Commémorer Son Passé

DE LA PUBLICATION du « FEU » d’Henri BARBUSSE à Aumont, le 21 juin 1986 Commémorer, ce n’est pas seulement célébrer. S’il intéresse le cœur, l’hommage en l’occurrence intéresse aussi la mémoire avec les rigueurs qui lui sont propres. Le Feu est senti comme un témoignage sur la guerre de 1914 prise dans son ensemble, ou même sur toute guerre moderne. En fait, prendre aujourd’hui la parole pour en commémorer, dans son exactitude, le 70e anniversaire, c’est dire aussi, et de façon indissociable

de connaître son passé s’il veut grandir et avancer. Il doit s’intéresser à ce qu’il s’est passé avant lui pour avoir un repère. Les faits ou les monuments historiques permettent de mobiliser et réunir la société afin de partager et se commémorer les événements qui ont eu lieu dans le passé. Sans nos antécédents nous ne pouvons pas connaitre les événements importants qui ont eu lieu dans le passé. Pour construire son avenir dans une société il est nécessaire de connaître son passé. C’est pourquoi

gens que l’on aura connu et qui nous auront aimé essayeront avec de commémoré notre souvenir , la personne que l’on avait été mais quand leur tour viendra de partir qui se souviendra ? Poussière , nous ne sommes que poussière et notre existence semble pitoyable face à l’infinité du temps. Le pouvoir de l’homme c’est sa prise de conscience de sa condition misérable. Il est mortel et viendra à mourir donc chaque instant passé doit être considéré peut être comme le dernier. Ainsi sa chance serait

avec elle-même et avec le monde. » « Cela semble toujours impossible, jusqu'à ce qu'on le fasse. » II)Présentation de l'oeuvre : L’ artiste Marco Cianfanelli a construit ce monument pour commémorer le 50ème anniversaire du début de cette détention de Nelson Mandela. Cette œuvre a été inaugurée par le président Sud Africain Jacob Zuma le 4 août 2012 à Howick, une ville située au sud de la ville Durban dans la campagne du pays . L’œuvre a

relations entre histoire et mémoire ? 3.1 : Le métier d’historien et les politiques de la mémoire Les mémoires permettent de renforcer une identité de groupe . Ce sont les associations, les médias et les groupes politiques qui perpétuent une vision du passé mais ils ne sont pas les seuls. L’état est le groupe le plus important qui pratique sa propre politique mémorielle. L’histoire et la mémoire s’entrecroisent. C’est le cas plus particulièrement des périodes récentes car les témoins sont encore vivants

France libre a combattu du côté des Alliés et contribué, avec la Résistance intérieure, à la libération du pays. • Des lieux de mémoire officiels Des lieux de mémoire sont constitués. Au mont Valérien, un imposant mémorial est édifié en 1960 pour commémorer les otages qui y furent fusillés. 1.B La mémoire Communiste : une lecture Partisane • La construction d'une mémoire communiste Contre cette mémoire gaulliste, une autre mémoire se constitue, celle du Parti communiste français. Ce dernier

évènements passés. Elles sont donc parfois frappées d’amnésie. L’historien s’intéresse aux mémoires pour mieux comprendre comment s'organisent ces mémoires, tant individuelles que collectives, et quelles représentations un groupe se fait de son passé. Problématiques : → Comment ont évolué les mémoires de la Seconde Guerre mondiale depuis 1945 ? → Comment les historiens ont-ils fait de ces mémoires des objets d’histoire ? I. Le temps des mémoires plurielles et désunies

de ces deux perspectives. Numéro 2 La necessité pour les sociétes actuelles de comm »morer leur passé semble évidente si l’on considère que des auteurs tel que primo lévy dans le serpent à plume en 1986 des journaux –le journal de monde par exemple en 1994- des rédacteurs pour la revue le débat et pour l’encyclopédie universalis s’interesse à ce problème. Mais la necessité de transmette le passé ne se heurte-t-elle aps à des diffultès voire ambiguité ? c’est ce qu’il importera d’étudier Numéro

manifestation marquant la célébration de la 5ème Journée Nationale de L’Education des Filles ce 11 Novembre. La grande salle du CICES ne pouvait contenir tout ce beau monde composé d’élèves, parents d’élèves, enseignants, et les nombreux invités pour commémorer cette journée dont le thème portait sur : « Déperditions scolaires, quelles stratégies pour maintenir les filles à l’école après le cycle fondamental ». Instituée par décret depuis 2006, la Journée pour l’Education des Filles au Sénégal était mise

nombreuses peintures en utilisant la technique de l’eau-forte, pour représenter la douleur des soldats avec plus de réalisme. * La troisième est l’évolution technologique, l’armement ainsi que la fin de la guerre. * Et enfin la quatrième, qui commémore la guerre et raconte les chocs physiques et psychologiques des soldats. Les différents types d’objets qu’ont trouve dans le musée sont des affiches de propagandes, des cartes, des coupures de journaux relatant les faits, des objets de la vie quotidienne