Communication Non Verbale En Psychothérapie

grandes émotions ne sont pas fréquentes. 1.1.2.2 - Les grandes émotions sont souvent déclenchées dans un contexte d’interactions sociales 1.1.2.3 - Les différentes émotions ont des durées et des intensités variables 1.1.2.4 - Les manifestations non verbales sont caractéristiques 1.1.2.5 -Il y a des émotions bavardes et des émotions silencieuses 1.1.2.6 - La régulation et le contrôle sont intimement mêlés à l’expression 1.1.2.7 -Il y a des différences individuelles et des différences entre sexes

place une méthodologie qui va viser à explorer ces questions et/ou vérifier les hypothèses. La recherche clinique qualitative porte un intérêt particulier à l’engagement du clinicien et elle procède a une description minutieuse de ce qu’il se passe non seulement chez le patient rencontré mais également chez le clinicien. C’est-à-dire qu’il s’agit d’une recherche qui travail avec la subjectivité du clinicien chercheur. Ce type de recherche qualitative se fonde essentiellement sur l’étude de cas individuel

Comme son titre l’indique, ce livret s’adresse aux orthophonistes. Il a pour but non seulement d’informer quant à la complexité du bilinguisme, mais aussi de sensibiliser à une approche orthophonique transculturelle. Ce livret a été réalisé dans le cadre d’un mémoire d’Orthophonie à Nantes en 2008, par Flora Lefebvre sous la direction de Madame Chantal Clouard. Tous nos remerciements aux personnes ayant contribué de près ou de loin à la réalisation de ce livret. Merci à Arno Monin pour

I. INTRODUCTION « La communication est le fondement de toute vie sociale. » HOGUE Pour tout être vivant, la communication occupe une partie importante de son temps. Au départ, la communication se limitait à des gestes. Petit à petit, les moyens de communication se sont développés. L’homme a cherché à développer son pouvoir de communication (partage de sentiments, d’opinions, d’activités…). Son idée était d’aller au-delà des capacités de proximité, de communiquer à distance (ex : musique, nuages

Normalité et Pathologique : On ne peut pas faire une frontière entre le normal et le pathologique ! La psychanalyse de Freud prouve la continuité des 2 principes : il n’y a pas de rupture franche. La frontière est très fine, c’est l’intensité et non les idées du patient qui définit lorsque l’on bascule dans le pathologique. Du grec « Norma » = équerre. La norme c’est donc une règle. Différents concepts : - Concept statistique (Courbe de Gauss) : le normal renvois à la moyenne, la majorité

1. Les réunions institutionnelles…………………………………………………….7 4.1.2. Les synthèses des antennes de consultations……………………………………...7 4.1.3. Les synthèses enfants…………………………………………………………….7 4.2. Les premiers entretiens……………………………………………………………...8 4.3. La psychothérapie………………………………………………………………......10 4.4. L’évaluation…………………………………………………………………………11 5. La question de la place………………………………………………………….12 5.1. La place faite au stagiaire…………………………………………………………..12 5.2. La place du psychologue……………………………………………………………13

d’étude clinique. Sommaire : 1. Présentation du centre de jour…………….………………… page 1. 1. L’équipe…………………………………………………….. page 2. 2. La réunion d’équipe………………………………………… page 3. 3. L’information……………………………………………….. page 4. 4. La communication en centre de jour, ses outils et lieux……. page 5. 5. Une situation et son interpretation………………………….. page 7. 6. Le journal clinique………………………………………….. page 9. 7. Conclusion………………………………………………… .. page 12. 1. Présentation du

: "à quoi sert à chacun ce qui se passe ?" !! Noms essentiels : (* Au début) Bateson Gregory (anthropologue qui fait partis de Macy Fondation qui étudie la causalité circulaire et la rétroaction).* Don Jackson. * Jay Haley (étudiant en communication).* John Weakland. * Fisch Paul Watzlawick Haley et Weakland s'intéressent aux théories de Milton Erikson. 2. Approche Stratégique : Haley et Weakland s'intéressent aux théories de Milton Erickson : Utilisation originale de l'hypnose

des informations pour permettre un prise de décision. Il faut traduire les mots techniques et rendre les informations accessibles pour permettre aux parents de prendre une décision. ▪ Définition du conseil génétique - Processus de communication ayant pour but l’allégement de la souffrance humaine associée à la survenance d’un désordre génétique dans une famille (ou risque). Il faut mettre en avant les processus psychologiques avant un désordre génétique. ▪ Le conseiller tente

spécifiques de la schizophrénie, on les retrouve dans plusieurs pathologies mentales.  La phase symptomatique psychotique est marquée par l’apparition des symptômes positifs tels que les idées délirantes ou l’idée de persécution. On notera l’aspect non systématisé du délire schizophrénique, c’est-à-dire qu’il n’y a aucun lien entre les idées délirantes. Le patient passera d’un sujet à un autre sans lien logique. C’est dans cette phase que le diagnostic sera posé.  La phase résiduelle étant la phase