Communard

que la République. La journée du 18 mars 1871 Le régime né le 4 septembre 1870 qui placé devant le dilemme de devoir choisir entre les aspirations sociales de Paris patriote et la poursuite du processus politique débuté dans la défaite. Pour les Communards, idée d’une République comme au XIXe siècle démocratique et sociale, égalitaire et fraternelle. Le 18 mars : climat de tensions entre la capitale et l’Assemblée. Réaction vaine de Thiers et du gouvernement. Décide du recours à la force et ordonne

d’une majorité conservatrice malgré le caractère républicain du régime.Du 18 mars au 28 mai 1871 a lieu la « Commune », une révolution d’extrême gauche à Paris, écrasée par Adolphe Thiers lors de la «semaine sanglante» (21-28 mai).Une barricade de Communards est dressée rue de Charonne.La commune est un pouvoir libertaire qui met en place des mesures socialistes :l’ouverture de la citoyenneté aux étrangers, les coopératives de travail avec une journée limitée à 10 heures et l’adoption du drapeau rouge

de la sensibilité grâce à l’activation de symboles puissamment évocateurs. République et Révolution restent les maîtres mots de l’insurrection, bien davantage qu’anarchie ou désordre. On a coutume de repérer une cassure idéologique dans les rangs communards : d’un côté, une majorité qui prône une lutte politique et armée sans conditions jusqu’à ce que la victoire soit acquise (les blanquistes mais aussi Delescluze font partie de ce groupe) et qui se retrouvera dans le Comité de salut public, renouant

L'Année terrible. Il retourne en France fin 1871. Plusieurs comités républicains l'ayant sollicité, il accepte de se porter candidat à l'élection complémentaire du 7 janvier 1872. Apparaissant comme « radical » en raison de sa volonté d’amnistier les communards, il est battu par le républicain modéré Joseph Vautrain55. La même année, Hugo se rend à nouveau à Guernesey où il écrit le roman Quatrevingt-treize. En 1873, il est à Paris et se consacre à l'éducation de ses deux petits-enfants, Georges et Jeanne

les habitants de Paris, majoritairement des ouvriers qui ont vécu la famine pendant le siège de Paris et résisté aux attaques prussiennes, veulent continuer la guerre. La situation s’envenime et l’insurrection démarre avec l’exécution par les communards de deux généraux. Adolphe Thiers, chef du gouvernement provisoire de la République, renonce à la réprimer et s'enfuit à Versailles avec les corps constitués. La commune est est anéantie par l'armée au bout de six semaines, le 28 mai 1871 (20 000

révolte car elle se sent trahis. Elle est soutenue par la garde nationale. Elle établit une organisation ouvrière à la tête de la ville. Une guerre civile éclate entre les Parisiens et les Versaillais mais la Commune de Paris est battue. De nombreux « communards » sont ensuite fusillés ou exilés. D’autres communes sont aussi proclamées dans d’autres villes françaises, mais elles sont rapidement réprimées. D) L’internationale dans l’URSS L’Internationale fut traduite par Arkady Yakovlevich Kots en

aux yeux du peuple français la résistance républicaine au Second Empire. Le 8 février 1871, il est élu à l’Assemblée nationale. En 1876, il est élu sénateur. L’une de ses premières interventions est un plaidoyer en faveur d’une amnistie pour les communards.   L’âge n’assèche pas sa plume. A 75 ans, il continue d’écrire et publie la Légende des siècles et l’Art d’être grand-père (1877). Pour ses 80 ans, une foule estimée à 600 000 personnes défile devant ses fenêtres.   Le 22 mai 1885, Victor

voient le jour. En 1880, le 14 Juillet devient jour de fête nationale afin de célébrer la prise de la Bastille marquant ainsi la fin de l'absolutisme et l'unité nationale. De plus, une loi d'amnistie voit le jour la même année autorisant les anciens communards déportés à revenir en France. Le 30 Juin 1881, Ferry fait adopter la loi sur la liberté de réunion et le 29 Juillet 1881 la loi sur la liberté de la presse. Jules Ferry redevient de nouveau ministre de l'Instruction et des Beaux-arts du 31 Janvier

plus grand nombre, les auteurs surréalistes s'étaient inscrits au Parti Communiste, et exprimaient leurs ressentis à travers leurs textes. La première partie portera sur les poèmes engagés de périodes mélangées : se mêleront Pottier, pour un poème communard, Manouchian, résistant et poète, Aragon, avec un extrait de son célèbre Front Rouge à la gloire de l'URSS, Eluard, par un texte hommage à Gabriel Péri, ainsi qu'un poème d'un auteur presque inconnu : Rhodine, que j'ai beaucoup aimé pour sa simplicité

1860, il traverse plusieurs fois le Grand-Duché de Luxembourg comme touriste, alors qu'il se rend sur le Rhin allemand (1862, 1863, 1864, 1865). En 1871, après la Commune de Paris, tandis qu'il est expulsé de Belgique pour y avoir offert asile aux communards poursuivis dans la capitale française, il trouve refuge pendant trois mois et demi dans le Grand-Duché (1er juin 23 septembre). Il séjourne successivement à Luxembourg, à Vianden (deux mois et demi), à Diekirch et à Mondorf, où il suit une cure