Commentaire Composé Le Ciel Est Par Dessus Le Toit

d’après-midi faisait miroiter des reflets dans l’eau où voguaient des douzaines de bateaux miniatures poussés par un petit vent vif. Levant la tête, j’ai aperçu deux cerfs-volants rouges dotés d’une longue queue bleue qui volaient haut dans le ciel. Bien au-dessus des arbres et des moulins à vent, à l’extrémité ouest du parc, ils dansaient et flottaient côte à côte, semblables à deux yeux rivés sur San Francisco, la ville où je me sens maintenant chez moi. Soudain, la voix d’Hassan a résonné en moi

autres « tiens toi droit, et tu vas prendre confiance en toi » ou encore « fais du sport, et tu vas voir, tu vas prendre confiance ! », mais c’est faux. Ce sont des petits éléments qu’il faut améliorer, oui. Mais ce n’est pas sain de travailler que là-dessus. Non ce qu’il faut travailler, c’est votre estime de vous. L’estime de soi, c’est la valeur que l’on a de soi-même. Plus vous vous aimerez, plus vous aurez d’estime. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais en général on se parle moins bien à

dans un monde onirique : rêverie merveilleuse, sinistre, fantastique, mystique, mélancolique… Vous vous aiderez des figures de style étudiées lors de la séquence : métaphores, comparaisons, personnifications, anaphores, oxymores… Votre poème sera composé de 3 ou 4 strophes, en vers libres, avec ou sans échos sonores (rimes, assonances, allitérations, …). Critères de réussite : - Produire un poème sur le thème du rêve (3 points). - Respecter les contraintes formelles : 3 ou 4 strophes, vers libres

présenter à l’oral (pages 24-25). Objectifs – S’impliquer à l’oral. – Maîtriser le trac. – Apprendre à articuler, respirer, poser sa voix. – Écouter, analyser la prestation des autres. Séance 11 (2 heures) Préparation au bac Un tableau et son commentaire (pages 26-27) – Mettre en relation un texte et un support iconique. – Développer le sens de l’observation. – Permettre l’expression d’une sensibilité personnelle. – S’entraîner à répondre à une exigence possible du bac : la suite de texte.

étant donné la bonne douzaine d'hovercrafts invisibles qui doivent tourner au-dessus de ma tête pour assurer ma protection et le fait qu'il n'y ait aucun renseignement de valeur à glaner. Mais je tenais à voir ça de mes propres yeux. J'en ai même fait une condition à ma coopération à leurs projets. Finalement, Plutarch Heavensbee, le Haut Juge qui dirigeait les rebelles au sein du Capitole, a levé les mains au ciel. — Qu'elle y aille donc ! Mieux vaut perdre une journée qu'un mois. Peut-être

millénaire av. J.-C. Le texte le plus intéressant – nommé Tintir : « Babylone » –, remonte vraisemblablement à la fin du xiie siècle av. J.-C., au règne du roi Nabuchodonosor Ier, époque où furent rédigées les « chroniques des rois anciens » ; il fut composé dans le but d’exalter Babylone, la ville sainte, comme le centre du monde. Ce long mémorandum en quatre ou cinq tablettes nous est parvenu par plusieurs copies plus tardives, s’échelonnant jusqu’à notre ère. Il consiste en une description détaillée

millénaire av. J.-C. Le texte le plus intéressant – nommé Tintir : « Babylone » –, remonte vraisemblablement à la fin du xiie siècle av. J.-C., au règne du roi Nabuchodonosor Ier, époque où furent rédigées les « chroniques des rois anciens » ; il fut composé dans le but d’exalter Babylone, la ville sainte, comme le centre du monde. Ce long mémorandum en quatre ou cinq tablettes nous est parvenu par plusieurs copies plus tardives, s’échelonnant jusqu’à notre ère. Il consiste en une description détaillée

de l’antiquité comme promulgué par Platon et Aristote. C’est aussi à cette époque que l’histoire de l’art a commencé. Le premier historien de l’art était Vasari. C’est le récit de la vie d’artiste et de ses œuvres mais accompagnés quand même de commentaires esthétiques, il parle surtout des œuvres. Il commence son livre avec Giotto. Puis il n’y a plus personne avant la renaissance. Il crée une filiation entre Giotto et les prémices de la renaissance. Pourquoi la renaissance apparait en Italie? Les

demeurions seuls sur terre… 5 2 Tout avait commencé dans un tramway. Maman et moi traversions Bruxelles, assis au fond d’un wagon jaune qui crachait des étincelles en poussant des rugissements de tôle. Je pensais que c’étaient les étincelles du toit qui nous donnaient de la vitesse. Sur les genoux de ma mère, enveloppé par son parfum sucré, lové contre son col de renard, lancé à vive allure au milieu de la ville grise, je n’avais que sept ans mais j’étais le roi du monde : arrière, manants ! laissez-nous

l’enchantent et certains d’entre eux deviennent même le modèle pour ses textes comme c’est l’exemple du vieux cordonnier alcoolique de Lens qu’il paraphrase dans le personnage de Branchu, le protagoniste du Règne de l’Esprit malin48. En outre, pour composer certains romans de son « cycle montagnard », il puise l’inspiration dans les légendes valaisannes. Ramuz n’emprunte pas l’histoire entière mais en se posant de nombreuses questions, il essaie de s’imaginer comment l’action pouvait se dérouler. De