Commentaire Sur La Courbe De Tes Yeux

suis, débraillé comme un étudiant, Sous les marronniers verts les alertes fillettes : Elles le savent bien ; et tournent en riant, Vers moi, leurs yeux tout pleins de choses indiscrètes. Je ne dis pas un mot : je regarde toujours La chair de leurs cous blancs brodés de mèches folles : Je suis, sous le corsage et les frêles atours, Le dos divin après la courbe des épaules. J'ai bientôt déniché la bottine, le bas... – Je reconstruis les corps, brûlé de belles fièvres. Elles me trouvent drôle et se parlent

suis, débraillé comme un étudiant, Sous les marronniers verts les alertes fillettes : Elles le savent bien ; et tournent en riant, Vers moi, leurs yeux tout pleins de choses indiscrètes. Je ne dis pas un mot : je regarde toujours La chair de leurs cous blancs brodés de mèches folles : Je suis, sous le corsage et les frêles atours, Le dos divin après la courbe des épaules. J'ai bientôt déniché la bottine, le bas... – Je reconstruis les corps, brûlé de belles fièvres. Elles me trouvent drôle et se parlent

DEVOIR MAISONA rendre le mardi 10 janvier 1. Suivez les étapes 1 à 3 de la fiche « Aide pour le commentaire ». 2. Une fois votre plan complet, recopiez-le proprement sur une copie double. Veillez à ce que vos titres soient clairs, sinon faites des phrases. 3. Rédigez ensuite l’introduction, et le I. a) et b). Chaque sous-partie doit être bien développée (environ une quinzaine de lignes).

Hypothlodée Raphael : celui qui raconte la description dans Utopia. * Ce texte est un récit et non un roman. * Registre du récit : épidictique (éloge ou blâme), élégiaque * Situé le passage : juste avant il y a un livre qui fait le commentaire critique de la région de Londres. Un bilan critique est fait sur la société de l’époque. * Avec ce texte on a affaire à un genre bien précis de l’argumentation qui n’est ni plus ni moins que l’Utopie. * Utopie : d’après son éthymologie

ans On ne cesse de vous répéter que votre horloge biologique tourne, que vous n’avez rien fait de votre vie, que les voyages forment la jeunesse ou qu’il est temps de vous caser. Et si c’était une belle liste de clichés ? Par Alice Buckler 35 commentaire(s) ------------------------------------------------- Top of Form Donnez un note (18) Bottom of Form Envoyer Partager Imprimer Partager cette page * Facebook * Wikio * Myspace * Delicious Yahoo Pour Elles - mer. 1 juin

l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et, quand j'arriverai, je mettrai sur

nécessaire pour des raisons évidentes de gain de temps de faire travailler les élèves en binôme. I. PRESENTATION DE LA SEANCE DE TRAVAUX PRATIQUES Référentiel La spectrophotométrie I.1. Objectif DU TP ( Théorique : Savoir tracer et exploiter une courbe d'étalonnage ( Pratique : Savoir effectuer un dosage par spectrophotométrie I.2. PREREQUIS - Nature du matériel nécessaire à la réalisation d'une gamme étalon - Méthode de préparation, par pesée ou par dilution, de solutions

Objet d’étude : la poésie EAF juin 2010 Explication du sonnet de Louise Labé (1524-1566) « Tant que mes yeux pourront larmes épandre » Cette explication est conçue pour vous guider dans la compréhension de ce texte. Mais n’oubliez pas qu’il vous faudra, le jour de l’oral, adapter votre explication à la question que vous posera votre examinateur. Louise Labé fait partie du groupe des poètes lyonnais, avec Maurice Scève (auteur de Délie, recueil de dizains ; s’informer brièvement

Qu’est-elle donc, cette porte « basse », « étroite », et maintenant « petite » ? Tous ces resserrements, que laissent-ils passer ? Je suis bien passé, et me souviens de ces impressions d’initiation : « Voici le frère qui me couvre à nouveau les yeux, me guide jusqu’au temple, me tient par les épaules. Je sors du caveau de réflexion, de l’antre des nymphes (Porphyre), où le village endormi a rejoint la forêt. Voici le temple, où l’on entre en se baissant pour passer sous la branche basse de l’arbre

Battre la campagne (1968) ECRITURE I) Vous répondrez d’abord à la question suivante (4 points) : En quoi ces trois textes argumentatifs s’appuient-ils sur un registre comique ? II) Vous traiterez ensuite l’un de ces sujets (16 points) : Sujet 1 : Commentaire Vous commenterez le texte de Rousseau (document A) Sujet 2 : Dissertation Vous direz si, selon vous, le récit prime sur la morale dans un apologue. Vous appuierez votre réflexion sur les textes du corpus et sur d’autres apologues que vous connaissez