Comique Nait Du Serieux

Âge, le théâtre a été d’abord religieux (ce qui est conforme à ses origines) avec les « Miracles » ou « Mystères » où les principaux personnages étaient les saints, le diable, le Christ ; par ailleurs, la farce s’est développée avec ses procédés comiques et ses jeux de mots grossiers. Le XVIe siècle voit la fin du « Mystère » : il rassemblait des milliers de personnes, ce qui finit par inquiéter les autorités qui l’interdirent. Parallèlement, la scène française subit l’influence italienne de la

par le corps, bien souvent dans une femme il y a un penseur. Ceci posé, et après avoir prié de nouveau le lecteur de ne pas attacher un sens trop absolu aux quelques mots qui nous restent à dire, nous reprenons. Pour tout homme qui fixe un regard sérieux sur les trois sortes de spectateurs dont nous venons de parler, il est évident qu'elles ont toutes les trois raison. Les femmes ont raison de vouloir être émues, les penseurs ont raison de vouloir être enseignés, la foule n'a pas tort de vouloir être

30 à 34. – Faire des recherches sur l’esprit du Siècle des Lumières. – En quoi la personnalité et les recherches du marquis de la Taillade-Espinasse vous paraissent-elles typiques de l’esprit du Siècle des Lumières ? Ce personnage est-il pris au sérieux dans le roman ? Pourquoi ? TEXTE 6 EN CLASSE : MÉTAMORPHOSE DE GRENOUILLE (chap. 30 – pp. 161 « C’était la première fois que quelqu’un disait […] à 162) Objectif – Comprendre le fonctionnement du portrait à travers le point de vue d’un personnage

connaissances héritées de l’Antiquité ou du MA. L’importance du corps : le corps est réhabilité. Chez Rabelais, la vie corporelle des personnages est évoquée jusqu ‘au scatologique et sous des aspects grivois ; Montaigne parle lui aussi librement, avec sérieux et humour, du corps et de son corps, de l’usage qu’il en fait et des misères qu’il lui cause, il nous confie par exemple qu’il se mouche comme son père, en soufflant par terre et se moque de l’usage du mouchoir, il évoque par ailleurs les « nouements

préparation de l’exploitation et la résolution. La difficulté pour le scénariste est d’arriver à mettre en place une scène où l’information déficitaire du personnage est centrale, où tout l’humour, l’appréhension, la tristesse, le pathétique et le suspens, naît de cette information que le spectateur possède et le personnage ne possède pas. Son utilisation demande beaucoup de maîtrise. Lorsqu’il est mal utilisé, il peut se révéler néfaste à l’oeuvre. II. Partie théorique : 1. Qu’est-ce que une ironie dramatique

« démon intérieur » qui ruine l’être et provoque son autodestruction. 5) Un genre dérivé : la tragi-comédieAttention ! La tragi-comédie n’est pas un mélange de tragique et de comique : c’est tout simplement une pièce à sujet tragique , qui place le héros dans une situation sans issue mais le dénouement de l’action est imprévisible car l’histoire se termine de façon

par le corps, bien souvent dans une femme il y a un penseur. Ceci posé, et après avoir prié de nouveau le lecteur de ne pas attacher un sens trop absolu aux quelques mots qui nous restent à dire, nous reprenons. Pour tout homme qui fixe un regard sérieux sur les trois sortes de spectateurs dont nous venons de parler, il est évident qu’elles ont toutes les trois raison. Les femmes ont raison de vouloir être émues, les penseurs ont raison de vouloir être enseignés, la foule n’a pas tort de vouloir être

INTRODUCTION Titre de l’œuvre : Zadig ou la Destinée Nom de l’auteur : Voltaire (1694-1778) Date d’édition : 1990 Editeur : Larousse Collection : Catégorie : Roman philosophique Repère biographique de l’auteur : François Marie Arouet est naît en 1694 dans une famille de riches bourgeois. Le jeune garçon a alors la chance de recevoir une éducation : il est inscrit dans un collège jésuite. Jusqu'à l’age de 17 ans, il s’est intéressé a la politique et après être entré dans une école de droit

Jules Verne, dernier écrivain voyant. Ce qu’il imaginait est devenu réalité ». Eugène Ionesco, Journal en miettes , 1967 Transition : Le voyage par l'imagination est une forme évidente du dépaysement. résumé du livre Oliver Twist[->0] naît orphelin dans l'Angleterre du XIXe[->1] siècle. Mal nourri, exploité dès ses plus jeunes années, le pauvre garçon endure[->2] tout avec patience. Mais il refuse un jour les traitements injustes qu'il subit et fuit vers Londres[->3]. Épuisé, affamé

métaphysique et existentiel, puisqu’il n’y a plus de Dieu pour gouverner le monde : celui-ci devient une énigme. Ce malaise crée une douleur qui peut être rattachée au mal du siècle, un sentiment de solitude tragique. Un conflit intérieur important naît chez l’individu. Le « moi » va prendre de plus en plus d’importance dans la littérature. On va rejeter l’ancien régime, la morale conventionnelle, et se proclamer individu unique. Napoléon est vaincu à Waterloo par une coalition de pays qui ont peur