Commentaire Madame Bovary Le Bal

manifeste et, cette fois, sans la moindre ironie. – Mais qu’avez-vous, mon cher monsieur, à le fixer avec cet air ébahi ? intervint soudain Elisabeth Prokofievna. – Vous le croyiez donc plus bête que vous et incapable de raisonner à votre manière ? – Non, madame, je ne croyais pas cela, fit Eugène Pavlovitch ; mais une chose m’étonne, prince (excusez ma question) ? si vous saisissez et pénétrez ainsi le sens de ce problème, comment avez-vous pu (encore une fois, excusez-moi), dans cette étrange affaire, il

Chicago, SaintLouis, Nashville, Louisville, ont des journaux complètement indépendants. Mais dans les villes plus petites les journaux appartiennent en général à des consortiums nationaux. Il est évident qu’ainsi le choix des nouvelles et des commentaires de celles-ci se trouve être sous le contrôle presque complet d’un petit nombre de gens. En fait, en 1950, pour l’ensemble des Etats-Unis, il n’y avait que 1772 journaux de langue anglaise, desservant près de 54 millions de personnes. Cela revient