Comique La Bruyère

-La princesse d’Elide en 1664 -Ballet des plaisirs en 1655 -L’amour médecin en 1665 -Grand ballet de bienvenus en 1655… -La pastoral comique en 1667… Ses contemporains : -Jean de la fontaine : poète 17ème siècle -Les frères Perreau : écrivain 17ème 18ème siècle -Jean de la Bruyère :écrivain 17ème siècle -Louvois : homme d’états 17ème …

figures artistiques protégées par le mécénat royal, telles que Molière, Racine, Boileau, Lully, Le Brun et Le Nôtre. D'autres, plus indépendants, tel le poète La Fontaine, le philosophe Blaise Pascal, l'épistolaire Madame de Sévigné, le moraliste La Bruyère ou le mémorialiste Saint-Simon font également du règne l'apogée historique du classicisme français. Sous son règne, la France acquiert une prééminence européenne économique, politique et militaire, et le prestige de la France, de son peuple, de son

privilèges de la noblesse) • Eglise : « faux dévots », directeurs de conscience (cf . Tartuffe).  Il est en pleine dépression, il se fait de la bile (cf. L’Atrabilaire amoureux…). Le regard qu’il porte sur son siècle est un peu plus dur que celui de la Bruyère, Boileau…, mais il lui reproche, comme eux, son hypocrisie.  Le Misanthrope (= celui qui hait les hommes, différent du philanthrope) est l’expression de cette période. C’est une comédie spéciale, qui ne respecte pas les règles de la comédie

in fine comparés à des « mouches » dont la durée de vie est très éphémère et qui en outre constituent une image peu flatteuse pour ces sociétés dont la principale caractéristique est leur snobisme. Quel camouflet La Bruyère inflige-t-il dans cette pointe· Fragment VIII, 7 : le comique de la chute est obtenu grâce à la métaphore picturale qui reprend et développe le verbe « imite » utiliser en début de fragment : ces imitateurs sont comparés à « des copies fidèles de

l’établissement des règles classiques, exposées par Boileau dans l’Art poétique (1679) et directement inspirées par Horace et Aristote. Egalement la majorité des Fables de La Fontaine sont adaptées de leurs équivalentes antiques, et même un auteur comique, Molière, s’est inspiré de Plaute. - La définition de tous les genres littéraires : c’est à l’époque classique que l’on sépare la littérature en genres (la farce, la comédie, le drame, la tragédie, la nouvelle et le roman). - L’établissement de règles

indiffèrent » le texte de La Bruyère est un texte en prose qui comporte des anaphores « Jamais vus assi, jamais fixes et arrêtés ». Des parallélismes de construction  «  Attelés tous deux aux char de la fortune et tous deux éloignés de s’y voir assis ». Des interrogations rhétoriques « le dirai-je ». des accumulations « l’empressement, l’inquiétude, la curiosité, l’activité » 3. L’humour des deux textes repose sur la satire de la cour. On distingue le registre comique et épique par les exagérations

Roland, "La Bruyère", in Essais critiques, Paris, Seuil, 1964, p. 221-237 Brody, Jules, Du style à la pensée: trois études sur les "Caractères" de La Bruyère,Lexington, French Forum, 1980 Gray, Floyd, La Bruyère: amateur de caractères, Paris, Nizet, 1986 Roukhomosky, Bernard, L'Esthétique de La Bruyère, Paris, SEDES, 1997 Soler, Patrice, Jean de la Bruyère: "Les Caractères", Paris, PUF, 1994 van Delft, Louis, La Bruyère, ou Du spectateur, Paris, PFSCL, 1996 van Delft, Louis, La Bruyère moraliste:

l’ambiguïté du personnage et presque la possibilité de le considérer comme une femme. Il se termine sur une pointe ironique et sur l’intervention de La Bruyère qui tourne en dérision son personnage : à quelques détails près, le chapeau et les chausses, et l’absence de bijoux, le portrait pourrait être celui d’une femme ! Idée 7 : que dénonce le document ? La Bruyère dénonce, de manière amusée, les mœurs et le comportement de la cour de son époque. – Analyse du document 2 : extrait de La maladie du jésuite

privilèges de la noblesse) • Eglise : « faux dévots », directeurs de conscience (cf . Tartuffe). à Il est en pleine dépression, il se fait de la bile (cf. L’Atrabilaire amoureux…). Le regard qu’il porte sur son siècle est un peu plus dur que celui de la Bruyère, Boileau…, mais il lui reproche, comme eux, son hypocrisie. à Le Misanthrope (= celui qui hait les hommes, différent du philanthrope) est l’expression de cette période. C’est une comédie spéciale, qui ne respecte pas les règles de la comédie

emporté par sa recherche permanente du savoir. Rabelais est l'un des principaux représentants de ce mouvement humaniste français. Ses œuvres, comme Pantagruel etGargantua tiennent à la fois du conte, avec leurs personnages de géants, de la parodie comique (celle de l'épopée et du roman de chevalerie) ; elles préfigurent le roman réaliste et satirique. Rabelais y développe des idées en faveur de la tolérance, de la paix et de la foi dans les hommes. Tout comme Érasme, ils ont une vision désormais