Commentaire Sur Le Désespoir De La Vieille De Baudelaire

verrons tout d’abord la description du cadre, du lac Majeur ; puis nous intéresserons à la description du personnage éponyme ; enfin nous montrerons que cet extrait peut être considérée comme un exemple de l’esthétique romantique. L’objectif de notre commentaire sera de répondre à la problématique : quels sont les enjeux de la description dans un roman ? 1. La description du lac Majeur a. la symbiose élémentaire - la descriprion du lac Majeur met en scène tout d’abord une parfaite harmonie

doivent donc cohabiter sous un même toit, ce qui met bien évidemment le sentiment patriotique de ces derniers à l'épreuve. C'est ce que Vercors met en scène dans Le Silence de la mer : Werner von Ebrennac, jeune officier allemand est logé chez un vieil homme et sa nièce, qu'il prend l'habitude de visiter chaque soir dans le fumoir, et à qui il impose de longs monologues, sur l'Allemagne, son pays, et sur la France, qu'il admire, persuadé que pour les deux peuples, « Il sortira de très grandes choses

allait vouer une amitié affectueuse et libérale qui ne se démentit jamais. Il termina sa tragédie : ____________________________________________________________ _____________________ “Oedipe” (1715) Tragédie en cinq actes et en vers Commentaire C’est une tragédie à l’antique, avec des choeurs, Voltaire se voulant le continuateur de Racine, affirmant son attachement aux trois unités, à l'alexandrin et aux maîtres grecs. Mais, quoi qu'il en ait pensé, la pièce était tout de même une déclaration

intime et l’agenda de 1963, très succincts, euphémisant la situation, servaient avant tout de repères et d’aide-mémoire », poursuit-elle. Dans le premier cas, il s’agit donc d’une peur insoutenable, liée à ces pages rédigées lors du séjour de la vieille dame à l’hôpital, qui ont rendu le journal « intouchable » jusqu’après la fin de la rédaction d’Une femme. Ernaux semble sentir que chaque page de ce journal, noircie à l’encre et tournée à l’instar de ses précédentes, est un jour de moins dans la

», ce qui semble simplement vouloir dire que des individus 2 Équinoxes n° 5, Printemps/été 2005 ; http://www.brown.edu/Research/Equinoxes/journal/Issue%205/eqx5_casanova.htm 16 écrivent des textes, qui sont publiés par des éditeurs – vieille pratique on en conviendra – mais chez des éditeurs eux-aussi « émergents », ce qui laisse songeur quand on se souvient que faire « émerger » une maison d’édition revient à rassembler des capitaux, à effectuer un acte juridique identique à celui

la reconnaissance à l’égard de son grand-père. – Quand on se penche sur son passé, on revoit des instants de bonheur. – La revue de presse est programmée à la fin du journal télévisé. – En revoyant son fils perdu de vue depuis longtemps, la vieille mère retrouva l’usage de la parole. – Les retrouvailles avec d’anciens camarades de classe s’accompagnent de nostalgie. – Il fuit les lieux et les visages qui lui rappellent son passé. – En cas de grave crise entre deux pays, certains gouvernements

mépriser tout danger pour aller au front. Je t’admire ma chérie et t’adore ». Dans un numéro du Mercure de France daté 1918, Apollinaire publie un article sur « La fille soldat » dont voici les premières lignes : « Mlle Yolande Cavazza, d’une vieille famille bolonaise, avait essayé deux fois sans y réussir d’aller au front comme simple soldat ». La troisième fois, déguisée en soldat, la jeune fille réussit à arriver jusqu’à Pistoie, mais très vite elle est démasquée. Cette volonté forcenée d’atteindre

est devenu le chef de file d'une école littéraire, malgré lui. Nancy Huston, dans son dernier essai, rapproche Houellebecq du nihilisme des années 50-60 (Beckett, Cioran), et fait une critique acerbe de ses romans dans son ouvrage Professeurs de désespoir. D'autres écrivains en parallèle, durant la dernière décennie, utilisent sciemment le procédé de l'autofiction pour renouveler le genre romanesque (Christine Angot par exemple). Terme inventé par Serge Dobrovsky en 1977, l'autofiction est une

déshonorer et pervertir la jeune Cécile, afin de ruiner le mariage de Gercourt qui tient à la virginité de sa future épouse (lettre 2). Mais Valmont refuse, et attise ainsi l'irritation de Mme de Merteuil. Il se dit retenu à la campagne, chez sa vieille tante, Mme de Rosemonde, par un «grand projet» : «avoir» une femme qui y séjourne, qui est l’épouse du président (de tribunal) de Tourvel, femme qui est jeune, belle, pure, chaste, vertueuse et dévote, intouchable parce que fidèle à son époux et animée

parents de Gilberte. Il découvrit ainsi un appartement qu’il voyait comme « un Temple asiatique » où il dégusta « un gâteau architectural » qui lui parut une « pâtisserie ninivite ». Mme Swann fit l'éloge de Françoise en la désignant comme une « vieille nurse». Il pénétra enfin « au cœur du Sanctuaire » : la bibliothèque de Swann ; il fut même reçu dans la chambre de sa femme qui, épuisée quand elle avait son « jour», y recevait des « notabilités républicaines » et même des « dames israélites »,