Comité de salut public

a) Origine : Du latin terror qui signifie terreur, apparu pour la première fois au 18ème siècle, durant la Révolution française, pendant le régime de la Terreur, lorsque le Comité de salut public dirigé par Robespierre exécutait ou emprisonnait toutes les personnes qui étaient considérées comme contre-révolutionnaires. b) Approche de l’ONU : Bien que l'Organisation des Nations unies n'ait pas encore accepté une définition du terrorisme, la « définition de consensus académique » de l’ONU est la

publiques. Elles découlent de la constitution. Administration générales: organes d’administratrion d’un pays: ordre, sécurité, tranquilité. Services publics: sont chargés d’assurer certains besoins particuliers indispensables a la collectivité (mission régalienne): finances publiques, justices, armée. Durant le Xxeme siècle, de nouveaux services publics se sont mis en place, surtout des services sociaux. Partie I: Les institutions politiques. 1789: 1ere constitution écrite bouleversement de la

1958, page 16 II – Exercice : ► Commentaire du texte : « Discours de Bayeux de C. De Gaulle, 16 juin 1946 » sous l’angle du renouveau institutionnel par rapport au régime précédent. CONSTITUTION DU 3 SEPTEMBRE 1791 TITRE III - Des pouvoirs publics Article 1. - La Souveraineté est une, indivisible, inaliénable et imprescriptible. Elle appartient à la Nation ; aucune section du peuple, ni aucun individu, ne peut s'en attribuer l'exercice. Article 2. - La Nation, de qui seule émanent tous les

en accord avec certains gaullistes déclenchèrent une manifestation à Alger, qui tourne à l'insurrection, le député d'Algérie et officier parachutiste Pierre Lagaillarde prend le Gouvernement général d'assaut. S'en suit la création d' un Comité de de Salut Public placé sous la présidence du Général Massu. Pfimlin est fortement contesté par le biais de ces évènements, mais est tout de même investi. La contestation se poursuit lorsque Massu affirme dans un communiqué que le gouvernement d'Alger ne

manifestation de soutien à des soldats tués au combat lors de la guerre d’Algérie est organisée à Alger , laquelle se transforme rapidement en émeute pour finalement permettre le renversement du gouvernement local. Pour remplacer le gouvenement le Comité du Salut Public est crée, dirigé par le général Massu. Pendant ce temps, à Paris, Pflimlin reçoit la confiance de l’Assemblée après son investiture et condamne l’insurrection, confiant à Salan, commandant en chef, les pouvoirs civils et militaires en Algérie

convictions. - En octobre 1789, Laclos prend part aux journées versaillaises et rédige la pétition à l'origine de la fusillade du Champ-de-Mars. -En 1795, souhaitant réintégrer l'armée, il écrit De la guerre et de la paix, ouvrage destiné au Comité de salut public. En vain ; de même, il échoue à rejoindre la diplomatie ou le monde bancaire. -Il décède de la dysenterie et la malaria à Tarente, le 5 septembre 1803, et est inhumé sur place.

mai 1958, Pfimlin (président du MRP) est investit président du conseil. Au même moment en Algérie, le général Massu qui est contre la politique d’abandon du gouvernement Pfimlin (gaulliste) met en place le comité du salut public et demande la création à Paris d’un gouvernement de salut public. Le lendemain, Massu fait appel à De Gaulle. René Coty, par application de l’art 33, invoque son titre de chef des armées et rappelle son armée à l’ordre. Mais le général supérieur des troupes : Salan, qui

Introduction 1. Mémoires d’un rebelle 2. Quelle histoire raconte Le Salut ? 3. Les modalités du récit historique 4. Mémoires ou légende ? Le mémorialiste et son mythe 5. Histoire ou politique ? 6. Le Salut par l’écriture Annexe Lexique Séquence 4 – FR01 1 © Cned – Académie en ligne Introduction A Édition recommandée Nous nous reporterons dans ce cours à l’édition de poche : Charles de Gaulle, Mémoires de guerre, tome III, Le Salut : 19441946, Éditions Pocket, 2009. Les indications de pages

président Coty la création d’un gouvernement de salut public destiné à conserver l’Algérie française. L’assemblée nationale accorde dans la nuit du 13 mai sa confiance au gouvernement de Pierre Pflimlin. La France a enfin un nouveau gouvernement mais il n’est entendu que par une partie du territoire. La guerre civile menace. Un seul homme semble en mesure de pouvoir relever le défi aux yeux de la majorité de la classe politique et le l’opinion public : le général de Gaulle. Dès le 15 mai son nom

trois soldats français prisonniers. Pendant que le débat de l’investiture se déroulait a Paris, de grandes manifestations avaient lieu à Alger qui se terminaient par une prise d’assaut du siége du Gouvernement général où était proclamé un comité de salut public à la tête duquel était placé plus ou moins volontairement le général Massu. Par contrecoup et par réflexe de défense républicaine, l’insurrection des Européens d’Algérie permettait l’investiture de Pierre Pflimlin,, mais le nouveau gouvernement