Commentaire Stylistique La Bête Humaine

Marketing ................................................................................................. • Mathématiques ......................................................................................... • Philosophie, Lettres et Sciences humaines .............................................. • Technologie ............................................................................................... PASSERELLE 2 Épreuves communes • Synthèse de dossier ...................................

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terrible de [sa] vie ». Peu de pages jettent une lumière plus vive, plus meurtrière, sur les plaies d'un esprit malade, forcé par son démon à tout interpréter dans le sens du pire. Pourtant, le récit fait au prince se poursuit sans une faiblesse stylistique, sans la moindre défaillance d'une pensée inexorablement présente à son mal, et maîtresse de son expression. Car il faut mettre en évidence, chez Rousseau, outre le phénomène des « intermittences du cœur », qui le fait différer si souvent de lui-même

mûrier ». La tradition veut d’ailleurs que le deuxième des « Trois Souverains » mythiques, le légendaire Houang-ti, ait appris lui-même aux Chinois à élever les vers à soie et à remplacer par des tissus les vêtements « barbares », faits en peau de bête ou en paille. Enfin il semble que dès l’origine le paysan chinois, après avoir arraché la glèbe à la brousse ou au marécage, ait, pour René GROUSSET — Histoire de la Chine 8 maintenir sa conquête, adopté le système, encore en vigueur chez

spatiaux et humains : ce n'est pas seulement un espace avec certaines caractéristiques physiques (voies de communication, de répartition entre espaces consacrés au travail et espaces consacrés à la vie sociale) et un rassemblement de personnes et de groupes sociaux différents. Ce qui caractérise la ville : - c'est l'interdépendance entre ces différents éléments physiques (voies de communication, organisation des zones consacrées au travail, au logement, à la vie sociale, évènements, groupes humains...).

les seuls musulmans, mais pour tous les démocrates. Il appelle la classe politique à s’ouvrir avantage aux musulmans, afin, dit-il, que ceux-ci portent « les couleurs de la Suisse dans le monde » et deviennent « les futurs minarets d’une Suisse humaine, tolérante et ouverte ». Bernard Bertossa, un des pionniers européens de la lutte contre le blanchiment d’argent, remarque que la votation anti-minarets « s’inscrit dans une stratégie qui, depuis un quart de siècle en Suisse, consiste à faire de “l’étranger”

les œuvres de la littérature française romantique orientaliste, coloniale, post-coloniale et la littérature tunisienne francophone. Notre sujet, même s’il concerne la Tunisie, même s’il commence essentiellement au XIXe siècle, tiendra compte des commentaires et des œuvres du XVIIIe siècle à aujourd’hui et concernera le Maghreb même si nous ferons aussi référence à quelques oeuvres évoquant la Turquie, l’Egypte, le Proche et le Moyen Orient. Nous nous intéresserons donc dans un premier temps à l’intérêt

fois immédiate et à plus long terme. Écriture 6. Le personnage de Chérubin a ) Sur quels traits de principe est-il construit ? Justifiez son nom. S’agit-il d’un emploi neuf au théâtre ? Le personnage semble vrai : vérité de comédie ou vérité humaine ? b ) Analysez le mélange de sensibilité et de parodie dans l’échange entre Suzanne et Chérubin. c ) Chérubin et l’amour : les objets, les gestes, les mots dénotent une sensibilité nouvelle dans la littérature. Laquelle ? Dans la préface, Beaumarchais

prend certaines précautions. Si les Anglais planquent en bas de son immeuble, c'est que l'affaire qui nous a occupés ces derniers mois n'est pas aussi classée que nous voulions tous le supposer. Vous me suivez jusque-là ? – Ne me prenez pas pour plus bête que je ne le suis, dit Lorenzo en démarrant. La voiture s'engagea sur les quais et franchit le pont Marie. – Si Ivory est aussi prudent, c'est qu'il a un tour d'avance, reprit Vackeers. Et moi qui croyais avoir gagné la partie ce soir, décidément

colonisation. Il apparaît aussi à la première lecture que la contestation est provoquée par les pratiques du colonisateur, dont la présence est remise en cause. En fait, on reproche au colonisateur de considérer le colonisé, non pas comme un être humain, mais comme une « bête », d’où la mise en relief de la notion de déshumanisation. Ces deux pièces sont deux paraboles différentes sur la situation de colonisation. La première privilégie le conflit opposant le colonisé à lui-même puis au colonisateur à travers