Commentaire Sur La Pension Bourgeoise De Balzac

aimait : sa mère (qui allait être la seule personne qui ait réellement compté dans sa vie), la poésie, le rêve et la vie sans contingences, il fut mis en pension. En 1831, Aupick, de retour d’Algérie, fut nommé lieutenant-colonel et chef d'état-major de la septième division militaire à Lyon, pour y réprimer les troubles. Charles fut interne à la pension Delorme, puis au Collège royal. Il suivait les cours à la satisfaction de ses parents, mais se montra pourtant un élève singulier, sournois, partagé

______________________ Sommaire ______________________ Tutorat suite ■ Correction du DM • Grille de notation du commentaire composé Repérages sur le texte 3 de Chamisso ■ Dostoïevski (1821-1881) • Biographie • Genèse du Double • Résumé du Double Repérages sur le texte 4 de Dostoïevski

intérêt pour les études commença à faiblir et il obtint des notes assez moyennes sauf en français. Dévoreur de livres, (il lui arrivait d‘en lire un par jour), il découvrit alors les romans de Gaston Leroux, Alexandre Dumas, Dickens, Conrad, Stendhal, Balzac (qui lui a indiqué le rôle de l'argent, le souci de la dimension physique de l'oeuvre), Gogol (dont il retint la folie ou, plus précisément, ce qui mène à la déstabilisation de l'humain), Dostoïevski (dont il hérita cette attention que tout commentateur

L’imparfait est ici aussi le temps dominant et insiste sur le caractère répétitif de ces soirées parfaitement réglées. On note le contraste ironique entre le début du chapitre où les soirées sont présentées comme une « grosse histoire » et une « orgie bourgeoise d’une gaieté folle » (p. 37), et les pages suivantes où sont décrites les activités habituelles (« jeu de dominos », « service à thé », p. 38). Les termes « toujours » et « régularité parfaite » (p. 38) soulignent également la monotonie. Un couple

Bonheur des Dames, gros plans (le grand magasin, la publicité)  Doc La bourgeoise au XIX siècle  Doc Crinoline mode du XIXe siècle  Doc La société industrielle (1850 - 1939)  Travail individuel : découvrir les documents puis réaliser une fiche mémo illustrée. (Le Second Empire, la révolution industrielle et commerciale du Second Empire, le baron Haussmann et le nouveau visage de Paris, un type de femme du XIXe (la bourgeoise)  Pendant la deuxième étape :  Lecture analytique n° 2* : Extrait du

Bonheur des Dames, gros plans (le grand magasin, la publicité)  Doc La bourgeoise au XIX siècle  Doc Crinoline mode du XIXe siècle  Doc La société industrielle (1850 - 1939)  Travail individuel : découvrir les documents puis réaliser une fiche mémo illustrée. (Le Second Empire, la révolution industrielle et commerciale du Second Empire, le baron Haussmann et le nouveau visage de Paris, un type de femme du XIXe (la bourgeoise)  Pendant la deuxième étape :  Lecture analytique n° 2* : Extrait

Victor Hugo auquel il donne son prénom[8]. En septembre 1815, il entre avec son frère à la pension Cordier. D'après Adèle Hugo, c'est vers cet âge que Victor Hugo commence à versifier. Autodidacte, c'est par tâtonnement qu'il apprend la rime et la mesure[9]. Il est encouragé par sa mère à qui il lit ses œuvres, ainsi qu’à son frère Eugène. Ses écrits sont relus et corrigés par un jeune maître d’études de la pension Cordier qui s’est pris d’amitié pour les deux frères[10]. Sa vocation est précoce et ses

à lui, Victor Duruy, ministre de l'Instruction publique, renforce l'enseignement d'état en multipliant les écoles primaires et en développant l'enseignement secondaire pour les filles, privilège jusque là accordé uniquement aux pensions religieuses. L'empereur essaie de gagner les ouvriers en leur donnant du travail, en construisant des logements ouvriers et en leur accordant le droit de grève en 1864. L'autorité du gouvernement décline avec la maladie de l'empereur

consacra dix-neuf chapitres de « Mes Mémoires »). Il ne pardonna jamais à Napoléon (qu’il vit, à son retour de Waterloo, passer au relais de poste de Villers-Cotterêts, ce qui le marqua) d'avoir mis son père à la retraite et d'avoir refusé à sa mère la pension due à la veuve d'un héros des guerres de la Révolution. Il raconta pourquoi il avait décidé de s'appeler Dumas et non pas Davy de La Pailleterie, le nom qu'il aurait pu porter : il voulait rester fidèle au nom illustré par son père, le général Dumas

s’agit de fondre toutes les épopées dans une épopée supérieure et définitive ». (Hugo) Chez Balzac encore, le moindre détail participe à une totalité grandiose. Médiocrité du quotidien toujours transfigurée : cette transfiguration tient à l’imposition du mythe sur les personnages : A propos du Père Griot : « Le christ de la paternité » Cesar Birotteau : « Le martyr de la probité commerciale » Le style Balzac : Enumération Particularisation Mise en relief