Comique Don Quichotte

Cendrillon, Charles Perrault, 1697 IILes registres qui visent à convaincre le lecteur ALe registre comique, le registre ironique et le registre satirique 1Le registre comique Le registre comique entend faire rire le lecteur. Mais en littérature, il s'agit très souvent d'un procédé qui vise à faire passer une information au lecteur : derrière l'apparence comique se cache un message. Le registre comique est caractérisé par la présence de répétitions, d'hyperboles, etc. Le médecin malgré lui, pièce

Huc Marie36012286 EADLa fabrique des œuvres Entre passé et présent : Don Quichotte,Un personnage plus que jamais actuel. « Pendant le confinement, j’ai pensé soudain qu’il y avait un personnage de la littérature qui rompait de façon souveraine avec le confinement mental dans lequel il l’était : c’est Don Quichotte, qui passait ses journées enfermé dans une bibliothèque à lire des romans chevaleresques et qui décide un jour de s’arracher à sa bibliothèque pour aller habiter le monde et

d’Henri Bergson, chapitre I.1, I.2 et chapitre III Notions du programme en jeu : la société, la liberté, la raison et le réel, la matière et l’esprit, la vérité, l’art, le langage, le vivant, le désir Chapitre I – Du comique en général. Le comique des formes et le comique des mouvements. I.a) §1 - Position du problème et enjeux . Qu’est-ce que le rire ? Un mouvement spontané et incontrôlé du corps manifestant une sorte de plaisir - mouvement qui contraste avec le sérieux de la vie ordinaire

Verville (1556–1626) Le Moyen de parvenir (c.1610) François du Souhait (c.1570/80 –1617) Histoires comiques (1612) Molière d'Essertine (c.1600–1624) Semaine amoureuse (1620) Cyrano de Bergerac (Hector Savinien) (1619–1655) Histoire comique des Etats et Empires de la Lune (1657) Histoire comique des Etats et Empires du Soleil (1662) Cervantes (Don Quichotte) ; Pierre Corneille (L'illusion comique) ; William Shakespeare (Roméo et Juliette, Hamlet) ; Peinture du mouvement littéraire: L'Adoration

l’histoire et d’écrire le personnage. ➢ Evolution du rapport du lecteur au personnage I/ Le personnage et son histoire 1/ Roman et épopée ▪ Chevaliers de la Table Ronde dans la littérature arthurienne ▪ Cervantès, Don Quichotte : un chevalier parodique. DQ est tout de même noble. ▪ D’Urfé, L’Astrée : des rois gaulois déguisés en bergers. Influence de la pastorale de Virgile. ▪ Melle de Scudéry, Artamène ou le Grand Cyrus. Des héros historiques de l’empire

C'est ainsi qu'il se détache de Don Elvire (sa fiancé?!) pour rester libre. Malgré un enchaînement d'avertissements, dom Juan suivra sa pensée jusqu'au bout et courra à sa perte. Il recevra la mort en récompense de tous ses blasphèmes par la Statue du Commandeur qu'il a tué en duel. Personnage de Dom Juan : L'étymologie du nom Dom Juan : « dom » fait référence a « dominus » qui signifie maître (seigneur, dieu) Une autre étymologie : « Don » « Don Quichotte » noblesse : « Monsieur »

l’homme à travers des personnages principaux hors-norme. Ce sont des géants parfois comiques car pour Rabelais comme il l’a écrit dans sa préface : « le rire est le propre de l’homme » XVIIe siècle. Le Roman comique de Scarron Les personnages se diversifient. Les romans sont écrits en prose et en langue française. Les romans français sont influencés par des romans picaresques venus d’Espagne. (Don Quichotte de Cervantès.) Les personnages sont souvent de basse condition, rusés et pas forcément

L’Illusion Comique (1636), Acte II, Scène 4 Pierre Corneille L’imbrication des comédies Problématique: Comment cette scène met-elle en évidence l’essence de la comédie ? MATAMORE Eh bien ! Dès qu'il m'a vu, comme a-t-il pris la fuite ? M'a-t-il bien su quitter la place au même instant ? ISABELLE Ce n'est pas honte à lui, les rois en font autant, Du moins si ce grand bruit qui court de vos merveilles N'a trompé mon esprit en frappant mes oreilles. MATAMORE Vous le pouvez bien

1534, 2nd roman de R, après Pantagruel : ø ordre chronologique Q° de la parole du narrateur : dit-il toujours la vérité ? Captatio benevolentia : proximité du lecteur : « tu », complicité d’ivrognerie, « mes bons disciples », « mes amours » => comique => connivence avec le lecteur => « réjouissez-vous » annonce la futur lecture et interprétation Prologue d’un érudit : références culture antique (//Platon, Socrate, Homère, Ovide…) => 1ère ambiguitéDénonciation des abus de la lecture allégorique

lecteur et les scènes ne s’embarassent pas de vraisemblance (comme la guerre), c’est épique et fantastique, même. Le récit joue aussi sur la corde sensible (comme avec le récit des malheurs de la vieille), dans ce cas-là c’ est pathétique ; souvent comique, le conte se veut également satirique et polémique : il se moque des institutions (Eglise, religions, autorités politiques, grands principes philosophiques) et s’en prend à des sujets tabous (dieu, par exemple). 3) Pangloss est le défenseur