histoire des idées et de la littérature

doctrine (ni stoïcien, ni épicurien, ni sceptique) Il a pris une part active à la vie politique, comme maire de Bordeaux (de 1581 à 1585) et comme négociateur entre les partis, alors en guerre dans le royaume Cétait un ami personnel d'Henri de Navarre, le futur Henri IV. Les Essais ont nourri la réflexion des plus grands auteurs en France et en Europe, (Shakespeare, Pascal, Descartes, Nietzsche, Proust) Il est mort le 13 septembre 1592 à Saint-Michel-de-Montaigne (Dordogne), François RABELAIS

grande majorité de la population. Le siècle est marqué par une rupture avec la littérature médiévale. Les écrivains marquants sont : Guillaume Budé (1468 - 1540), ami d'Erasme, de Rabelais, de Thomas More, est un philosophe érudit . Il fonda le Collège de France à la demande de François Ier. François Rabelais (1494 - 1553) a été homme d'Église et médecin ; ses romans comme Pantagruel puis Gargantua allient humour et instruction, et développe un humanisme optimiste qui croit en l'homme et en

MOLIERE Rien ne prédispose Jean-Baptiste Poquelin, fils d'un bon bourgeois, tapissier ordinaire du roi, à monter sur les planches, après avoir fait ses humanités au collège des jésuites de Clermont (l'actuel lycée Louis-le-Grand) et obtenu une licence en droit à Orléans. Il renonce au barreau et à la charge de son père pour fonder avec Madeleine Béjart l'Illustre-Théâtre, entreprise vouée à l'échec face aux deux puissantes troupes de l'Hôtel de Bourgogne et du Marais, ce qui le mène tout droit

Jean Lemaire, (1473-1524) est un poète et un chroniqueur d'expression française, né soit à Bavay (où un collège porte son nom), soit à Hargnies, soit à Belges, un hameau du Hainaut, selon les sources. Il se fera appeler plus tard Jean Lemaire de Belges, en référence au mythique roi gaulois Belgius, supposé fondateur de Bavay. Ce disciple de Crétin et de Molinet était le neveu du chroniqueur et poète Jean Molinet. Tous deux furent pris, bien malgré eux, dans une dispute bien oubliée aujourd’hui

Il est né le 28 février 1533 à Bordeaux. Il est le fils de riches négociants. Sa mère, Antoinette de Louppes. Il a un précepteur allemand qui lui a toujours parlé en latin. Il va au collège à 6 ans. Il est nommé conseiller à la Cour des Aides de Périgueux en 1554, puis au parlement de Bordeaux en 1557 jusqu’en 1570. La magistrature ne le passionnant guère, il cherche à faire évoluer sa situation, montant à Paris à deux reprises en 1559 et 1561 pour élargir ses relations. Il échoue et n’insiste

dans les principes humanistes. Ainsi il ets en envoyé en nourrice jusqu'à ses trois ans. En rentrant au Château, il lui est attitré un précepteur Allemand qui ne lui parle qu'en latin. A ses 13 ans, ne parlant que latin, il est scolarisé dans un collège de Bordeaux, haut lieu de l'humanisme, où il apprend le français, le grec, la rhétorique et le théâtre. Il brille rapidement par son éloquence et son goût pour le théâtre. Entre 1646 et 1654 il poursuit ses études de droits à Paris ou à Toulouse.