Coma

autistique Available: disponible, accessible average : en moyenne aversive conditioning : conditionnement par aversion Awakening : réveil Barely : à peine, tout juste Beheaded: décapité Biofeedback : idem Biogenic : biogénétique Blackout : coma éthylique Blindsight : vision aveugle Phénomène apparenté à la vision chez des personnes ayant perdu la vue. Chez des sujets atteint d’une cécité corticale focalisée, dans certaines circonstance les sujets peuvent rapporter un impression de mouvement

ralentie, rétrécissement du champ de vision, mouvements moins coordonnés, le temps est plus long pour prendre une décision, ect..) caractérisé par un état d'euphorie ou d'énervement ou de tristesse. Selon l'alcool ingéré, l'ivresse peut conduire à un coma éthylique voir même le décès. En petite quantité, l’alcool accroît le rythme cardiaque et la pression mais lors d’une consommation excessive il diminue. L’ivresse provoque souvent des nausées, l’alcool agit sur les parois de l’estomac et peut provoquer

L’hyperthermie : toute élévation de 3° au-dessus de 37° entraîne une diminution de 50% de la résistance des tissus. L’incontinence. Facteurs intrinsèques liés aux pathologies que présentent les patients: - Abolition des mouvements trophiques de sauvegarde : coma, paralysies. Troubles circulatoires. Hypotension. Troubles métaboliques : hypercholestérolémie, diabète. Troubles de l’oxygénation. Pathologies au stade terminal. Pathologies suscitant un alitement ou immobilisation prolongée. Prévention des escarres

inaugurales ou révélatrices ++ • Formes secondaires – Arrêt volontaire de l’insuline – Infections, GEA (sous dosage) – Contrôles insuffisants, protocole intensif non suivi, augmentation des besoins en insuline • DKA rare mais possible dans le type 2 • Coma hyperosmolaire (G>28mmol/L; Na>145mEq/L) • Formes récurrentes ++ Loubna et « l’obsession pondérale » acico-cétose récurrente Evolution HbA1c et BMI 15,0 14,0 13,0 12,0 11,0 10,0 9,0 8,0 7,0 6,0 5,0 HbA1c 35,0 30,0 25,0 20,0 HbA1c 15,0 BMI dates

grand maximum une fois par semaine, mais ça permet de se « mettre joyeux » et après de s’éclater! Trouvez-vous cela inquiétant ? M.H. D. : Ah oui !! Les étudiants vont droit dans le mur !! Ils ne prennent pas en compte les conséquences, immédiates (coma éthylique, vomissements) mais surtout à long terme ! Ce sont des conséquences lourdes qui leur tombent dessus et dont ils n’ont pas conscience. En effet, le foie ne donne pas de symptômes et ce jusqu’à la cirrhose ! S : On ne peut pas dire que c’est

3-au bruit | 3-inappropriée | 3-flexion stéréotypée (rigidité de décortication) | 4-spontanée | 4-confuse | 4-évitement | | 5-normale | 5-orientée | | | 6-aux ordres | Le score de Glasgow va de 3 à 15, a 3 la personne est dans le coma a 15 la personne va bien. Echelle sur 15 Y(Yeux) : /4 V(Verbale) : /5 M(Motrice) : /6 Un score <8 : trouble de conscience majeur imposant une intubation du patient. ATTENTION : Il n’y a pas de lien direct entre le score de

Analyse de Pratique Présentation de la personne: Histoire de vie: Mme S. est une femme de 84 ans (née le 02/06/1926) hospitalisée pour poursuite de soins d'escarre sacrée (opéré le 30 mars 2009 suite à un coma présumé toxique dû à une tentative d'autolyse médicamenteuse). Mme S. est une femme célibataire avec 4 enfants. Elle travaillait en tant que serveuse et femme de chambre dans un hôtel parisien. Issue d'une fratrie de 8 enfants qui vivaient dans la campagne Niortaise, elle n'a été

demandant la permission d’abréger ses souffrances. Monsieur Jacques Chirac refuse. La mère de Vincent est très affectée par le sort de son fils et décide d’abréger ses souffrances en lui administrant un puissant médicament. Vincent entre dans un profond coma et est directement transféré en réanimation. Après une longue discussion avec la famille Humbert , le médecin responsable de Vincent arrête la réanimation et stoppe son injection en chlorure de potassium qui le maintenait en vie. Vincent Humbert meurt

antiémétique), sédation, dysphorie (sujet âgé +++), vertiges, hypotension, confusion mentale… Accoutumance et syndrome de sevrage (sueurs, larmoiement, puis agitation, mydriase, nausées, diarrhée…). Surdosage : myosis, dépression respiratoire, hypothermie, coma ; antidote : Naloxone (+ réanimation cardio-repiratoire) médicaments non antalgiques, participant à la sédation des perceptions douloureuses - Douleurs neuropathiques : antidépresseurs imipraminiques (tricycliques) (Clomipramine Anafranil®

avec ralentissement des réflexes et diminution de la vigilance, un état d'euphorie ou, au contraire, de tristesse, une mauvaise appréciation des situations, des troubles de l'équilibre ainsi qu'une vasodilatation. L'ivresse peut conduire jusqu'au coma éthylique, situation pouvant amener au décès. A court terme, la consommation d'éthanol peut provoquer : * une gastrite ; * un reflux gastro-œsophagien ; * une hépatite aiguë alcoolique ; * des nausées, vomissements ; * le syndrome