Commentaire Sur La Porte Des Enfers

de Bonaventure de Fourcroy (1610-1691) et « Assis sur un fagot, une pipe à la main », de Marc-Antoine Girard de Saint-Amant (1594-1661). - La Bruyère, « Onuphre n’a pour tout lit… », 24 VI, Les Caractères, 1688. - Baudelaire, « Don Juan aux enfers », Les Fleurs du Mal : poème XV, 1840. - Entretien de Marcel Bluwal à propos de sa mise en scène de Dom Juan. ➢ Les représentations - Captation des premières scènes de Dom Juan étudiées en classe : téléfilm réalisé par Marcel Bluwal

chanté en ariettes. La salle réagit avec une chaleur discrète. C’est à peine si on remarqua qu’Orphée introduisait, dans son air du deuxième acte, des tremblements qui n’y figuraient pas, et demandait avec un léger excès de pathétique, au maître des Enfers, de se laisser toucher par ses pleurs. Certains gestes saccadés qui lui échappèrent apparurent aux plus avisés comme un effet de stylisation qui ajoutait encore à l’interprétation du chanteur.Il fallut le grand duo d’Orphée et d’Eurydice au troisième

civil le respect d'intégrité physique: document 2: le 29juill 1995, un véhicule conduit par une personne sous l'empire dun état alcoolique a heurté celui conduit par une femme enceinte de 6mois qui a été blessé et a perdu le phoetus qu'elle porté. la CA de Metz le 3sept 1998 a condamné le chauffeur du chef de blessure involontaire sur la pers de la femme enceinte avec circonstance agravante d'un état alcoolique. mais la relaxé du chef d'atteinte involontaire de l'enfant à naître. la femme forme

Commentaire : Acte 1, scène 1 du vers 1 à 65. En quoi cette scène est-elle une exposition ? Jean Racine, célèbre dramaturge français du classicisme, écrit Phèdre en 1677.A travers son œuvre Racine tente de plaire et de toucher le spectateur, sans chercher à viser une actualité politique (étant lui-même le protégé du roi), sa pièce met en œuvre toutes les catégories de l’esthétique littéraire classique : dramatique, pathétique, épique, tragique. L’extrait qui est ainsi présenté est un dialogue de

Questions d'histoire et analyse de textes/de documents Commentaire composé Texte : extrait des Perses d'Eschyle Le Choeur. Grands dieux ! Quel heureux et ferme gouvernement était le nôtre ! Tant qu’un monarque auguste, suffisant à tout, irréprochable, invincible, un roi égal aux dieux, Darius, régnait sur cet empire. La gloire suivait nos armées : les lois réglaient tout dans nos villes. A la guerre, nul désastre, nul revers ; un retour heureux ramenait dans leurs foyers nos soldats triomphants

sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. Héros voyageur, il participa à l'expédition des Argonautes. Son épouse, Eurydice (une dryade), lors de leur mariage, fut mordue au pied par un serpent. Elle mourut et descendit au royaume des Enfers. Après avoir endormi Cerbère, le monstrueux chien à trois têtes qui en gardait l'entrée de sa musique enchanteresse, et les terribles Euménides, il réussit à approcher le dieu Hadès. Il parvint, grâce à sa musique, à le faire fléchir

ce dernier suivait partout son maître dans la maison. Après que le narrateur lui ait retiré l’œil a l’aide de son canif, le chat fuyait à sa vue avec une extrême terreur. Il ne faut pas oublier que Pluton dans la mythologie romaine est le dieu des enfers. Dans l'histoire de Poe, le chat Pluton est considéré comme un monstre, un démon. Il averti les policiers en poussant un cri derrière le mur et qui dénonce le narrateur. Ce dernier finit par réellement croire que derrière le chat noir se cache une

sa mort à l’Olympe où l’immortalité lui fut accordée. Il est ainsi honoré comme un dieu, notamment à Rome sous le nom d’Hercule. Certes le héros est capable d’exploits, et de ce fait au-dessus des hommes : il semble alors hors de toute portée. Le héros est toutefois rarement strictement positif : étant un demi-dieu, il ne peut être parfait et possède une faiblesse le rendant mortel comme on peut le voir avec Héraclès, présenté comme esclave de ses passions en raison de sa vanité et de

Commentaire linéaire rédigé, Hugo, « Melancholia » Les Contemplations, publiées en 1856 par Victor Hugo, constituent à le lire les « mémoires d’une âme ». Il faut entendre ce mot dans ces trois sens : mémoires de sa carrière de poète, mémoires de sa fille décédé trop tôt Léopoldine, et mémoires d’un homme témoin de son temps, et dont l’engagement social lui a valu d’être exilé par le nouvel empereur Napoléon III. L’extrait que nous étudions est tiré d’un poème particulièrement long

Objet d’étude: Réécritures Série L TEXTES: Texte A : Molière, Dom Juan (première représentation le 15 février 1665), Acte V, extrait de la scène 5 et scène 6.. Texte B: Chartes Baudelaire, “Don Juan aux Enfers”, Les Fleurs du Mal, 1857, Texte C: Jules Barbey d’Aurevilly, “Le plus bel amour de Don Juan”, Les Diaboliques, 1874. Texte D : Guy de Maupassant, Mont-Oriol, 1887. Annexe : Michel Tournier, “Le miroir des idées”, Extrait de Don Juan et Casanova, TEXTE A: Molière, Dom Juan, 1665