Commentaire De Texte La Cigale Et La Fourmi

sujets, mettent en relation des textes entre eux (auteurs, thèmes, sentiments exprimés, personnages, événements, situation spatiale ou temporelle, tonalité comique ou tragique...). Les interprétations diverses sont toujours rapportées aux éléments du texte qui les autorisent ou, au contraire, les rendent impossibles. Rédaction La rédaction de textes fait l’objet d’un apprentissage régulier et progressif : elle est une priorité du cycle des approfondissements. Les élèves apprennent à narrer

d’ironie du texte en général et du discours

▶ l’argumentation : les procédés de la persuasion ; Fontaine qui est pourtant l’auteur ▶ l’intertextualité : l’écriture comme travail, l’interpréd’autres écrits (Contes, théâtre...). tation littéraire comme mesure de la singularité d’un Nombreux sont également les texte en prise avec un contexte historique déterminé écrivains qui, avant ou après La et un ensemble d’œuvres littéraires déjà écrites. Fontaine, nous ont laissé des fables : Problématique : Peut-on parler d’originalité en littérature ? d’Ésope à Boileau

Commentaire de texte Ce passage est tiré du Père Goriot, écrit par Balzac, auteur du XVIIème siècle. Cet extrait se situe tout au début du livre, lorsque l’auteur décrit la pension qui appartient à Madame de Vaucquert. Le thème principaux qui ressortent de ce livre sont la société, l’argent, Paris ainsi que la vieillesse. Nous allons plus précisément nous pencher sur la vieillesse, la pauvreté et la famine qui engendre un sentiment de pitié ce qui nous amènerait à la problématique suivante :

sa haine Satisfaite. Son morne regard allum. Le gant, qui souffrait, bless, De mille morts, de mille peines, Eut un sourire triste et beau Et, avant de mourir, regardant le roseau, Lui dit Je suis encore un chne. Commentaire Si Anouilh semble bien reprendre le thme, le droulement et la morale de la fable de La Fontaine, il prend, en fait, le contre-pied de son illustre prdcesseur. Alors que le caractre orgueilleux du chne tait critiqu par La Fontaine, le sourire triste

Enoncé du devoir ________________________________________________ Corpus Texte A : Jean de La Fontaine, « Le Loup et le Chien », Fables, 1668-1696. Texte B : Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion », Fables, 1668-1696. Texte C : Jean de La Fontaine, « Le Lion et le Moucheron », Fables, 1668-1696. Texte D : Jean Anouilh, « Le Loup, la louve et les louveteaux », Fables, 1946. Texte E : Jean-Jacques Rousseau, Émile ou de l’éducation, 1762. Questions

vers final. Pour exprimer sa critique, le fabuliste a recours au registre satirique. Les animaux qui se comportent comme des hommes, lintelligence du cerf compare la sottise du lion font rire le lecteur et lamnent adhrer la critique. Le deuxime texte est un extrait de Germinal. Il sagit dune scne dans laquelle Etienne Lantier utilise tout son art oratoire pour persuader les mineurs de poursuivre la grve. Zola emploie son personnage comme porte-parole pour dnoncer les abus de pouvoir du grand capital

différentes formes de reprises littéraires : imitation, transposition, parodie, pastiche ; – l’argumentation : les procédés de la persuasion ; – l’intertextualité : l’écriture comme travail, l’interprétation littéraire comme mesure de la singularité d’un texte en prise avec un contexte historique déterminé et un ensemble d’œuvres littéraires déjà écrites. Problématique : Peut-on parler d’originalité en littérature ? Fables d’hier et aujourd’hui En France, le mot « fable »1 est spontanément associé au

son texte une dimension méta-textuelle : il y explique son propre texte (comme une sorte de mise en abyme, mais elle représenterait la fable elle-même dans le texte -> un peu différent, mais les deux font intervenir l’auteur). Il porte donc souvent un discours ou commentaire sur son propre discours qu’il est en train de tenir. Par exemple : Livre V, fable I (page 153) : il parle dans cette fable de ses propres fables, comme de la grenouille et du bœuf, ou encore de la fourmi et de la cigale. Il fait

premiers, mais le commentaire plait autant que le texte. Cette fable est la genre de celles que l'on appelle composées , c'est-à-dire où la morale mise elle-même en action , présente un second apologue. La Fontaine ajoutera quelques vers et fera de cette fable double une œuvre neuve et originale. La Cigale et la FourmiLa Cigale, ayant chantéTout l'été,Se trouva fort dépourvueQuand la bise fut venue :Pas un seul petit morceauDe mouche ou de vermisseau.Elle alla crier famineChez la Fourmi sa voisine,La