Comment Vivre En Société

                     L'homme est le seul animal qui dispose d'une conscience réflexive, c'est à dire qui est capable de se penser lui-même et de se vivre dans la singularité : dire "je suis moi-même", c'est dire "je ne suis pas un autre et j'assume la responsabilité de mon originalité". Mais, en même temps l'homme est aussi un être social qui subit l'influence des autres et on peut se demander si cela ne

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�� � � ������� ����� L'homme est le seul animal qui dispose d'une conscience réflexive, c'est à dire qui est capable de se penser lui-même et de se vivre dans la singularité : dire "je suis moi-même", c'est dire "je ne suis pas un autre et j'assume la responsabilité de mon originalité". Mais, en même temps l'homme est aussi un être social qui subit l'influence des autres et on peut se demander si cela ne le conduit pas nécessairement

les hommes. I – Objet et méthode du discours. Question posée par une Académie, société savante du 18e siècle, lieu de pensée et de débat. Celle de Dijon avait proposé : Qu’elle est la source de l’inégalité parmi les hommes et est-elle autorisée par la loi naturelle ? Changements apportés par Rousseau : * Source -> Origine = historique, non pas de quoi découlent les inégalités, mais leur histoire comment elles sont apparues. Fondements = perspective normative. * Elargissement :

Chap. II : la liberté Introduction : A la naissance de la démocratie, la 1ere question que s’est posé est « comment vivre ensemble ? ». C’est la question de l’organisation. Cette question concerne la façon de s’organisé dans la cité, de tel façon que la tyrannie ne puisse pas se remettre en place. Le peuple doit admettre que les règles sont nécessaire pour vivre ensemble ils doivent alors conseiller la liberté des choix et l’acceptation des règles. Qu’es qu’une règle ? Règle= régula (règle

ou nous vivons. Mais comprendre le monde c'est comprendre la société. La société est composée d'individus, mais pour comprendre la société il faut savoir comment elle marche. Il faut comprendre sa politique, sa religion, son économie, sa presse, ses lois et ses origines. La société est composée aussi de classes, qui nous sont très bien montrées dans Germinal de Zola, ou les ouvriers se battent contre les bourgeois. Comprendre la société c'est connaître le point de vue des individus qui y vivent, leurs

néanmoins prouvé qu'il était nécessaire pour qu'une vie en communauté fonctionne. Preuve en est que les sociétés avec Etat ont succédés aux sociétés sans Etat primitives , telles que les tribus des indiens d'Amérique. Aujourd'hui, presque tous les hommes vivent dans l'Etat. L'Etat est imposé à presque tous les hommes. Ces derniers ont des devoirs envers lui, mais aussi des droits. Et puisqu'il est censé vivre selon les règles que lui a imposé l'Etat, on peut estimer qu'il doit, en retour, attendre quelquechose

apprendre tout ce qui lui permettra de vivre en société car l'homme a besoin de ses congénères pour vivre. Le pouvoir de l'homme est dans l'ingéniosité du partage des taches. Pour se partage des taches et pour pouvoir vivre en société l'homme doit a se contrôler. Il contrôlera ses pulsions, ses envies, il prendra le dessus sur l'animalité qui est en lui à sa naissance. En effet, l'homme naît animal. A la différence de nous les animaux n'ont pas de société et n'ont donc pas cette obligation morale

------------------------------------------------- LES PRISONS La façon de vivre des détenus De la prison de Fresnes à Paris à la prison des Baumettes a Marseille on s’aperçoit qu’il y a une surpopulation des prisons et que le niveau de vie des incarcérés n’est pas toujours très bonne. Les documents ici soumis à notre analyse abordent tous ce thème, ainsi : dès 1829, Le dernier jour d’un condamné écrit par Victor Hugo et paru dans les éditions Hatier fait une description des

Nous pensons tous que le Bonheur réside dans les fêtes, la joie de vivre les soirées entre amis. Elle constitue plusieurs petits moments gravés dans nos mémoires qui constituent notre joie habituelle. Cependant, cette joie habituelle est vite rattrapée par la vie, la routine qui nous stresse qui nous dévore chacun partielle de ce petit bonheur. Alors le bonheur ne serait-il pas éternelle ? Serait-il une denrée de plus en plus rare ? Connaissons-nous ce qu’est le bonheur ? Voilà les questions qu’Aristote

travail ? Comment expliquer sa hausse (facteurs encourageants et limitatifs) ? Le prix naturel du travail permet aux ouvriers et leur famille de substituer à leurs besoins, sans pour autant les faire augmenter ou diminuer à l’échelle des classes sociales. Ce prix ne représente pas une somme d’argent mais plutôt une quantité de subsistances ou d’objet dont il s’est accommodé à vivre. Le prix naturel du travail dépend donc de ce qui est nécessaire pour l’ouvrier et sa famille pour vivre. Ce prix