Commentaire Du Poème Les Sept Vieillards

Jean-Bertrand Pontalis (série collège, juin 2007) Sujet 5 • Texte de Jacques Lacarrière (série collège, juin 2007) . . Sujet 6 • Texte d’Alexandre Jardin (séries tech. et prof., sept. 2007) ½ Sujet 7 • Texte de Frédéric Boutet (séries tech. et prof., sept. 2007) ½ ¾ Sujet 8 • Texte d’Axel du Prel (série collège, sept. 2007) . . . . . . ¾¼½ Sujet 9 • Texte de Christiane Rochefort (série prof., déc. 2007) . . ¾¼ Sujet 10 • Texte de Jean-François Samlong (série collège, avr. 2008)¾½ Sujet 11 • Texte

désirait. ❖ Prison : A 22 ans, il écrit des tx qui critiquent les mœurs du Régent P. d’Orléans > 11 mois à la Bastille. ❖ 1ères oeuvres 1718 théâtre Zaïre = succès. Dramaturge et poète mondain. Il triomphe dans les salons et publie un long poème épique La Henriade en 1723 (cf Henri IV). ❖ Exil en Angleterre (1726-1729) suite à 1 altercation avec 1 noble (chevalier de Rohan, jeune arrogant = répliques cinglantes, chacun cherche à humilier l’autre. Voltaire est roué de coups par les hommes

africaines. Or, comme l’écrit Alain Mabanckou dans Verre cassé : le patron du Crédit a voyagé n’aime pas les formules toutes faites du genre « en Afrique quand un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle », et lorsqu’il entend ce cliché bien développé, il est plus que vexé et lance aussitôt « ça dépend de quel vieillard, arrêtez donc vos conneries, je n’ai confiance qu’en ce qui est écrit » […].12 Attaque frontale contre un aîné emblématique, certes, et il est certain que la figure

siffla-t-il. — Il paye sa pension tout comme un autre, répliqua-t-elle. C'est mon frère, d'abord, et tant qu'il ne te doit pas d'argent, tu n'as pas le droit de l'insulter tout le temps. J'ai tout de même un coeur, bien que je sois ta femme depuis sept ans. — Lui as-tu dit qu'il payerait son gaz, s'il continue à lire dans son lit? Mme Higginbotham ne répondit pas. Sa révolte était passée, vaincue par sa chair fatiguée, et le mari triomphait : il avait le dessus. Ses yeux clignaient vicieusement

à Dieu le Père qu'on le prenait souvent pour lui. Un jour, il entra dans une église par la sacristie; le curé menaçait les tièdes des foudres célestes: « Dieu est là! Il vous voit! » Tout à coup les fidèles découvrirent, sous la chaire, un grand vieillard barbu qui les regardait: ils s'enfuirent. D'autres fois, mon grand-père disait qu'ils s'étaient jetés à ses genoux. Il prit goût aux apparitions. Au mois de septembre 1914, il se manifesta dans un cinéma d'Arcachon: nous étions au balcon, ma mère

celui-ci le désirait. Prison : A 22 ans, il écrit des tx qui critiquent les mœurs du Régent P. d’Orléans > 11 mois à la Bastille. 1ères oeuvres 1718 théâtre Zaïre = succès. Dramaturge et poète mondain. Il triomphe dans les salons et publie un long poème épique La Henriade en 1723 (cf Henri IV). Exil en Angleterre (1726-1729) suite à 1 altercation avec 1 noble (chevalier de Rohan, jeune arrogant = répliques cinglantes, chacun cherche à humilier l’autre. Voltaire est roué de coups par les hommes de

à Dieu le Père qu'on le prenait souvent pour lui. Un jour, il entra dans une église par la sacristie; le curé menaçait les tièdes des foudres célestes: « Dieu est là! Il vous voit! » Tout à coup les fidèles découvrirent, sous la chaire, un grand vieillard barbu qui les regardait: ils s'enfuirent. D'autres fois, mon grand-père disait qu'ils s'étaient jetés à ses genoux. Il prit goût aux apparitions. Au mois de septembre 1914, il se manifesta dans un cinéma d'Arcachon: nous étions au balcon, ma mère

rose ; «traînant leur pieds nus en cadence ils font lever de poussière autant qu’une charrette»[11]. Charis avait promis au curé que ce premier fils à lui, Oguinase sera prêtre. Maintenant il fallait préparer l’enfant pour le séjour au collège «six ans, sept ans même plus, il ne savait pas»[12], représentait une dépense qui terrifiait Charis à l’avance. Tout sera arrangé après avoir parlé avec monsieur le curé, qui lui a promis qu’il «trouverait de quoi payer la moitie des frais de collège, de sa poche

jury du festival de Cannes - 1953 : écrit les dialogues de Monsieur Ripois, de René Clément - 1954 : commentaire d'un court-métrage sur les Champs-Elysées - 1955 : écrit une chanson pour Gervaise de René Clément - 1956 : collabore au scénario de la Mort en ce jardin de Luis Buňuel - 1957 : collabore au scénario d'Amère victoire, de Nicolas Ray - 1958 : écrit le commentaire en alexandrins du Chant du Styrène d'Alain Resnais - 1959 : supervise la version française (doublée) de

contempler le paysage qui défilait de part et d’autre des vitres. Le conducteur, devant, m’impressionnait. Je ne voyais que son dos, large comme un rempart, et ses bras vigoureux qui tordaient le volant avec beaucoup d’autorité. Sur ma droite, un vieillard édenté tanguait au gré des tournants, un couffin ratatiné à ses pieds. À chaque virage, il plongeait une main dans le panier et vérifiait si tout y était en ordre. L’odeur insoutenable du carburant et les virages serrés finirent par me terrasser