Commentaire Article 121 3 Code Pénal

L’ENFANT EN DROIT INTERNATIONAL PENAL : ETAT DES LIEUX Mémoire de Master recherche Mention Droit international présenté par Aurélie LA ROSA Sous la direction de Monsieur le Professeur LAVENUE Année universitaire 2003-2004 Mémoire publié après autorisation du jury sur http://edoctorale74.univ-lille2.fr « L’humanité se doit de donner à l’enfant le meilleur d’elle-même… » Déclaration de 1924 sur les droits de l’enfant. 2 SOMMAIRE SOMMAIRE……………………………………………………………………………………..3 TABLE DES ABREVIATIONS ……………………………………………………………………4

                         Section 2.- Influence de la philosophie grecque                                                § 1.- La doctrine stoïcienne                                                § 2.- La philosophie aristotélicienne                   Chapitre 3.- Droit du Bas-Empire et droit Byzantin                          Section 1.- Unification du droit romain                                                § 1.- La codification justinienne                                                § 2.- La procédure

« propriétaire » à l’époque de l’E.I.C, achetait, volait, vendait des esclaves noirs. [3] Par son système, le roi des belges, «faucha cinq à huit millions de vies ». [4] « Rien de plus douloureux pour l’histoire que le calvaire des malheureux nègres, à une des époques les plus civilisées du monde » écrivait de la Roncière, préfaçant l’ouvrage de Rinchon». [5] Au 17è Siècle, à partir de mars 1685, dans le «Code Noir », code qui réglementa l’esclavage et lui donna une assiette juridique, les esclaves

effectuent des actes de commerces à titre de profession habituelles. (Article L121-1 du code du commerce). On constate une volonté de l’Etat d’unifier les règles mises en place (cf. cours de Miguel prieto : droit du travail) : * 1563 : premier Tribunal de commerce à Paris (Charles 9) * 1791 : liberté d’entreprendre * 1804 : Code Civil * 1807 : rédaction du code de commerce (Initiative de Napoléon 1er) qui emprunte au code civil. premier ouvrage de règles applicables aux commerçants.

CIE (contrat initiative emploi) .......................................................... CI-RMA (contrat insertion-revenu minimum d’activité) ................. CIVIS (contrat d’insertion dans la vie sociale) ............................... Partie 3/ L’avenant au contrat de travail................................................. Partie 4/ Actualités jurisprudentielles et législatives ............................ A- Analyse d’une décision de justice ....................................... B - Quelques

CIE (contrat initiative emploi) .......................................................... CI-RMA (contrat insertion-revenu minimum d’activité) ................. CIVIS (contrat d’insertion dans la vie sociale) ............................... Partie 3/ L’avenant au contrat de travail................................................. Partie 4/ Actualités jurisprudentielles et législatives ............................ A- Analyse d’une décision de justice ....................................... B - Quelques

On a conserver mais en les présentant de façon un peu plus claire car ce code du commerce traite du COMM en générale des sociétés commerciales, des groupements de certaines formes de vente de la liberté de faire du commerce de la liberté du prix de la concurrence, des effets de commerce et des difficulté des entreprises. La partie règlementaire n’a pas été codifiée on a aussi modifié certain termes devenus obsolète. Ce code de commerce n’est pas parfait car il n’est pas complet on parle pas de la

conféré la suprématie à l'idée de justice et puis il y a eu les écoles réalistes, qui ont érigé le progrès social en finalité première. Pour autant, si on analyse les institutions elles mêmes, on s'aperçoit que pour chacune d'entre elles, toutes ces 3 valeurs sociales s'y trouvent représentées. La recherche du progrès social est relativement récente dans l'histoire de la pensée car la croyance en l'idée d'un paradis perdu, la croyance en un Âge d'Or de l'Humanité situé à l'origine du monde, ces croyances

......................................................................................................13 2.1.3 Rémunération du commissaire aux apports ....................................................................................15 2.1.4 Commentaires ...............................................................................................................................16 2.2 Nature de la mission, obligations et responsabilité..........................................................

connait des atténuations en effet dans certaines hypothèses est reconnue une extension de la personnalité (section 2).  L’acquisition de la personnalité juridique produit de nombreux effets notamment parce que la personne devient sujet de droit (section 3).   Section 1: La naissance. Le principe est qu’un individu acquière la personnalité juridique lorsqu’il né, cela suppose de connaitre la définition juridique de la naissance. Cette naissance donne lieu ensuite à une déclaration de naissance.