Compagnie du Saint-Sacrement

pendant près de deux cent ans. Dès l’ouverture, Molière s’en prend à ses éternels ennemis, la Compagnie du saint sacrement. Si l’éloge du tabac parait n’être qu’une parodie burlesque et un choix original pour surprendre le spectateur, il met aussi en lumière un objet de controverse. Le tabac à priser était, en effet, considéré par certains comme un remède mais il était condamné par la Compagnie du saint sacrement, en faire l’éloge est donc s’opposer à eux ostensiblement. De plus, associer les vertus morales

pendant près de deux cent ans. Dès l’ouverture, Molière s’en prend à ses éternels ennemis, la Compagnie du saint sacrement. Si l’éloge du tabac parait n’être qu’une parodie burlesque et un choix original pour surprendre le spectateur, il met aussi en lumière un objet de controverse. Le tabac à priser était, en effet, considéré par certains comme un remède mais il était condamné par la Compagnie du saint sacrement, en faire l’éloge est donc s’opposer à eux ostensiblement. De plus, associer les vertus morales

pendant près de deux cent ans. Dès l’ouverture, Molière s’en prend à ses éternels ennemis, la Compagnie du saint sacrement. Si l’éloge du tabac parait n’être qu’une parodie burlesque et un choix original pour surprendre le spectateur, il met aussi en lumière un objet de controverse. Le tabac à priser était, en effet, considéré par certains comme un remède mais il était condamné par la Compagnie du saint sacrement, en faire l’éloge est donc s’opposer à eux ostensiblement. De plus, associer les vertus morales

de Molière devient la « Troupe du Roy ». Néanmoins, son œuvre ne fait pas toujours l'unanimité. Son Tartuffe, qui attaque ouvertement les faux dévots, est en butte aux persécutions de la cabale des dévots, soutenue par la toute puissante Compagnie du Saint-Sacrement. D'interdiction en interdiction, de placet au roi en placet au roi, Molière met cinq ans à obtenir l'autorisation de jouer Tartuffe, mais il ne parvient pas à éviter la rancune du clergé. Épuisé par le travail, les chagrins domestiques

sans précédent. Situation religieuse : Louis XIV, partisan du gallicanisme (église Catholique indépendante du Pape) décide d'éradiquer le jansénisme et de combattre le protestantisme (jusqu'à disparition de la liberté de culte) et la compagnie du Saint-Sacrement. Il révoque l'Edit de Nantes en octobre 1685. 2) La régence est une période durant laquelle un monarque est dans l'incapacité de gouverner (absence, jeunesse, maladie, ...) et la gestion du pays est prise en charge par une tierce personne

remet en cause toute la théorie juive du peuple élu protégé par un Dieu tout puissant. 3) La mort de Jésus et la naissance du christianisme Après le scandale que Jésus provoque en chassant les marchands du Temple et un dernier repas pris en compagnie de ses disciples (la Cène), il est arrêté et condamné comme agitateur politique. Finalement, Jésus est mis à mort sur l’ordre du gouverneur romain, Ponce Pilate, qui le fait crucifier. Or si Jésus était l’incarnation du Dieu, comment se pouvait-il

livre dans son ensemble est divisé en trois parties et en dix chapitres formant un exposé quasi complet des grandes questions de la foi catholique. L’auteur du livre : Henri de Lubac, né à Cambrai en France le 20 février 1896. Il entre dans la compagnie de Jésus à 17 ans en 1913, est ordonné prêtre en 1927. Il devient professeur de théologie fondamentale à l’Institut catholique de Lyon en 1929. Il publie son premier livre en 1938, intitulé : Catholicisme ; les aspects sociaux du dogme. C’est ce

Heurte, atteint 6) D'une foi sincère comme Orgon 7) Réparé 8) Allusion possible au prince de Conti, qui, d'après certains, serait visé dans Dom Juan. 9) Le «  franc scélérat » hypocrite du Misanthrope 10) Il vise en particulier la compagnie du Saint – Sacrement 11) Jouerai le rôle de 12) L'expression > revient souvent dans Tartuffe 13) Ferai reculer 14) Dévots sincères mais sans discernement. Dom Juan Molière 1665 Introduction : C’est à Tirso de Molina , auteur espagnol qui

qui remet en cause toute la théorie juive du peuple élu protégé par un Dieu tout puissant. 3) La mort de Jésus et la naissance du christianisme Après le scandale que Jésus provoque en chassant les marchands du Temple et un dernier repas pris en compagnie de ses disciples (la Cène), il est arrêté et condamné comme agitateur politique. Finalement, Jésus est mis à mort sur l’ordre du gouverneur romain, Ponce Pilate, qui le fait crucifier. Or si Jésus était l’incarnation du Dieu, comment se pouvait-il

liberté qu’apporte le Siècle des lumières. Le 17e siècle est surtout marqué par la guerre de Trente Ans qui se définit comme étant une guerre où les conflits religieux suivis par la politique déchirent l’Europe central. Ainsi on y trouve la Compagnie du Saint-Sacrement, qui elle, s’occupe de la bonne continuité du christianisme en assurant la répression de mœurs et en lavant les rues des protestants ou encore des juifs. Elle est comme une forme d’inquisition menée par un certain Nicolas Fouquet qui lui