Commentaire Arret Cass 9 Juillet 2009

intérêt, l’enfant conçu est réputé né et il peut donc acquérir des droits, mais non des obligations. Ses droits ne seront consolidés qu’à sa naissance, s’il est né vivant et viable. C’est ce qu’a décidé la Cour de cassation dans un arrêt de principe rendu le 10 décembre 1985 (Cass. civ. 1ère, 10 déc. 1985, D. 1987, jur. p. 449, note G. Paire).La mise en œuvre de cette solution peut être délicate car s’il est discuté, le moment précis de la conception d’un enfant ne peut pas être prouvé. La loi a donc posé

s’est inspirée des solutions de conflits de coutume (comme sous l’ancien droit). D’un point de vue des sources, le DIP peut être assimilé au droit administratif, le droit de la responsabilité civile (1382 du code civil). On va voir de très nombreux arrêts. Il faudra retenir ces noms d’arrêts de la même façon qu’on retient des articles de code. Le fait que c’est droit se soit construit de façon prétorienne lui permet de s’adapter facilement aux circonstances nouvelles. Selon la prof, ce n’est pas

majorité de ces textes ont été abrogés à l'après-guerre, et ceux qui ne l'avaient pas été l'ont été par le codificateur de 1992 qui a inclus ces vols spéciaux, tel le vol dit « aux faux policiers », dans la catégorie des vols aggravés (V. infra, no 360). 9. Plan. - La répression du vol varie, et a toujours varié, selon que le vol est simple ou aggravé par des circonstances aggravantes et, s'agissant du vol simple, il a toujours été admis qu'elle pouvait être arrêtée par l'immunité familiale. Partant, après

Section 2 : Limites procédurales. 8 Sous-section 2 : Les droits réels immobiliers. 8 Sous-section 3 : Immobilisations incorporelles 9 Chapitre 3 : Le régime de fusions intracommunautaires. 9 Section 1 : L’Etat du droit avant la directive –position du problème. 9 Sous-section 1 : Le manque d’uniformité des législations des Etats Membres en matière de fusion. 9 Sous-section 2 : Obstacles procéduraux. 11 Section 2 Les évolution jurisprudentielles et législatives. 11 Sous-section 1 : l’Arrêt

par l’enfant seront considéré dès qu’il naitra vivant et viable. Aujourd’hui cette règle est doublée d’un précepte général parallèle «  La loi garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie » Article 16 du code civil issu du 29 juillet 1994. Elle proclame donc que le respect de l’être humain comme la personnalité commence avec sa vie se trouve ici affirmé 3 principes : - Que l’embrayons humain appartient au genre humain donc être humain dès sa naissance – Que l’embrayons est humain

multiplication contemporaine des grands arrêts. Pour s’en tenir uniquement aux 20 dernières années, il n’est pas douteux que les arrêts rendus, par exemple en matière de prix (Cass., ass. 1er décembre 1995), de cause (depuis Cass. 3 juillet 1996, elle s’apprécie par rapport à économie voulue), d’effet relatif du contrat (arrêt Besse 1991) ou encore d’exonération de responsabilité par la force majeure, ont profondément affecté la pratique contractuelle. Que faire après tel arrêt ou telle interprétation probable

les animaux certains animaux dit domestique qui sont traité comme des personnes ( ART 10 du 9 juillet 1970) ce qui nous permet de dire ça → on va réparer votre préjudice d'affection Droit de garde des animaux ( ART 255 et 286 ) chiens d'aveugle qui avait été traité comme une prothèse vivante (TJI 23 mars 1999, page 350) l'animal a été protéger avant l'homme ( loi de 1987 (animal) 1988 (hommes)) 10 juillet 1976 l'animal est un être sensible ( pénal) exception : on peut justifié cela a un fait

BATTEUR, Droit des personnes et de la famille, LGDJ, 2009. Rémy CABRILLAC, Marie-Anne FRISON-ROCHE, Thierry REVET, Libertés et droits fondamentaux, 16ème éd., Dalloz, 2010. Jean CARBONNIER. Droit civil. t. 2. La famille, l’enfant, le couple. 21éme éd. Refondue. Paris : PUF, 2002. Gérard CORNU, Droit civil - Les personnes, Montchrestien, 13e éd. 2007. Patrick COURBE, Droit civil. Les personnes, la famille, les incapacités, Mémento Dalloz, 7e éd. 2009. Patrick COURBE, Droit civil, les personnes, la famille

de la doctrine. Ce sont les lois qui s’applique indépendamment de la précense ou de l’absence d’un élément d’extranéité. Par exemple l’article 9 du C.C : « chacun a droit au respect de sa vie privée » : tout le monde peut l’évoquer français ou pas : si atteinte à la vie prviée en France qqsoit la nationalité de la victime : elle pourra évoquer l’article 9 qqsoit la nationalité. Loi de police : visées par l’article 3 par 1 du C.C « les lois de police et de sûreté engagent tous ceux qui résident

extraits de décision -> les préparer ( 5 fois ) à commenter DEVOIR 50/50 : contrôle de connaissance : définition ( exemption, accord prix ), et analyse d’une décision PARTIEL : QCM en connaissance et analyse : 5 points sur un petit commentaire du contenu, commentaire d’un article du code de quoi il parle expliquer les termes … et 5 points pour commenter une décision française que la commission européenne ou tribunal français : ou une du cours ou une récente 5 dernières avant le partiel . Il faut