Comme t'y es belle !

Montague Pierre : valet de la nourrice Pâris : Jeune seigneur Escalus : Prince de Vérone –4– Un vieillard : Oncle de Capulet Frère Jean : Religieux franciscain L’apothicaire –5– PROLOGUE Le Chœur Deux familles, égales en noblesse, Dans la belle Vérone, où nous plaçons notre scène, Sont entraînées par d'anciennes rancunes à des rixes nouvelOù le sang des citoyens souille les mains des citoyens. Des entrailles prédestinées de ces deux ennemies A pris naissance, sous des étoiles contraires,

CHAPITRE 1. Théa est une belle blonde aux yeux verts. Elle a tout pour faire craquer les hommes, mais n’en a qu’un depuis ses quatorze ans. Elle n’en a jamais connu d’autre, elle ne connaît donc pas la souffrance de l’amour. Son copain était d’ailleurs le meilleur ami de son frère. Elle craquait dessus depuis ces onze ans. C’est la plus jeune d’une famille de quatre enfants. Théa a toujours été chouchoutée par ces sœurs, son frère et ses parents. Son frère était tout pour elle, elle ne voyait

1 Romeo et Juliette William Shakespeare Oeuvre du domaine public. En lecture libre sur Atramenta.net 2 CHŒUR Deux familles, égales en noblesse, Dans la belle Vérone, où nous plaçons notre scène, Sont entraînées par d’anciennes rancunes à des rixes nouvelles Où le sang des citoyens souille les mains des citoyens. Des entrailles prédestinées de ces deux ennemies A pris naissance, sous des étoiles contraires, un couple d’amoureux Dont la ruine néfaste et lamentable Doit ensevelir dans leur tombe

enveloppe les pérégrinations de Perceval le Gallois, alias Parzival, de Lancelot du Lac et de Lohengrin, d'Avtandil et de Tariel, le Chevalier à la peau de panthère. Un titre est un départ. Et que présage cette connivence de l'homme et du fauve? La belle Nestane-Daredjane évoquant pour Tariel une panthère noble et fière, c'est en l'honneur de sa bien-aimée que le preux revêtira la peau de l'animal. N'est-ce pas une époque où l'homme côtoie et, au besoin, affronte les bêtes? Quoi d'étonnant à le voir

j'en voulais a ma mère de ne m'avoir pas donner de soeur jumelle mais je n'etais qu'une petite fille en ce moment la, je ne pouvais savoir que ca se planifiait pas. Je me sentais encore plus jalouse parce que mes deux frères sont comme des jumeaux eux aussi donc c'etait comme si j'étais celle qui faisait defaut, seule, au milieu. Je pense plus pareil maintenant ,c'est clair qu'en grandissant ca change. Bref, j'ai réussi mes examens et je vais en deuxième année! Ma mère etait grave contente, elle pensait

lit de Cartouche, un fanatique m'écartera du lit d'un athée. C'est bien assez que d'avoir à doser le remède, sans avoir encore à doser la méchanceté qui permettrait ou non de l'administrer... -Mais, docteur, lui répondis-je, si après votre belle cure, le premier essai que le scélérat fera de sa convalescence, c'est d'assassiner votre ami, que direz-vous ? Mettez la main sur la conscience ; ne vous repentirez-vous point de l'avoir guéri ? Ne vous écrierez-vous point avec amertume : Pourquoi

heures et demie, n’importe où, souvent dans les vignes en fleur qui sentent le réséda, et ne faisait qu’un somme jusqu’au lendemain. Une nuit de printemps, le rossignol dormait debout sur un jeune sarment, le jabot en boule et la tête inclinée, comme avec un gracieux torticolis. Pendant son sommeil, les cornes de la vigne, ces vrilles cassantes et tenaces, dont l’acidité d’oseille fraîche irrite et désaltère, les vrilles de la vigne poussèrent si dru, cette nuit-là, que le rossignol s’éveilla ligoté

histoire des remèdes apothécaires de M. Kiehl’s et de sa famille, tout en luttant constamment pour se tailler une place de choix dans l’univers très compétitif des produits cosmétiques. Pour bien saisir la position et la valeur actuelles de Kiehl’s, comme pour mieux comprendre les conséquences de l’arrimage des deux compagnies, il est tout d’abord nécessaire de retracer le chemin parcouru jusqu’ici par cette marque fétiche. L’industrie des produits cosmétiques et la marque Kiehl’s L’industrie

heures et demie, n’importe où, souvent dans les vignes en fleur qui sentent le réséda, et ne faisait qu’un somme jusqu’au lendemain. Une nuit de printemps, le rossignol dormait debout sur un jeune sarment, le jabot en boule et la tête inclinée, comme avec un gracieux torticolis. Pendant son sommeil, les cornes de la vigne, ces vrilles cassantes et tenaces, dont l’acidité d’oseille fraîche irrite et désaltère, les vrilles de la vigne poussèrent si dru, cette nuit-là, que le rossignol s’éveilla ligoté

connaître la préférence sexuelle d´Inès. | | |4 |(scène 2, p. 4 Inès: Florence était une petite sotte, Je ne la regrette pas./ scène 3, p.6: Inès: Vous êtes très | | | |belle. Je voudrais avoir des fleurs pour vous souhaiter la bienvenue; ) Cette fois-ci elle le dit encore plus | | | |clairement: Je n´aime pas beaucoup les hommes. Quelle est alors sa préférence?