Commentaire Les Précieuses Ridicules

intégration systématique de la didascalie interne. Le fait que le personnage précise les tons (effets sonores, il faut caricaturer), tonalités, registres (v.342 : "lyrique", emphase à d'autres moments) qui qualifient ses définitions témoigne d'un commentaire, d'une mise en valeur emphatique et théâtrale de son propre discours : il le met en scène et ce faisant il en qualifie la nature proprement théâtrale. Tout cela va théâtraliser l'ensemble et donner l'impression que Cyrano joue une pièce dans la

didascalies. Or les commentaires des contemporains nous apprennent que ni Molière ni ses acteurs ne reculaient devant les grimaces, mimiques outrées, gestes excessifs : « Jamais personne ne sut si bien démonter son visage et l’on peut dire que dans cette pièce il en change plus de vingt fois », déclarait M. de Neufvillenaine à propos de Sganarelle. Le lecteur doit donc imaginer, comme on le lui dit dans la Critique de l’École des femmes, » ces roulements d’yeux extravagants, ces soupirs ridicules, et ces larmes

belle fille, depuis treize ans jusques à vingt-deux, et après cet âge, de devenir homme ». Dans le chapitre « Des femmes », à la troisième remarque, La Bruyère utilise explicitement le « je » pour énoncer son désir d'être une femme. À la vue de ce commentaire, on pourrait se demander pourquoi il nous raconte ce fait personnel, puis, à la suite de l'énoncé, on parvient à entrevoir une critique vis-à-vis de la condition des femmes à l'époque. Le pronom personnel nous rapproche de son idée de la société

à être dévorés, le fait que Candide ait tué un jésuite les sauve. Ils décident de se rendre à Cayenne, montent sur un canot et se laissent glisser sur une rivière. Ils arrivent dans une contrée où les enfants jouent avec de l’or et des pierres précieuses et où ils sont reçus comme des rois : Eldorado. Ils y séjournent un mois, puis demandent à partir. Le roi leur fait construire une machine leur permettant de passer l’obstacle constitué par les montagnes, seule issue à cette contrée, et les charge

lettre ? INVENTION La fille de Mme de Sévigné s’empresse de répondre à la lettre de sa mère afin d’atténuer la douleur de la séparation en cherchant à la persuader des mérites de l’échange épistolaire. Vous rédigerez cette lettre. 20 lignes minimum COMMENTAIRE Vous commenterez le texte D en répondant à la problématique suivante : « En quoi Madame de Merteuil incarne- t-elle un modèle d’émancipation féminine au XVIIIème siècle ? ». Vous rédigerez l’introduction et la conclusion en intégralité et veillerez

le contexte innocent de l'aristocratie. Avec la publication de l'ouvre il y a très de polémique et l'aristocratie s'ennuie avec lui. Pierre Choderlos de Laclos a été marié avec Marie-Solange et ils ont eu trois fils et il est meurt le 1803. Commentaire des fragments Fragment lettre LI: "Quoi qu'il en soit, au lieu de perdre mon temps en raisonnements qui m'auraient compromise, et peut-être sans persuader, j'ai approuvé le projet de rupture: mais j'ai dit qu'il était plus honnête, en pareil cas

(→*un poème allégorique), sur laquelle Baudelaire possède par ailleurs une vision manichéenne (Qui sépare, sans nuance, le bien et le mal, ici le monde banal à l’idéal) *Un poème allégorique : Albatros=allégorie du poète et de sa condition (cf. commentaire→ http://www.bacdefrancais.net/albatros-baud.php ) I- La parabole du poète oiseau : A- Une double analogie/ comparaison B- L'élévation II- Un univers soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses B- Le jeu sur les sonorités C- Le mouvement

DÉPARTEMENT D’HISTOIRE Faculté des lettres et des sciences humaines Université de Sherbrooke Commentaire du roman Le monde s’effondre Par ALEXANDRE AUBÉ CÔTÉ Travail présenté à M. PATRICK DRAMÉ Dans le cadre du cours HST-434 Histoire sociale d’Afrique de l’Ouest Sherbrooke 12 mars 2013 1 Albert Chinualumogu Achebe naquit le 16 novembre 1930 à Ogidi au Nigéria. Les parents d’Achebe étaient d’origine Ibo, mais s’étant convertis au christianisme ils élevèrent leurs six

avait rien d’assez friand pour ces grands serviteurs de Dieu, pendant que je ne faisais qu’une chère ordinaire à mes amis mondains et pécheurs » : Nos dévots sont de véritables Tartuffes. C. Portrait social du dévot. 1. Mode qui tend au ridicule L’Eglise, ou plutôt le culte, donne naissance à une nouvelle mode. Les dévots vont à la messe pour se montrer. Il y a une sorte de narcissisme chez le dévot qui ressort d’une mode sociale : celui-ci, en plus de se donner bonne conscience, veut

constate souvent aujourd'hui : les groupes, les réseaux sont soudés par le rire. On aura observé comment le succès d'une comédie est d'autant plus marqué que le public est nombreux. Le rire est en effet contagieux, il crée une communion, une complicité précieuses dans la dynamique de groupe. Rire des mêmes choses est aussi le signe le plus évident d'une connivence qui engage la cohérence d'un milieu ou d'une association. Ce peut être, bien sûr, éphémère et artificiel, mais ce liant est absolument nécessaire