Colonisation Inconvénients

...................................... 10 Bibliographie........................................................................................................................ 11 Introduction Quel avenir pour l'Afrique? Après la colonisation européenne à la fin du 19ème siècle, puis leur indépendance au milieu du 20ème siècle, voilà que les pays africains subissent depuis les années 1980 le « néocolonialisme » occidental, une nouvelle forme de domination économique ou culturelle exercée

donner l’indépendance aux pays africains admise, il fallait s’assurer qu’ils ne tombent pas sous les griffes des soviétiques et qu’ils soient d’une manière ou d’une autre, fortement arrimées à la France. Les intérêts français établis pendant la colonisation, notamment les intérêts économiques, financiers, stratégiques, militaires ne devaient pas être remis en cause par l’indépendance. Cette puissance veillait donc à ce que soient désignés des dirigeants qui lui soient favorables et signait avec eux

culture de l’oralité. Dans les années 30, avec la naissance du Néo-Destour, les écrivains tunisiens décident d’utiliser la langue de leur colonisateur afin d’exprimer leurs souffrances, leurs revendications et leur identité, et ce en réponse à la colonisation. Les juifs tunisiens, eux, ont un double objectif : s’adresser à leur oppresseur français (même s’ils sont fascinés par leur culture) et dénoncer leur oppresseur arabe. En effet, les Juifs sont doublement minoritaires. Dans leur littérature, même

à l’étranger et importer le moins possible. Pour cela, l’objectif est de protéger l’économie nationale, le mercantilisme est donc protectionniste. A cette première phase protectionniste a succédé une phase d’expansion du monde, notamment par la colonisation. Le capitalisme libéral est la doctrine selon laquelle les échanges internationaux doivent être le moteur de la croissance, les États doivent donc s’ouvrir au commerce mondial, commerce devant se faire sans entraves. Aujourd’hui, ce libéralisme

l’étranger et importer le moins possible. Pour cela, l’objectif est de protéger l’économie nationale, le mercantilisme est donc protectionniste. A cette première phase protectionniste a succédé une phase d’expansion du monde, notamment par la colonisation. Le capitalisme libéral est la doctrine selon laquelle les échanges internationaux doivent être le moteur de la croissance, les États doivent donc s’ouvrir au commerce mondial, commerce devant se faire sans entraves. Aujourd’hui, ce libéralisme

tentative de colonisation européenne, le continent américain appartient aux USA. Une fois leur indépendance acquise les américains ne veulent pas la perdre. Au niveau des relations internationales le poid du continent américain crée un déséquilibre face à l Europe. III/ Une société internationale mondiale Deux facteurs pour l extension: la volonté de prestige et la recherche de nouvelles débouchées A/ La nouvelle colonisation : Au 19 eme siècle apparaît une nouvelle vague de colonisation des européens

fut aussi l’endroit où les premiers explorateurs européens débarquaient dès le XVème siècle. Important pour les compagnies commerciales, il était l’enjeu entre la France, la Hollande et la Grande-Bretagne jusqu’aux années 1820 et les débuts de la colonisation française. L’influence occidentale y est donc très forte, la France a pénétré « non seulement avec sa langue, mais aussi avec la Bible et sa littérature, son administration, son idéologie philosophique, politique et juridique »[2] La variété

La mondialisation est un processus induit par la stratégie de conquêtes de nouveaux marchés des grandes entreprises. Ce processus a connu trois étapes : a) La spécialisation de1860 à 1913 : Des firmes multinationales primaires profitent de la colonisation pour spécialiser les pays dominés dans des produits primaires (le thé en Inde, le caoutchouc en Malaisie…), des minéraux (le cuivre au Chili…) ou des combustibles (le pétrole en Arabie Saoudite, en Irak…). Ces produits vont être exportés vers

la résumer, cette doctrine tend à conditionner le pouvoir par des normles transcendantes. Vitoria recherchera les fondements de la colonisation, il rejette le titre tiré de la barbarie des peuples conquis:certains considérais qu'on pouvait coloniser des peuples car ils étaient des barbares. Rejet aussi du titre tiré de la 1ere occupation. Il justifie la colonisation par le dt universel de communication, pr lui c'est le dt des gens, lui mm établi sr la raison universelle. Mm souci d'universalité chez

long terme, s’interdit de le poursuivre. Ou bien, il impose cette transformation par la force, cherchant à détruire sans les comprendre toutes formes de résistance à sa propre entreprise. La sélection sociale par le fatalisme sociologique et la colonisation culturelle par l’arrachement brutal d’un sujet à son histoire apparaissent ici comme les deux versants d’un même principe pédagogique, d’une même conception de l’éducation : il ne s’agit pas d’accompagner un sujet dans sa propre construction vers