Commentaire De Texte Sur Les Lois De Cicéron

partir de : Jules César [100 avant J.-C. – 44 avant J.-C.] LA GUERRE DES GAULES. Traduction, préface et notes et Maurice RAT [1893-1963], agrégé d’université. Paris : Garnier-Flammarion, Éditeur, 1964, 250 pp. Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Times New Roman, 14 points. Pour les citations : Times New Roman, 12 points. Pour les notes de bas de page : Times New Roman, 12 points. Édition électronique réalisée avec le traitement de textes Microsoft Word 2008 pour Macintosh. Mise en page sur

d usage propre aux groupes familiaux. La tradition ajoute à ces coutumes un certain nombre de loi attribuée au premier roi de Rome ( comme Romulus ). En réalité ces lois sont plus certainement des anciens principes coutumiers qui concernent la religion et la disciple familiale et qui ont été, à l’époque républicaine, qualifiés de lois. b) Un droit secret Parce que le droit est dit par les D, c’est donc aux autorités religieuses qu’il appartient de révéler ce droit et de l interpréter. Ces prêtres

(Aristote) et un juriste romain, également philosophe cependant (Cicéron). La synthèse a été menée par un auteur du Moyen-Âge : Saint Thomas d’Aquin. Trois temps seront nécessaires pour présenter brièvement la doctrine du droit naturel classique : l’antiquité grecque (A) ; L’antiquité romaine (B) ; la synthèse thomiste (C). A) Le droit naturel classique dans l’antiquité grecque Les traces de l’idée d’un droit naturel supérieur aux lois humaines sont anciennes. ANTIGONE de Sophocle en est un bon exemple

humaines. C’est avec Pétrarque (1304-1374) que naît en Italie l'humanisme. Le poète commence par recueillir les inscriptions sur les vieilles pierres de Rome et poursuit dans les manuscrits sa quête des Anciens. Il retrouve ainsi des lettres de Cicéron, ressuscite un écrivain statufié par les écoles. Il s’illustre également en détectant un faux document au profit de son souverain. Lorenzo Valla (1407-1457), lui aussi traque la vérité historique, préconisant l’étude philologique des textes et le

-2400 avant J.C évocation de la législation qui a été donné par le roi Urukaniga (dirigé le royaume Lagash : sud de l’Irak). * 2ème témoignage : le code d’Ur-nammu code qui date des environs de 2100 avant J.C. Code d’Hammourabi c’est le texte le plus important et le mieux conservé qui date environs 1790-1750 avant J.C : le roi d’Hammourabi a eu une politique d’unification de la Mésopotamie : les règles juridiques sont le fruit d’une inspiration divine, la législation vient du dieu soleil :

l’ancienne signification du mot jurisprudence. On retrouve donc une notion de mutabilités et d’évolution notamment des « sources » du droit (fons iuris). C’est une métaphore utile pour comprendre mais jamais vrai. La métaphore des sources du droit de Cicéron (1 siècle avant JC) : le droit est ce que je contemple et l’eau représente ses multiples sources. Pour comprendre le droit, il faut identifier ses sources. 4 sources, 4 ingrédients fondamentaux s’articulent pour former le droit applicable en France

Bibliographie pour l’Agrégation des Lettres 2011. Montaigne, Essais, livre I[1]. I Bibliographies antécédentes VII Lectures « philosophiques » II Le texte VIII Lectures rhétoriques et stylistiques III Biographie IX La langue des Essais IV Le contexte historique X Ouvrages ou articles sur le livre I V Instruments de travail XI Bibliographie par chapitre VI Ouvrages généraux sur Les Essais I Bibliographies antécédentes[2] Agrégation des Lettres 1993, « Bibliographie Montaigne

| | |1583 : Garnier écrit Les Juives | | |1592 : Monluc écrit Commentaires (autobiographie) | | |1594: Shakespeare écrit Roméo et Juliette | |

juges, lors d’un procès, appliquent des règles de droit (= arbitre). Le juge se doit de rester neutre en interprétant la situation et les faits (= jurisprudence -> décision de justice) « droit des sages », Les juges sont obligés d’interpréter les lois, ils ne peuvent pas seulement les appliquer car il y a des cas particuliers. Common Law : juges qui crée du droit en Angleterre, coutume général qui n’existe guère alors les juges anglais ont supposés. 2ème source interprétative : la doctrine (= travail

d’abord indiquées les œuvres les plus importantes ou les plus connues) - Colonne 3 : éditions de poche (si possible) et autres (voir abréviations sous le tableau) - Colonne 4 : éditions parascolaires (avec le plus souvent présentation, commentaires et notes) (e) = extraits (publication partielle de l'ouvrage cité) vol. = volume ; L. = livre ; ch. = chapitre ; part. = partie |AUTEURS |TITRES |Editions