Comédie larmoyante

la pièce I. Un texte essentiellement théâtral et comique A. Une situation de comédie Un barbon de 40 ans déclare son amour à une jeune fille qui le refuse, il est dupé, ça ne correspond pas à ses projets. Comique qui vient du décalage, de la contradiction entre tout ce qu’il avait conçu et qui ne va pas se réaliser, inversion dans les rapports des perso. Echec => situation de comédie Persos de comédie : barbon tyrannique et coléreux ; jeune fille ignorante pas si bête que ça Trois tons

Poquelin est née en 1622 et meurt épuisé par le travail et la maladie le 17 février 1673 après la 4eme représentation du Malade imaginaire. Fils d’un tapissier, il fait ses études chez les jésuites avant d’aller étudier le droit à Orléans . Il créer des comédies. Avec Madeleine Béjart, il crée l’Illustre-Théâtre, un échec à cause de dettes (août 1645, Molière est emprisonné). Cette même année, il quitte Paris pour la province. Il y restera treize ans.En 1658, il joue à Paris Nicomède et Le Dépit amoureux

Conseiller => référence au vaseau, barons félons (baron mal intentionné) il conseille son empereur pour leur bien (aux vaseaux). Les conseillers nous rappellent la tradition médiévale. Satire de la politique de Charles Quint. III - Une scène de comédie a) Théâtralisation de l'extrait: Ce sont des dialogues, le narrateur ne s'exprime pas mais il n’en a pas besoin car les personnages sont ridicules par eux-mêmes, Sticomiti (Picrochole) jeu de questions réponses, ellipse. Les conseillers n'ont

La comédie (occidentale) est née en Grèce, aux alentours du VIe siècle avant J.-C. Aux XIV et XVIe siècles, le mot de comédie a tout d'abord servi à désigner le théâtre en général. Pourtant, à partir de la Renaissance, on lui a attribué un sens plus restreint et plus précis. En effet, la comédie est un genre difficile à saisir parce qu’il peut changer de forme mais il y a quand même des constantes: il s'agit d'un texte composé de dialogues en vers ou en prose, et dont l’objet est la représentation

province mais dans l’Europe | |La Fontaine : 1631-1695 : les caractères utilitaires de ses fables sont |entière. | |incontestables. Elles ressemblent à des comédies par la multiplication des scènes |La vulgarisation scientifique et la critique des traditions sont les thèmes | |et l’emploi du dialogue dans plusieurs répliques. La mort et le Bucheron. Le loup |ordinaires de la nouvelle littérature :

qui vient de faire interdire Tartuffe. Dom Juan, un sujet populaire. Une entrée en matière originale : Sganarelle, valet de Dom Juan, fait l'éloge du tabac, un éloge en bonne et due forme, mais paradoxal et bouffon, propre à donner le ton de la comédie mais aussi à relancer des polémiques. 1 / Un éloge en bonne et due forme A/ la structure du discours argumentatif * réfutation des « adversaires », Aristote et la philosophie ; * exposé de la thèse, « le tabac est la meilleure des choses

et Valère), les personnages sages et raisonnables (Elmire et Cléante), la servante pleine de bon sens au franc parler (Dorine), la vieille dame hors du temps et de la raison (madame Pernelle). Malgré tous ces ingrédients qui font de Tartuffe une comédie de facture assez classique, la pièce reste révolutionnaire par sa mise en cause d’une religion qui devient pervertie par l'hypocrisie. Elle est, avec Dom Juan, une des pièces qui ont soulevé le plus de polémiques et d’oppositions. Dans la pièce,

Les valets critiquent, à travers les scènes des portraits, le fait que les maîtres s’affublent de masques. Mais, comme au théâtre, comme chacun le sait, il y a des spectateurs, cette critique s’adresse au public. Les valets n’étant pas admis à la Comédie française, Arlequin et Cléanthis deviennent leur porte-parole, les porte-parole d’une classe sociale obligée de subir tour à tour violences physiques et morales. Ces violences conduisent même à la dépersonnalisation des valets : ils n’ont même plus

documents du corpus ? Une présentation rapide du corpus : Accessoire récurrent de l’univers romanesque-en particulier au XVIIIème siècle- comme de l’univers théâtral, la lettre constitue l’objet autour duquel se nouent les scènes des comédies de Marivaux et Beaumarchais et celle du drame romantique de Victor Hugo qui constituent le corpus. La lettre va ici de pair avec une intrigue amoureuse et son importance naît probablement moins de son contenu – qui n’est pas nécessairement révélé

l'amour lorsqu'il craint de se montrer", et chacune de ses comédies a pour objet de le faire sortir d'une de ses niches. Dans le Jeu de l'amour et du hasard : Silvia s'est déguisé en Lisette sa servante pour examiner son prétendant Arlequin mais celui-ci a eu le même idée. Ici dans cette scène les deux valets qui portent les habilles de leur maitres se préparent a vouer leur vrai condition. Nous demandons en quoi cette scène de comédie se repose sur l'effet de décalage. Premièrement nous allons