Collège de Navarre

Bibliothèque Royale », bibliothèque dont il nomme intendant l’humaniste Guillaume Budé avec mission d’en accroître la collection. À l’instigation de Guillaume Budé, il fonde le corps des « Lecteurs Royaux », abrité dans le « Collège Royal » (ou « Collège des trois langues », futur « Collège de France »). Bien que décidée par François Ier. Enfn François Ier subventionne des poètes tels Clément Marot et Claude Chapuys. Des DÉCOUVERTES: Il permet à Giovanni de Verrazzano de découvrir le site de la future New-York

révolution tranquille" 4) Mettre le monde en ordre III) Le domaine intellectuel et artistique 1) Langues d'écriture 2) La renaissance s'intéresse a l'Antiquité 3) Culture européenne 4) Statut de l'écrivain au XVIe 5) Le rôle des universités, des Collèges 6) Bibliothèque royale 7) La poésie: que doit-on savoir sur ... 8) Les autres genres littéraires que doit-on savoir sur ... 9) Léonard de Vinci, Botticelli, Le Gréco 10) Les guerres de religion à la fin du siècle, que doit-on savoir sur ...

Jacques de Nouvion et Jean Muret. Des traductions de Tite-Live et d'Aristote sont déjà connues à la Cour de Charles V. Mais ce sont surtout les guerres d'Italie et François 1er qui favorisent son développement dans notre pays. Ce dernier créé le collège des lecteurs royaux. On y enseigne le grec, le latin et l'hébreu, cette dernière langue étant principalement enseignée par Jacques Lefèvre d'Étaples.Dans notre pays, Etienne Dolet permet la diffusion d'une pensée inspirée de Platon, adaptée au christianisme

publiques. Mais sa passion pour le théâtre était-il né de cette époque ? Quoi qu'il en soit, le jeune garçon s'inscrit au collège de Clermont (l'actuel Louis-Le-Grand) où il étudie les mathématiques, la physique, la danse, l'escrime, la philosophie scolastique (qu'il moquera souvent). Il connaît assez le latin pour lire Plaute, Terence et traduire Lucrèce. A la sortie du collège, il se lie probablement avec le milieu libertin influencé par Gassendi. Il part apprendre le droit à Orléans, mais n'exerce

Mundi -Erasme:(1466-1536) Eloge de la folie -Luther:(1483-1546) La Bible en allemand -Machiavel:(1469-1527) Le prince -Clément Marot:(1496-1544) Egloges -Montaigne:(1533-1592) Essais -Thomas More:(1478-1535) Utopie -Marguerite de Navarre:(1792-1549) Heptaméron -François Rabelais:(entre 1483 et 1494-1553) Gargantua Ronsard:(1524-1585) Les Amour IV)Le domaine intellectuel et artistique En langue vernaculaire (qui vient du pays) les poètes de la pléiade veulent que les textes

quelquefois avec lui à l’hôtel de Bourgogne, son grand-père lui transmet sa passion pour la comédie. Jean-Baptiste Poquelin a alors envi de devenir comédien et pour cela décide de s’instruire et d’étudier. En 1635, Jean-Baptiste Poquelin intègre le collège jésuite de Clermont, devenu aujourd’hui le lycée parisien Louis le Grand. Il y fréquente pour camarade de classes Armand de Bourbon, prince de Conti, qui par la suite le protégera à plusieurs reprises et Gassendi, philosophe, qui est son précepteur

duchesse Anne de Bretagne à partir de 1488. Il meurt en 1491, avant le mariage d'Anne. Elle prendra son fils Gilles comme page. Pierre de brach Né dans la paroisse Saint-Pierre à Bordeaux, il entre au Collège de Guyenne à l'âge de dix ans. Il fait ses études de droit à Toulouse. Vers 1567, il reçoit le prix de l'Églantine de l'Académie des Jeux floraux. Ses études finies, il rentre à Bordeaux où il devient avocat. Il compte parmi ses amis Guillaume du

était énorme et de Baudrier a publié sa « Bibliographie ». Les protestants, eux aussi, publiaient leurs ouvrages dans la presse, entre autres les pamphlets comme « Nouveau Testament, Bible, Sermons, Œuvres » de Calvin. Dès 1529 il y avait à Lyon un collège laïc et bourgeois. Mais, en 1565 les catholiques, et plus précisément les jésuites, ont réussi à le rénover et à y introduire leur propre enseignement traditionnel. Ainsi, les jésuites ont adjoint la théologie et la cosmographie, ce qui pouvait impliquer

pour des maisons individuelles en deux endroits, l’un derrière le chevet de l’église, l’autre dans la cour de l’abbaye à l’ouest de l’église. L’abbaye est à cette époque agrégée à l’Ordre de Cluny. Ce n’est qu’en 1789 que l’abbaye est transformée en collège de chanoinesses, avant sa suppression durant la Révolution4. De leur côté, les seigneurs du Mercœur voient leur château tomber en ruine, il sera repris à la fin du xviiie siècle par les Chavaniac (famille blesloise) qui le remet en état en le modifiant

également baptisé Jean, sera appelé Jean Baptiste. Sa mère, Marie Cressé, meurt en 1632 alors qu'il n'a que dix ans, son père se remarie avec Catherine Fleurette, autre fille de tapissier, dont il aura cinq enfants. De 1633 à 1639 il est élève au collège de Clermont (actuel lycée Louis-le-Grand), tenu par des Jésuites, l'un des établissements les plus huppés de la capitale. Jean-Baptiste y fait d'excellentes études (latin, mathématiques, physique, philosophie, mais aussi escrime et danse). Grâce