Comment Le Théatre Fait Il Rire Le Spectateur

COMIQUE DE CARACATERES Chez Arnolphe, le fait de ne pas être « cocu » tourne a l'obsession , et le rend ridicule, par exemple quand il tombe dans l’excès en parodiant le tragique (III, 5). Quant à Agnès, sa naïveté est tellement exagérée qu’elle fait sourire, notamment quand elle fait le récit de sa rencontre avec Horace, ou qu’elle prend au sens premier le discours de la vieille entremetteuse COMIQUE DE

|Chapitre 2 : le conflit au théâtre, entre rire et émotion | |Objectifs |Lecture |HDA |Langue |Écriture |Oral |Évaluations | | | | | | | | | |-

dictionnaires de divertir et de faire sourire le spectateur. Pourtant, dans la comédie classique, la morale est toujours présente, mais par la définition de la comédie, elle est au moins accompagnée du rire et du divertissement. Problématique. Dans un premier temps nous verrons que la comédie classique cherche en effet à inculquer une morale et faire réfléchir, dans un second temps nous verrons que la comédie classique cherche aussi à divertir son spectateur mais à aussi d’autres fonctions comme l’utilisation

Le théâtre Toursel, Vassevière. La communication théâtrale. Le théâtre est un art total qui n'utilise pas que le langage. Il dépend des effets voulus par l'auteur mais aussi du jeu, du physique des acteurs qui donnent vie aux personnages, de la mise en scène, … Roland BARTHES, Essais critiques, 1964 Le théâtre est une « machine cybernétique ». Le spectateur est confronté à une véritable « polyphonie informationnelle ». Il y a une « épaisseur de signes et de sensations qui s’édifie sur la

2006 55 ANNA. – Roméo m’avait fait connaître l’amour, Othello la jalousie, Hamlet le désespoir… Cette triple initiation compléta mon être… Je languissais sans force, sans désir, sans espoir ; mon sein était vide, mon âme en avait déjà fui, ou n’y était pas encore descendue, l’âme de l’acteur passa dans ma poitrine : je compris que je commençais seulement de ce jour à respirer, à sentir, à vivre ! Alexandre Dumas, Kean, acte III, scène 12, 1836. 1. Théâtre de Londres. Document B Les vocations

construction. Le théâtre : intensifie le pb. Double énonciation qui caractérise le théâtre. Forme dialoguée qui fait croire à du vrai. En fait, du faux, et de l'organisation. Cf. le passage de la nouvelle à la pièce. Fragmentation et binarité: visée argumentative. b) Comique: une tradition littéraire comique. c) Le tragique. Le genre noble au théâtre (cf. Aristote, La Poétique). Age d'or de la tragédie en France: le 17e s. classique. ( le problème va être de savoir ce que Ionesco fait de cette tradition

l’être humain, le rire est un besoin vital aussi bien physiquement que moralement. Toutes sortes de divertissements permettent de subvenir à ce besoin notamment en littérature. On peut distinguer au théâtre un genre qui se définit par sa capacité à faire rire le lecteur, ou le spectateur : la comédie. On peut pourtant être amené à réfléchir sur les réelles fonctions de ce genre théâtral comme le fait remarquer Jacques Lassalle en proposant de faire graver au fronton de tous les théâtres la formule « C’est

première partie, je vais m'intéresser au fait que la comédie peut peut-être corriger les mœurs et si tel est le cas, comment. Dans un second temps, je vais plutôt axer ma réflexion sur le fait que corriger les mœurs n'est peut-être pas forcément un 'devoir' et que ce n'est pas non plus son ultime but, tout en expliquant pourquoi il est possible qu'elle ne puisse pas changer les mœurs du tout. La comédie, classique ou non, a toujours eu pour but de faire rire. Certains auteurs comme Molière prétendent

FICHE BAC THEATRE LES QUESTIONS POUR L’ENTRETIEN PORTENT SUR CES NOTIONS  : SEQUENCE : Le théâtre de l’Absurde : une réflexion sur le sens de la vie. OBJET D’ETUDE : le théâtre : texte et représentation (=la mise en scène du texte, donc comment montrer ce qui est écrit) LECTURES ANALYTIQUES : 4 études analytiques pour l’oral sont issues de Rhinocéros. DEFINITIONS : Acte : section d’une pièce qui comprend plusieurs scènes. Les pièces classiques en comprennent 5, le premier est appelé

cadre de la reflexion des personnages, reflexion intimement liée au theme de la finitude, cette fin que l’on attend, qui tarde a venir, que l’on remet meme en question en tant que spectateur. Là se trouve toute la puissance evocatrice du premier vers, lien entre le discours des personnage et la reflexion du spectateur tout au long de la piece. D’ailleurs, pour repondre a ceux qui questionnent l’utilité d’une piece dont l’on connait deja la fin, n’est-il pas pertinent de remarquer le parallele avec