Communard

dont quelques modérés, qui démissionnera assez vite B- La Commune, ou le socialisme à l'œuvre (26 mars-20 mai 1871) La commune repose sur un projet politique qui est rendu publique le 19 avril 1871 (le projet de République). Pour les communards, la République idéale, telle qu'ils tentent de la mettre en œuvre, doit être fédérative (ils refusent l'idée de centralisation, souhaitent une autonomie de chaque commune de France). Le deuxième aspect est que c'est une république fondée sur un

identifiable à sa croix. Les Kanaks sont les indigènes de Nouvelle-Calédonie. Cette composition paisible ne doit pas faire oublier que l’œuvre humanitaire des religieux coexiste à l’époque avec la politique gouvernementale de déportation des communards vers la Nouvelle-Calédonie et la négation des droits des populations locales. Les préjugés raciaux existent chez les Français, même déportés. Louise Michel est une des rares personnes à vouloir entreprendre leur alphabétisation. Ce qu’il faut

L'Année terrible. Il retourne en France fin 1871. Plusieurs comités républicains l'ayant sollicité, il accepte de se porter candidat à l'élection complémentaire du 7 janvier 1872. Apparaissant comme « radical » en raison de sa volonté d’amnistier les communards, il est battu par le républicain modéré Joseph Vautrain55. Médaille à l'effigie de Victor Hugo par Alfred Borrel, 1884, Bronze, 68mm La même année, Hugo se rend à nouveau à Guernesey où il écrit le roman Quatrevingt-treize. En 1873, il est

aux yeux du peuple français la résistance républicaine au Second Empire. Le 8 février 1871, il est élu à l’Assemblée nationale. En 1876, il est élu sénateur. L'une de ses premières interventions est un plaidoyer en faveur d'une amnistie pour les communards. L’âge n’assèche pas sa plume. A 75 ans, il continue d’écrire et publie la Légende des siècles et l’Art d’être grand-père (1877). Pour ses 80 ans, une foule estimée à 600 000 personnes défile devant ses fenêtres. Le 22 mai 1885, Victor Hugo

a consacrée 15 ans. * Démontre les arcanes (secret, opération mystérieuse) de cette force anonyme le capital, de son engendrement jusqu’à son triomphe à travers l’économie marchande. * Révolution françaises par les communards (Gouvernement d’insurrection) qui veulent abolir le vieille État, finalement, le but est de gérer les affaires publiques dans un cadre municipale sans avoir recours à l’État. * Ils seront écrasés par les troupes françaises.

l internationale dans son contexte historique , la bourgeoisie , le gouvernement de tiers veut faire oublié le massacre commis pendant la commune, les généraux cette à dire les chefs des armées ont tuées plus de 30000 insurgés, Pottier était un communard il était en fuite , il s est battu sur les barricades , cette engagement explique sa haine de la répression et de la violence. Ainsi Eugène Pottier appelle les travailleurs à rompre les rangs , et proclame la " grève aux armées." Ces mots d ordres

jamais voulu rentrer en France | | | |tant qu’il n’y aurait pas d’amnistie générale pour tous les Communards. | |INGRES |DELACROIX |COURBET | |

dévastation Nazie nous a fait réfléchir sur la nôtre. Vu que notre personne peut marquer notre époque, cette acte sera donc voulu. «Je considère Flaubert et Goncourt comme solidaires des bourreaux Versaillais car ils n’ont rien écrit pour défendre les communards. Ils étaient interpellés! Autant que Voltaire par cals, Zola par Dreyfus mais eux, s’engagèrent. Sachant que vivre c’est participer à l’action d’une époque, nous choisissons l’engagement.» Septième séance 28/3 Texte: Le corps épanoui

démembrer la colonne Vendôme située rue de la Paix pour l'installer à l'esplanade des invalides en avril 1871 car il jugeait que ce lieu etait plus en accord avec le thème militaire. Cependant, des mouvement contestataires se sont formés entre les communards et les versaillais. La terreur s'installa, et rendit la république très fragile, étant donné qu'elle venait d'être mise en place. Courbet fut arrêté et condamné à séjourner en prison, il choisit de s'exiler en Suisse, là ou il créera l'image

gares par la commission de colportage, et par la publication de La Faute de l'abbé Mouret, une attaque en règle contre le dogme de la chasteté, renforcé alors par la mise en œuvre du culte du mariage par l'Église. Il défend aussi activement les communards graciés par la loi d'amnistie, en évoquant les parias de la Révolution de 1848 dans Le Ventre de Paris et en soutenant notamment Jules Vallès afin qu'il puisse publier ses propres textes. Ce seront les derniers articles politiques de Zola, puisqu'il