Comme un chien enragé

(819 couronnes). Il achète le premier billet de loto du premier vendeur venu (signe de sa mère/destin), mais il perd. Hitler rencontre Guido, un maçon Italien qui l’engage comme gâcheur de mortier sur un chantier. Un soir Guido l’emmène voir des prostituées ce qui dégoûte Hitler. Après avoir dessiné un portrait de Guido enragé, il part. Avc les économies qui lui restent, il décide d’aller 3 fois de suite à l'opéra pour voir du Wagner . Il part de chez Zakreys (manque d’argent)

Le valet est un personnage indispensable à la comédie, il représente l’idée d'infériorité sociale. Cette relation entre maître et valet est souvent à but comique, et utilise pour cela plusieurs procédés et mise en scène typique. En effet on trouve comme procédé très utilisé la modification de la réalité qui se construit par une inversion des rôles entre les deux personnages, le renversement des valeurs. Ce changement des rôles est notament mis en scène dans L’île des esclaves de Marivaux : « Eh bien

l'origine autonomes, ces branches, composées entre 1175 et 1250 par des auteurs différents, s'inspirent de fabulistes latins (Phèdre, Esope), de traditions populaires (contes de nos provinces et plus rarement de l'étranger), et de certaines oeuvres comme l'Ysengrinus du flamand Nivard (vers 1152). Pierre de Saint-Cloud composa les premières branches (II et V), et leur succès retentissant en inspira d'autres (la branche IX est du prêtre de la Croix-en-Brie, la XII de Richard de Lison). Les auteurs

Sganarelle, fidèle serviteur de Don Juan – mais qui n'en pense pas moins – et Gusman, écuyer de Done Elvire, donne lieu à un portrait charge du « grand seigneur méchant homme ». En effet, le valet n'a pas de mots assez durs: »Sardanapale »! « Turc »! « chien enragé, scélérat »... C. transition: mais cela n'est pas sans charme: celui du rebelle... II.C'est pourquoi on peut également considérer son « héroïsme »A. B. C. transition: ces contradictions font-elles imploser le personnage ? III.Non cela révèle

autres comme sans importance. - « Au milieu de l’été, ils reçurent un billet de faire-part annonçant le mariage de Dumouchel avec Mme veuve Olympe-Zulma Poulet ». Cet évènement permet une relecture de leur propre vie, et une amorce de la prise de conscience de l’irréversibilité du temps : « Quelque chose d’irrévocable était venu ». Enfin, la promenade des plus charmante et idyllique aboutit sur l’apodose de la phrase « ils virent sur des cailloux, entre les joncs, la charogne d’un chien ». -«  le

production de carburant pour régler sa dette étrangère, le gouvernement rationne la nourriture et l’essence, comme démontré dans le livre. Le régime de Ceausescu a emmené les Roumains dans une impasse sociale, morale et économique et a fait de la Roumaine un pays où régnait le racisme, la terreur, la violation de droits et libertés, et l’isolement du monde Occidental. En 1989, le peuple enragé a déclenché une révolution contre le régime dictatoriale. Plusieurs affrontements entre la population et l’armée

bassesses (on s’en aperçoit vers le milieu du roman). Symbole d’un dévouement entier dans une société dirigée d’une main de fer par le tzar : * «  Pour le meilleur accomplissement des ouvrages de forces » (l1) * « Il savait rester immobile comme un soldat devant son supérieur » (l15) Jules Verne va même jusqu’à dire que Michel Strogoff est un héros : * « ce courage sans colère des héros » On peut observer un réel rapprochement entre ces deux personnages. En effet ils ont tous les

homme >> de Molière, est créé à cette époque comme une pièce baroque et comique. Dans cet extrait, Sganarelle peint dès le début un portrait peu flatteur de son maître, Don Juan. Le texte étudié montre ce valet portrayant son maître et l’effet miroir qu’il produit. Tout d’abord, Don Juan, le maître, ne ressemble pas tout à fait à ce que les gens voient au premier abord. Son valet, quant à lui, dit savoir son vrai portrait. Le maître de Sganarelle vit comme un débauché. Le valet souhaite montrer la

cet univers de folie déshumanise la société. Enfin nous expliquerons par quels moyens le poète sublime cette folie. I. La frénésie engendrée par la Bourse 1) La Bourse, un monstre terrifiant Au vers 1, la bourse est comparée à une statue « comme un torse de pierre et de métal ». La bourse est personnifiée, certes, mais elle faite non pas de chair, mais de pierre. Au vers 2, la périphrase « le monument de l’or » qui sera répétée au vers 15, insiste là aussi sur sa nature de statue. Mais cette

respecté, puisque les amoureux ne sont pas vraiment amoureux et sont déjà séparés. Cela choque les spectateurs. (Il faut citer d'autres comédies de Molière). Donc Dom Juan est une fausse comédie. → Les valets ne cherchent pas à réunir leurs maîtres comme ils devraient faire dans une comédie classique normale. C’est une contradiction avec le théâtre classique. → Cependant l’action ressente nous est résumée. Le code du théâtre est ainsi respecté, la scène cherche à bien diriger les spectateurs.