Commentaire Acte 1 Scene 1 Le Malade Imaginaire

Université de RouenSOMMAIRE Première Partie Définition, méthodes, objets et paradigmes .............................................................................. 10 Chapitre 1 Définitions.......................................................................................................................................... 10 1. 2. Introduction ................................................................................................................................................ 10 Aspects

j’ai entamé des études d’art-thérapie au centre PROFAC dirigé par Jean-Pierre ROYOL psychologue clinicien issu de FPP Lyon 2 et art-thérapeute. J’exerce en cabinet et dans le cadre d’une maison de retraite médicalisée dans le Gard, accueillant des malades atteints de la maladie d’Alzheimer. Je ne sais quel hasard a fait que je sois en même temps confrontée à la démence de mon propre père. En institution j’ai vécu celle des autres. Je vis de prés cette maladie qui est une longue descente vers la déchéance

Un roi sans divertissement 1 Cette séquence sur Un Roi sans divertissement de GIONO, a été réalisée par Stéphanie PETRONE, professeur agrégé de Lettres Modernes, pour ses élèves de 1ère L du Lycée Un roi sans divertissement de Jean Giono (1947) Etude d’une œuvre intégrale. Objet d’étude : le roman, vision de l’homme et du monde. Problématique : comment l’auteur, par des dispositifs narratifs novateurs, rend-il compte de l’énigme qu’est l’homme ? Place de la séquence dans l’année

Andrea Grewe L’art de la comédie à l’âge du postdramatique Le théâtre de Yasmina Reza Assez longtemps la critique théâtrale aussi bien que la critique universitaire se sont montrées réticentes face au théâtre de Yasmina Reza.1 En 1999, cinq ans après le succès mondial de „Art“, Marc Weitzmann, dans Les Inrockuptibles, devait constater: „Yasmina Reza reste en France isolée, voire ignorée de la presse culturelle“.2 Et encore en 2005, le même critique, cette fois-ci dans Le Monde, a observé

la perception demande un grand effort d’ abstraction . Les signes perçus ne prennent une signification que par une série de représentations mentales (conceptuelles ou imaginaires) que doit effectuer le lecteur. La lecture est un travail constant d’interprétation: attribution de signification. Elle se présente également comme une activité de structuration en ce sens qu’elle

> Commentaires comparés et interprétation Séquence 1-MU03 5 Chapitre 1 > La méthodologie d’écoute A B C .......................................................................... 9 Conseils généraux L’audition Présentation du commentaire Chapitre 2 > Entraînements : cinq commentaires comparatifs traités suivant des plans et des grilles d’écoute différentes A B C D E ............................................................................................ 13

dit non à la destruction, il faut un cadre positif qui dit oui à autre chose » p.4 « plus nous y serons créatifs, plus nous y mettrons l’autre en position de créer, moins nous aurons besoin de rappeler le cadre » I A la recherche de l’éducatif 1 Le récit p.11 «  [Dans les observations que nous écrivons]  le présent de narration aide souvent à rendre présents les êtres et les choses, à revivre le film en direct plutôt qu’en différé pour ne pas confondre ce que nous pensons aujourd’hui et ce

seraient presque « post-modernes » sans la gravité tragique qui les sous-tend. Par ces jeux de la narration, déroutants pour le lecteur de 1950, Un roi peut être bel et bien reconnu comme une œuvre contemporaine par le lecteur des années 2000. * 1. La « chronique » en son temps Pour comprendre en quoi Un roi sans divertissement est un roman d’un « nouveau genre » en 1947, il faut le situer dans la trajectoire de Giono, puis dans le paysage du genre romanesque en ce milieu du XXe siècle, enfin

Saison 2009/2010 Compagnons Création Les Fausses Confidences de Marivaux mise en scène Didier Bezace avec Pierre Arditi, Alexandre Aubry, Christian Bouillette, Jean-Yves Chatelais, Anouk Grinberg, Robert Plagnol, Isabelle Sadoyan et Marie Vialle collaboration artistique Laurent Caillon assistante à la mise en scène Dyssia Loubatière scénographie Jean Haas costumes Cidalia Da Costa lumières Dominique Fortin perruques et maquillages Cécile Kretschmar construction décor Atelier François Devineau

T.E.R. au Collège universitaire français de Saint Pétersbourg) On ne traitera pas dans les lignes qui suivent de l’arrêt rendu par l’assemblée plénière de la Cour de cassation le 17 novembre 2000. Celui-ci a déjà fait l’objet de très nombreux commentaires, par des représentants de disciplines aussi différentes que le droit de la responsabilité civile, le droit public dans son aspect de protection des droits et libertés individuels, ou encore l’histoire et la philosophie du droit. Ce qui nous retiendra