Commentaire Alain Propos

également vous reporter aux analyses de Sartre sur les rapports entre l'engagement et la liberté. En dernière instance, vous pourrez vous demander si la liberté se définit bien par le choix. Ici, vous pouvez également penser aux analyses de Spinoza à propos de l'illusion de liberté. Vous trouverez des éléments pour développer ces points en vous reportant aux liens indiqués au bas de cette réponse. A partir de là, c'est à vous de formuler la problématique du sujet. Voilà les premières pistes que nous

présente le texte et annonce le déroulement du commentaire. 1. Présenter le texte: § indiquer le titre, la date, l’auteur du texte; § le situer dans son contexte (l’œuvre dont il fait partie; l’époque où il a été écrit; le mouvement littéraire auquel il se rattache); § préciser ce qui précède l’extrait, donner les éléments nécessaires à sa compréhension. § dégager l’idée générale du texte et sa progression. 2. Annoncer le déroulement du commentaire: énumérer brièvement les principaux centres

I. Le déclin de la France : un discours à la mode peu significatif 1) Le déclin : un discours très à la mode Depuis 2003, un débat s’est ouvert en France sur la question du déclin du pays, notamment avec la publication dans la revue Commentaire d’un article très remarqué, écrit par Nicolas Baverez, sur le déclin français qui se transforma en quelques mois en un livre La France qui tombe. Cet ouvrage est un véritable un best-seller. Et depuis, les essais sur le déclin supposé du pays ou

Camus, Le mythe de Sisyphe. 24. « L’homme est à la mesure de toute chose » Platon, Protagoras. 25. « Qu’est-ce que la vérité ?» Platon, Le Ménon, 80e. 26. « Qui n’a pas commencé de réfléchir sur le langage n’a pas commencé de philosopher » Alain, Propos sur le bonheur. 27. « Tu ne chercherais pas si tu ne m’avais pas déjà trouvé » Pascal, Pensées, «Le mystère de Jésus ». 28. « Dieu est mort et c’est nous qui l’avons tué » Nietzsche, Gai Savoir, fragment 125. 29. « Qu’avons-nous fait en détachant

paraît, les «ah» et les «oh» fusent de partout. Anne est passablement éméchée, se glisse comme une ombre, inexistante, sans un mot d'excuse. La soirée est médiocre, aucune conversation n'est suivie, seuls les plats savamment présentés attirent des commentaires. C'est le malaise, le vide autour de la jeune femme qui boit de plus en plus, qui est ivre et en proie au désir. Pendant ce temps, Chauvin rôde autour de la maison, guette les lumières, erre sur la plage. Le surlendemain de cette soirée, Anne se

années d’absence passée à Paris. Elle est accompagnée de sa fille naturelle Ania et de son frère Gaev. Peu avant leur arrivée, on fait la connaissance de Lopakhine, ancien moujiks de la famille et maintenant riche marchand et Douniacha servante. Les propos amers de Lopakhine sur son ancienne condition de moujik montre que malgré sa nouvelle richesse, il est conscient de son ancien statut. A l’arrivé de la voiture, on fait la connaissance de Yacha, Lioubov, Gaev, et Ania. Envahit par la nostalgie de

l'impartialité du pouvoir judiciaire. » La liberté d'expression n'est donc pas totale et illimitée, elle peut être encadrée par la loi. Deux catégories de limites: la diffamation et l'injure, d'une part ; les propos appelant à la haine, qui rassemblent notamment l'apologie de crimes contre l'humanité, les propos antisémites, racistes ou homophobes, d'autre part. B. Les limites de la liberté d’expression 3. Le cas de l’humoriste français Dieudonné Dieudonné humoriste français, critiqué pour ses spectacles

L’abstentionnisme électoral en France. Alain Lancelot I. Présentation de l’auteur et du livre. Alain Lancelot est né le 12 janvier 1937 à Chêne-Bougeries (Canton de Genève, Suisse). Docteur ès lettres et sciences humaines, docteur en études politiques, diplômé de l'Institut d'Études Politiques de Paris dont il deviendra le directeur de 1987 à 1996, membre du Conseil constitutionnel depuis 1996, ce politologue, sociologue de renom

les français de faignant : « Les Français ne sont pas sportifs parce que nous avons l’habitude de l’Etat-providence. » dit Olivier Mazerolle jeux olympique d’hiver revu de presse de France 2, 26 février 1994. Les journalistes voilent à peine leur propos, ils sont favorable au libéralisme, le système de sécurité sociale plombe la compétitivité. Quel que soit la chaine de télé, la station de radio le même discours s’entend. Christine Ockrent « Il est malvenu en France, ces temps-ci, d’aller à contre-courant

certains cas. - Point de vue confirmé par Alain Garrigou, professeur de Sciences politiques à l'université de Paris X Nanterre, qui dénonce dans son dernier ouvrage cette ivresse des sondages qui confinent souvent à l'absurde. -Les sondages ont selon lui accaparé une croyance légitime. En interrogent sur tout, ils postulent qu'il y a des réponses et donc des opinions sur tout. Or, La probabilité d'avoir une op varie en fonction du pouvoir sur ce à propos de quoi on a une opinion. -Le sondage est