Combat des Trente

condamne ceux qui sont injustes envers les femmes. Un jour elle décide d’enterrer tous les objets qui évoquent son passé malheureux : peigne en os, fer à cheval, poupée, robes traditionnelles et babouches, c’est l’apogée de sa liberté. Elle aborde le combat pour l’indépendance et adhère aux mouvements de libération des femmes avec beaucoup de simplicité et d’humour. La mère change tellement vite que son mari ne la reconnaît plus. Elle est à la fin de l'œuvre une autre femme instruite et intelligente

La guerre de trente-ans INTRO: Cet affrontement majeur du XVIIème siècle est probablement celui qui met le mieux en évidence la structure complexe du Saint Empire ; commencé sous l’aspect de guerres de religion, il dégénère en un conflit – d’abord larvé, puis ouvert – entre la France et la maison des Habsbourg, cette dernière, à cette époque, régnant sur l’Empire, l’Espagne et les Pays-Bas (Belgique actuelle). En 1609, la Bohême, de confession majoritairement luthérienne, a obtenu de l’empereur

détache sur un panache de fumée. Appuyée sur son pied gauche nu qui dépasse de sa robe, le feu de l’action la transfigure. L’allégorie est la vraie protagoniste du combat. Le fusil qu’elle tient à la main gauche, modèle 1816, la rend réelle, actuelle et moderne. Les gamins de Paris Ils se sont engagés spontanément dans le combat. L'un d'entre eux, à gauche, agrippé aux pavés, les yeux dilatés, porte le bonnet de police des voltigeurs de la garde. A droite, devant la Liberté, figure un garçon

idéal d’une société de classes moyennes peut paraître un peu étriqué et en tous cas de plus en plus inadapté aux nécessités du passage vers la modernité. La distorsion entre cet idéal social largement partagé et les nécessités du monde des années trente (concentration des entreprises, économie plus internationale) explique une partie des déboires français, ainsi que la crise de plus en plus manifeste du parti radical. B) La France tétanisée par les conséquences de la guerre : -1) sur le plan démographique

décembre 2005, mis en ligne par Dial Washington a déclaré il y a trente ans que la Colombie était le premier producteur mondial de cocaïne. Trente ans après, la politique d’éradication des cultures illicites est l’objet de critiques de plus en plus nombreuses de la part des experts mondiaux. Article de Constanza Vieira, IPS, 5 novembre 2005. Après plus de 40 milliards de dollars dépensés par Washington en Colombie pendant 25 années de combat contre le trafic de drogues, ce pays reste encore le champion

lecteur. Le mouvement du texte épouse son trajet de l'admiration à l'horreur. a) Construction de l'extrait : les trois phases de la bataille vues à travers les réactions et les déplacements de C. : focalisation interne. - les préparatifs : le combat lui-même « Candide (...) se cacha du mieux qu'il put. » ; les conséquences sur les civils cf. le déplacement de C : « Il passa (par dessus des tas de morts et de mourants) et gagna d'abord un village voisin. ». b) L'évolution des réactions de C.

travaillé dur toute leur vie pour payer de maigres études à leurs enfants s'ils l'avaient pu. Et cette ascension sociale, ce bonheur personnel dans le confort ne pouvait être acquise que dans une « société de villes ». C'était aussi une génération de combats pour le droit du travail, une génération d’après guerre où les idées communistes de certains affrontaient le capitalisme conservateur et catholique français. Et c’est cette génération qui allait reconstruire la France d’après guerre. II Une

engagées qui étaient souvent en rapport avec l'actualité La Liberté guidant le peuple est exposée au Salon de 1831. Cette exposition eut un résultat appréciable: Delacroix fut décoré. C'est à ce moment qu'il commence une série de tableaux de combats, entre autres Poitiers et Taillebourg (1831) Descriptif détaillé de l’œuvre : - L’action s’élève en pyramide, selon deux plans : figures horizontales à la base et verticales au dessus. - Au centre est peinte une allégorie de la

Là-dessus ils découvrirent trente ou quarante moulins à vent qu'il y a en cette plaine, et, dès que don Quichotte les vit, il dit à son écuyer: "La fortune conduit nos affaires mieux que nous n'eussions su désirer, car voilà, ami Sancho Pança, où se découvrent trente ou quelque peu plus de démesurés géants, avec lesquels je pense avoir combat et leur ôter la vie à tous, et de leurs dépouilles nous commencerons à nous enrichir : car c'est ici une bonne guerre, et c'est faire grand service à Dieu d'ôter

parlementer, afin d'éviter que se déclenche la guerre entre leurs deux nations. C’est l’avant-dernière scène de la pièce. HECTOR. - Et voilà le vrai combat, Ulysse. ULYSSE. - Le combat d'où sortira ou ne sortira pas la guerre, oui. HECTOR. - Elle en sortira ? ULYSSE. - Nous allons le savoir dans cinq minutes. HECTOR. - Si c'est un combat de paroles, mes chances sont faibles. ULYSSE. - Je crois que cela sera plutôt une pesée. Nous avons vraiment l'air d'être chacun sur le plateau d'une balance