Comme les cinq doigts de la main

Ils attendaient le train avec impatience car ils étaient épuisés et chargés. Ritchie voulu sortir de sa poussette, et comme il n'y avait personne, Emma exécuta. Le train s'approcha vers le quai, Emma ordonna à son enfant de grimper dans le wagon vide, le harnais toujours bien en main. Emma chargeait la poussette près de lui et se tournait pour ramasser les sacs. En baissant la main, Emma crut sentir une légère secousse latérale sur le harnais qu'elle agrippait. Elle tenait toujours le harnais de Ritchie

L’ENFANT NOIR ET LE SERPENT J’étais enfant et je jouais près de la case de mon père. Quel âge avais-je en ce temps-là ? Je ne me rappelle pas exactement. Je devais être très jeune encore : cinq ans , six ans peut-être. Ma mère était dans l’atelier, près de mon père, et leurs voix me parvenaient rassurantes, tranquilles, mêlées à celles des clients de la forge et au bruit de l’enclume. Brusquement, j’avais interrompu de jouer, l’attention, toute mon attention, captée par un serpent qui

faisaient griller leur guimauve sous un magnifique ciel étoilé. Dominic, le moniteur du petit groupe, s’approcha du feu et dit : « Les enfants, il est l’heure d’aller au lit et demain tâchez d’être obéissants envers moi et de ne pas être trop turbulent comme à l’habitude! » Dominic, l’encadreur à bout de nerfs, vint s’asseoir autour du feu avec les enfants et leur donna des consignes pour la journée de demain. Dom était nerveux, puisque les enfants lui menaient la vie difficile et il ne savait plus comment

l’identification des personnes, la Biométrie utilise l’informatique pour identifier ou authentifier quelqu’un grâce à la mesure d’une ou plusieurs caractéristiques physiques à chacun : - Empreinte digitale - Image vasculaire - Morphologie de la main II/ LES RAISONS D’UTILISER LA BIOMETRIE - Optimisation du niveau de sécurité des accès - Pour avoir la certitude de l’identité de la personne Un code se voit et est très vite connu d’un grand nombre de personnes Avoir un badge, on a jamais

.................................................... 9 Introduction Étudiante en Première année en Soins Infirmiers de Guyane, j’ai effectué mon stage au sein du collège Eugene Nonnon situé au centre-ville de cayenne. Ce stage, d’une durée de cinq semaines, a pour objectif de nous faire découvrir les différents milieux qu’une infirmière pourrait être appelé à exercer ou les différentes activitées accomplies ou rencontrées. Celui-ci nous permet de mettre en pratique les connaissances assimilées

lumière (présents dans la rétine). Les chimiorécepteurs sont sensibles aux substances chimiques en solution (odorat, goût, composition chimique du sang). Les nocicepteurs sont sensibles aux stimuli potentiellement nuisibles et sont interprétés comme étant de la douleur par le cerveau. Remarque : tout récepteur peut jouer occasionnellement le rôle de nocicepteur. 2.2.2 Selon leur position anatomique Les extérocepteurs, qui renseignent sur l’environnement, sont situés à la surface du corps

plus longs pour obliger l’élève à saisir la cohérence interne à chaque extrait et la cohérence globale entre les extraits. Thématique       La Vénus d’Ille est un texte relativement court ; il sera donc lu en totalité par les élèves, mais seuls cinq extraits seront étudiés plus attentivement dans le cadre de la découverte des composantes de la nouvelle fantastique. Avant la lecture des divers extraits, la classe sera chargée de faire le résumé des faits entre les passages étudiés. modalités

...............................................................................- 28 Evolution du marché ...........................................................................................................................- 29 Le verre et les cinq sens, naissance du projet « polysensorialité des emballages ».............................- 31 - 2.2.2.1 2.2.2.2 2.2.2.3 3 Le contexte de recherche ..........................................................................................

et la cohérence globale entre les extraits. | |Thématique |      La Vénus d’Ille est un texte relativement court ; il sera donc lu en totalité par les élèves, mais seuls cinq | | |extraits seront étudiés plus attentivement dans le cadre de la découverte des composantes de la nouvelle fantastique. | | |Avant la lecture des divers extraits, la

l’espagnol par M. Espinosa et C. Elsen. Fin de la dernière scène (sixième tableau, scène 20). DON GONZALO Donne-moi la main. N’aie pas peur. DON JUAN Moi peur ? (Il lui tend la main.) Ah ! Ton feu me brûle ! DON GONZALO C’est peu de choses auprès des flammes qui t’attendent, don Juan. Les desseins de Dieu sont impénétrables, sache-le : tes fautes, il veut que tu les expies de la main d’un mort. Telle est sa loi : chacun paiera selon ses actes. DON JUAN Je brûle ! Ne me retiens pas ! Je te percerai