Commentaire Les Précieuses Ridicules

pas le laisser comme cela, c’est un ami. (De la salle de bains.) Je vais appeler le médecin ! C’est indispensable, indispensable, croyez-moi. JEAN, dans la salle de bains : Non. BÉRENGER, dans la salle de bains : Si. Calmez-vous, Jean ! Vous êtes ridicule. Oh ! votre corne s’allonge à vue d’œil !… Vous êtes rhinocéros ! JEAN, dans la salle de bains : Je te piétinerai, je te piétinerai. Grand bruit dans la salle de bains, barrissements, bruits d’objets et d’une glace qui tombe et se brise ; puis on

_________________________________________________________________________________ ‘’Le gant rouge’’ (1888) Vaudeville en quatre actes et en prose On court après des lettres d'amour cachées dans I'enseigne du magasin ‘’Le gant rouge’’ par une gantière et son employée. Commentaire Cette comédie ébouriffante fut présentée au théâtre de Cluny seulement dix-sept fois en août 1888 et devant une salle vide, le critique Francisque Sarcey la qualifiant d'«insanité», d’autres la jugeant indécente. Blessure, déception, honte.

_________________________________________________________________________________ ‘’Le gant rouge’’ (1888) Vaudeville en quatre actes et en prose On court après des lettres d'amour cachées dans I'enseigne du magasin ‘’Le gant rouge’’ par une gantière et son employée. Commentaire Cette comédie ébouriffante fut présentée au théâtre de Cluny seulement dix-sept fois en août 1888 et devant une salle vide, le critique Francisque Sarcey la qualifiant d'«insanité», d’autres la jugeant indécente. Blessure, déception, honte.

_________________________________________________________________________________ ‘’Le gant rouge’’ (1888) Vaudeville en quatre actes et en prose On court après des lettres d'amour cachées dans I'enseigne du magasin ‘’Le gant rouge’’ par une gantière et son employée. Commentaire Cette comédie ébouriffante fut présentée au théâtre de Cluny seulement dix-sept fois en août 1888 et devant une salle vide, le critique Francisque Sarcey la qualifiant d'«insanité», d’autres la jugeant indécente. Blessure, déception, honte.

Analyse des exemples et cours / tableau à OL compléter. Contrôle de lecture sur les actes I et II + vocabulaire Vidéo acte II pour correction contrôle de lecture Chaque visionnement de vidéo donne lieu à des analyses de scènes précises et à des commentaires concernant les choix de mise en scène et d’interprétation. La présentation de M. Séance 6 Actes I et II Questionnement des Jourdain élèves et élaboration Lecture d’une synthèse. Contrôle de lecture sur l’acte III Vidéo acte III pour correction

l'éloignement.      Nous pouvons aussi citer Mme de Lafayette. C'est une  femme de lettre, qui a beaucoup fréquenté les salons précieux, comme ceux de la  Marquise de Rambouillet ou de Mlle de Scudéry. Elle fut donc marqué par  l'influence précieuse, mais elle sait se dégager des excès de la préciosité.    Mme de Lafayette   Son plus célèbre roman est La Princesse de Clèves, publié en 1678. C'est  une histoire d'amour tragique, mais c'est aussi un roman fondateur, modèle des  romans d'

38 ans, désargenté mais de très haute noblesse, ce qui lui donne le droit, rentrée à Paris au bout de 4 ans, de devenir dame d'Honneur de la reine Anne d'Autriche, mère de Louis XIV, alors mineur. Elle est vite considérée comme une précieuse,(Les précieuses ridicules de Molière, 1659. Portrait dans Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand). Elle se lie avec des hommes de lettres académiciens (1635 : Richelieu) comme Huet ou Segrais, et rédige à cette époque La Princesse de Montpensier qui paraît, ss nom

second intermède (scène5). ACTE III : en croisant M.Jourdain habillé en gentilhomme, Nicole, la servante, est prise d'un rire incoercible (scène2), tandis que Mme Jourdain, consternée, dit tout net à son mari ses quatre vérités : il est proprement ridicule avec les grands airs qu'il cherche à prendre (scène3). Arrive Dorante, un comte dont s'est entiché M.Jourdain, à qui, il prête régulièrement de l'argent sans jamais être remboursé. Dorante, à la faveur de quelques compliments, soutire encore de l'argent

INTRODUCTION DU COMMENTAIRE « Ménalque, le distrait » est un extrait tiré du chapitre XI intitulé « De l'homme » et fut publié en 1696 dans l'ouvrage monumental de La Bruyère « Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle » ; il met en scène un personnage plutôt loufoque qui n'arrête pas de se perdre et de multiplier les actes manqués. PB : [3° alinéa: annoncer le plan dans ses grandes lignes, les centres d'intérêt du texte proposé] Dans un premier temps, nous étudierions les caractéristiques

convention sociale) → Thomas prioritise le protocole a l’amour · Les compliments démesurée de Thomas à Angélique:· Commence par “Mademoiselle” = Apostrophe → Tradition rhétorique · Discours ridicule → qui met en parallèle la science et l’amour· Discours commence avec une comparaison “comme les naturalistes”· Analogie complexe entre son cœur et la statue de Memnon “Ne plus ne moins… tout de même”· Comparaison botaniste → comparé à une fleur →